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RFI - Journal en français facile 2017 - 2020, Journal en français facile 15 janvier 2020

Journal en français facile 15 janvier 2020

Loïc Bussières : À l'écoute de RFI, il est 21h ici à Paris, 20h en temps universel. Bonsoir à toutes et à tous. Ravi de vous retrouver pour votre Journal en français facile. Journal présenté ce soir en compagnie de Zéphyrin Kouadio. Bonsoir Zéphyrin.

Zéphyrin Kouadio : Bonsoir Loïc, bonsoir à toutes et à tous.

LB : À la une de l'actualité, « Une étape historique » ; ce sont les mots de Donald Trump pour qualifier l'accord commercial que les États-Unis ont signé avec Pékin. « Une étape qui n'avait jamais été franchie avec la Chine », ajoute le président américain.

ZK : À la une également, un coup de théâtre politique en Russie. La démission du Gouvernement de Dmitri Medvedev annoncée lors du discours annuel de Vladimir Poutine devant le Parlement. On y revient dans un instant.

LB : Et puis en France, Édouard Philippe oppose sa détermination à construire un système universel de retraites à une grève qui selon lui « n'a que trop duré ». De nouvelles actions se tenaient dans plusieurs secteurs aujourd'hui.

------

ZK : Et on commence par ce coup de tonnerre dans la politique russe : le gouvernement du premier ministre Dmitri Medvedev a démissionné.

LB : L'annonce surprise a été faite dans la foulée du discours annuel de Vladimir Poutine devant le Parlement et les élites politiques de Russie, annonçant une réforme constitutionnelle. Pour remplacer Dmitri Medvedev, le président russe a déjà proposé un nom, prenant là encore par surprise. Anastasia Vecchio.

« Cher Vladimir Vladimirovitch, chers collègues, vous avez été tous témoins du discours du président de la Fédération de Russie. Vladimir Vladimirovitch, en tant que président, a déjà signalé les priorités pour l'année à venir, mais il a aussi annoncé tout une série d'amendements à la constitution. Ces changements vont modifier l'équilibre des pouvoirs : entre l'exécutif, le législatif et le judiciaire. Dans ce contexte, il est évident que nous, en tant que gouvernement de la Fédération de Russie, devons donner au président la possibilité de prendre toutes les décisions nécessaires. Et, dans ces conditions, il est juste que le gouvernement de la Fédération de Russie, dans sa composition actuelle, démissionne. Je remercie absolument tout ceux qui ont participé au travail du gouvernement actuel. Naturellement, c'est le président qui prendra les prochaines décisions. » LB : Voilà, vous l'aurez rectifié vous-même, ce n'était pas la voix d'Anastasia Vecchio mais bien celle de Dmitri Medvedev, ex-premier ministre russe. ZK : À la une également, cet accord qualifié d'historique par Donald Trump entre les États-Unis et la Chine.

LB : Un accord commercial que le président américain et le vice premier ministre chinois viennent de signer à la Maison Blanche. Le texte marque une pause dans la guerre commerciale engagée Par Donald Trump au printemps 2O18. C'est aussi une victoire politique qu'il ne manquera pas d'exploiter pendant sa campagne alors que se profile l'élection présidentielle de novembre prochain, et après ans deux de guerre commerciale même s'il reste beaucoup à négocier. Anne Corpet, à Washington.

La cérémonie de signature a duré plus d'une heure. Donald Trump a distribué les compliments. Son secrétaire au trésor a parlé de grande victoire pour l'industrie et l'agriculture américaine. Le vice premier ministre chinois a lui salué l'importance de l'accord et a lu une longue lettre du président Xi adressée à son homologue américain. Concrètement Pékin s'engage à augmenter de 200 milliards de dollars ses achats de produits américains sur une période de deux ans. La Chine promet aussi de mieux protéger la propriété intellectuelle et de mettre un terme à la manipulation de sa monnaie. En échange les États-Unis renoncent à imposer de nouveaux droits de douanes sur les biens chinois, et diminuent de moitié ceux imposés le 1er septembre dernier sur 120 milliards de dollars de produits venus de Pékin. Mais les autres taxes demeurent. Donald Trump veut conserver un levier pour aborder la deuxième phase des négociations. Elle comprendra des sujets difficiles comme les transferts de technologies, ou les subventions accordées par la Chine à son industrie.

LB : Toujours concernant les États-Unis et Donald Trump, La mise en accusation de Donald Trump est ce soir officiellement votée par la chambre des représentants et transmise au Sénat. C'est la suite de la procédure de destitution visant le président américain accusé, je le rappelle, d'avoir fait pression sur l'Ukraine pour l'ouverture d'une enquête sur le démocrate Joe Biden, possible adversaire à la prochaine présidentielle. Commentaire de Donald Trump : « cette procédure est une arnaque ».

ZK : En Iran, Hassan Rohani admet, sans l'exprimer clairement, que la catastrophe de l'avion ukrainien abattu par erreur par un missile iranien a déclenché une crise de confiance envers les autorités de son pays.

LB : Le président de la république islamique a demandé que toute la lumière soit faite sur cette affaire pour reconquérir la confiance de la population. Il a également lancé un appel à l'unité et à la réconciliation nationale pour régler les problèmes du pays. Siavosh Ghazi

« Personne n'aurait pensé qu'un avion civil puisse être la cible d'un missile. Cette erreur a été commise par ceux qui travaillent pour assurer la sécurité du pays », a déclaré le président iranien lors d'une intervention au Conseil des ministres, en ajoutant que le « crash de l'avion ukrainien a été une grande douleur pour tout le monde, le gouvernement, le peuple et les forces armées. » Il a aussi affirmé que pour apaiser cette douleur, il faut parler avec sincérité à la population, dire toute la vérité et reconnaître la responsabilité de chacun. « Je demande aux forces armées et à l'état-major d'expliquer à la population tout ce qui s'est passé entre le moment où l'accident s'est produit et le moment où la population a été informée et de dire les questions qui ont été posées et les réunions qui ont eu lieu pour que les gens comprennent qu'il n'y avait pas une volonté de cacher les choses », a déclaré le président Rohani. Pendant 72 heures, les autorités ont maintenu que le crash de l'avion ukrainien était dû à un simple problème technique avant que l'état-major des forces armées publie un communiqué pour reconnaître qu'un missile iranien avait provoqué la chute de l'avion. Des manifestations ont eu lieu ces derniers jours pour protester contre le silence des autorités pendant ces trois jours. Enfin, le président iranien a affirmé que l'erreur commise ne devait pas être un prétexