Comment venir à bout du stress et commencer à vivre. Dale Carnegie. Livre audio (3)
assigné la mission qui me paraît la plus
sage c'est tout ce que je peux faire
6 1 taux a été coulée continue at-il je
ne peux pas le faire remonter si un
bateau est sur le point d'être coulé je
ne peux pas l'en empêcher
je peux faire meilleur usage de mon
temps en anticipant les problèmes de
demain plutôt qu'en me souciant de ceux
d'hier
d'ailleurs si je me laissais affectées
par ces choses je ne tiendrais pas
longtemps
que ce soit en temps de paix ou en temps
de guerre la principale différence entre
la pensée positive et la pensée négative
est celle ci
pour ces positive s'appuie sur les
causes et les effets et mène à une
planification logique constructive
la pensée négative mènent fréquemment à
des tensions et dépression nerveuse
j'ai eu le privilège d'interviewer
harper's sulzberger éditeur de 1935 à
1961 de l'un des journaux les plus
connus au monde le new york times
monsieur sulzberger me raconta que
lorsque la seconde guerre mondiale en
flammes à l'europe il était tellement
sous le choc tellement préoccupé par le
futur qu'il ne parvenait plus à trouver
le sommeil il se levait fréquemment au
milieu de la nuit s'installe avec une
toile et des tuiles de peinture devant
le miroir et essayé de peindre son
autoportrait
il n'y connaissait rien en peinture mais
cela ne l'empêchait pas de peindre pour
se distraire de ses préoccupations
monsieur sulzberger me confia qu'ils
avaient été incapables de chasser ces
inquiétudes est de trouver la sérénité
tant qu'il n'avait pas adopté comme
devise ce cantiques religieux
un seul pas me suffit
duy mois douce lumière veille sur mon
chemin je ne demande pas à voir le but
lointain un seul pas ne suffit
environ la même époque en europe un
jeune homme en uniforme apprenait la
même leçon
il s'appelait tête bergen minots de
baltimore dans le maryland et ils
s'inquiétaient tellement qu'il souffrait
de stress post traumatique de première
classe
voici son histoire
en avril 1945 je me ronge est tellement
les sens que j'avais développé ce que
les médecins appellent un colon
transverses patick est une maladie
extrêmement douloureuse
si la guerre ne s'était pas terminé à
point nommé j'en ai souffert d'un
effondrement physique complet
j'étais complètement à bout j'étais
alors sous-officier dans la 94e division
d'infanterie des états unis affecté au
service des tombes mon rôle était de
tenir à jour les listes de tous les
hommes morts au combat porté disparu et
hospitalisé
j'étais également chargé d'aider à
exhumer les corps de soldats alliés et
ennemis qui avaient été tués et enterrés
à la hâte dans des tombes peu profondes
au comble de la bataille
je devais rassembler leurs effets
personnels et m'assurer qu'ils soient
renvoyés à leurs parents ou proches qui
pourraient chérir ses objets de valeur
j'étais constamment inquiet de crainte
de commettre d erreur fâcheuse
j'étais tourmenté car j'ignorais si
j'allais réussir à surmonter toutes ses
horreurs
je me demandais si je rentrerai pour
pouvoir tenir dans mes bras mon unique
enfant un fils âgé de 16 mois que je
n'avais encore jamais vu j'avais
l'impression de perdre la tête j'étais
si stressée exténué que j'avais perdu 15
kilos je regardais mes mains décharnées
j'étais terrifiée à la pensée de rentrer
chez moi en ressemblant à un squelette
ébranlée je m'effondrais jeu sanglotait
comme un enfant chaque fois que je me
retrouvais seul
il y eut une période peu après la
bataille des ardennes durant laquelle je
pleurais si souvent que je perdis
espoirs ne jamais redevenir normale
je finis dans un dispensaire militaire
ou un médecin de l'armée me donna un
conseil qui changea complètement ma vie
après m'avoir fait passer un examen
médical approfondi il m'a format que mes
troubles étaient d'ordre psychologique
ted me dit il j'aimerais que vous
imaginiez votre vie comme si c'était un
sablier la partie supérieure contient
des milliers de grain de sable qui
s'écoule tous lentement et régulièrement
par un goulot étroit au milieu
il n'y a rien que vous ou moi puissions
faire pour faire passer plus d'un grain
de sable par le goulot étroit sans
briser le sablier
vous et moi et tout le monde ressemblant
à ce sablier quand nous démarrons la
journée nous avons l'impression d'avoir
des centaines de tâches à accomplir ce
jour là mais si nous ne faisons pas les
choses une de la fois lentement et
régulièrement au fil de la journée comme
le font les grains de sable dans le
sablier alors nous sommes condamnés à
briser notre propre structure physique
ou mentale
j'ai adopté cette philosophie de vie
depuis ce jour mémorable en infirmerie
un grain de sable à la fois une tâche à
la fois
ce conseil me sauva physiquement et
psychologiquement pendant la guerre et
me fut également précieux dans mon poste
de directeur des relations publiques et
de la publicité chez at crafter printing
and hove cette co inc
j'ai vu les mêmes problèmes surgir dans
les affaires que pendant la guerre une
multitude de choses qui doivent être
faites en même temps et sans tarder nos
stocks et des bas nous avions deux
nouveaux formulaires à remplir de
nouvelles dispositions pour les stocks
de marchandises des changements
d'adressé ou l'ouverture et la fermeture
de bureaux et ainsi de suite
au lieu d'être tendus et nerveux je me
rappelle le conseil du médecin un grain
de sable à la fois une tâche à la fois
on me répète en ces mots en boucle je
peux travailler de manière plus efficace
et sans éprouver ce sentiment de
confusion et d'agitation qui a failli
m'anéantir sur le champ de bataille
notre mode de vie tu es là un constat
des plus consternant
la moitié de nos lits d'hôpitaux sont
réservées aux patients atteints de
troubles nerveux et psychologique des
patients qui se sont effondrés sous le
fardeau écrasant des soucis d'hier et de
la crainte du lendemain
or une vaste majorité de ceux-ci
auraient pu éviter ces hospitalisations
et vivre des vies heureuses gratifiante
s'ils avaient simplement écouter les
mots de jésus ne vous souciez pas du
lendemain
ou ceux des soeurs williams à cela
cloisonné votre vie en compartiments
étanches
vous et moi nous tenons à cet instant
précis au point de rencontre entre deux
éternités
levast passé qui dure depuis toujours et
le futur qui se raccroche à la dernière
syllabe du registre des temps
il nous est impossible de vivre dans
l'une ou l'autre de ces éternité ne
fût-ce qu'une fraction de seconde
cependant si nous nous y efforçons nous
risquons de briser nos corps et nos
esprits
6 contentons nous de vivre le seul
moment qu'il ne soit accordé de vivre du
moment présent jusqu'à la tombée de la
nuit
chacun d'eux nous peut porter son
fardeau aussi lourd qu'elle soit jusqu'à
la tombée de la nuit écrivait robert
louis stevenson
chacun peut s'acquitter de sa tâche
aussi difficile qu'elle puisse être
durant une journée
nous sommes tous en mesure de mener une
existence paisible sereine pur plein
d'amour jusqu'au coucher du soleil est
en réalité vivre cela ne signifie rien
d'autre
oui c'est tout ce que la vie exige de
nous mais madame x shields desagana ou
dans le michigan fut poussé au bord du
désespoir voire du suicide avant
d'apprendre à vivre dans le présent
voici son histoire
en 1930
mon mari me raconta madame shields
j'étais extrêmement déprimé et presque
sans ressources
j'écrivis à mon ancien employeur
monsieur linh roig de la route fargo
company à kansas city et j'ai repris mon
ancien poste avant mon mariage je
gagnais ma vie en vendant des
encyclopédies aux écoles rurales et
urbaines j'avais vendu ma voiture deux
ans plus tôt comme mon mari était tombé
malade mais je pu rassembler assez
d'argent pour payer la compte d'une
voiture d'occasion et je recommençais à
vendre des encyclopédies
j'avais pensé que reprendre la route
m'aiderait à soulager ma dépression mais
passer mes journées à rouler et à manger
seul était presque au dessus de mes
forces certaines parties du territoire
n'était pas très productive et j'avais
du mal à rembourser ma voiture et ce
même si les mensualités n'était pas bien
élevé
au printemps 1938 je travaille aux
alentours de versailles dans le missouri
les écoles de la région étaient pauvres
les routes en mauvais état je me sentais
si seuls les décourager qu'à l'époque
j'envisageais même le suicide
il me semblait que le succès était hors
de portée je n'avais plus aucune raison
de vivre
je redoutais de me lever chaque matin
pour affronter la journée
j'avais peur de tout
pas pouvoir rembourser ma voiture peur
de ne pas pouvoir payer le loyer de ma
chambre peur de ne pas avoir assez à
manger
je craignais que ma santé se détériore
et de ne pas avoir les moyens de me
soigner
seule la pensée du chagrin de ma soeur
et le fait que je n'avais pas assez
d'argent pour couvrir le coût de mon
enterrement me dissuadèrent de me
suicider
un jour je lui un article qui me sorti
de mon abattement et me donna le courage
de continuer à vivre je serai
éternellement reconnaissante envers
cette phrase qui m'inspire attend elle
disait pour l'homme sage chaque jour est
une nouvelle vie
je tapais cette phrase à la machine et
la coller sur le pare-brise de ma
voiture où je pouvais l'avoir à chaque
minutes de trajet
aperçue qu'il n'était pas si difficile
de vivre un jour à la fois j'ai appris à
oublier les ir et à ne pas penser au
lendemain
chaque matin je me disais aujourd'hui
commence une nouvelle vie
j'ai réussi à surmonter ma peur de la
solitude ma peur de manquer désormais je
suis heureuse et mes affaires marchent
bien je porte beaucoup d'enthousiasmé
d'amour à la vie
je sais à présent que je n'aurai plus
jamais peur qu'importe ce que la vie me
réserve je sais à présent que je n'ai
pas à craindre l'avenir et que je peux
vivre un jour à la fois que pour l'homme
sage
chaque jour est une nouvelle vie
d'après vous qui a écrit sévère
bienheureux est celui qui possède le
jour qui sûr de lui peut dire
demain même si je dois mourir
aujourd'hui j'ai vécu à fond et sans
détour
ces mots vous paraissent moderne n'est
ce pas
pourtant ils furent écrits 30 ans avant
la naissance du christ par le poète
romain horace
à mon sens l'aspect le plus tragique de
la nature humaine est notre tendance à
toujours mettre notre vie à plus tard
nous rêvons tous d'une roseraie magique
au delà de l'horizon au lieu de profiter
des roses qui fleurissent à nos fenêtres
aujourd'hui
pourquoi sommes nous si inconscients si
tragiquement inconscient comme elle est
étrange notre petite procession de vie
écrivez stephen leacock
on dit quand je serai grand
mais qu'est ce que cela veut dire
le grand garçon dit quand je serai un
homme et puis devenu homme il dit quand
je serai mariée
mais être marié qu'est-ce que cela
signifie
alors ils pensent quand je prendrai ma
retraite
or quand la retraite arrive il se
retourne sur le paysage traversé un vent
froid semble le balayer il ne sait
comment mais il est passé à côté de tout
et il ne reste rien la vie nous la
prenons trop tard et dans le vivant dans
le tissu de chaque jour et de chaque
heure
edward s evans deux des trois c'était
presque laissé mourir d'inquiétude avant
de comprendre que la vie était dans le
vivant dans le tissu de chaque jour et
de chaque heure
né dans une famille pauvre edward evans
commença à gagner sa vie en vendant des
journaux puis devint commis chez un
épicier plus tard chargé de subvenir aux
besoins de cette personne il obtint à
poste de bibliothécaire adjoint
en dépit du salaire modique ils avaient
trop peur de démissionner huit années
passèrent avant qu'ils ne trouvent le
courage de s'établir à son compte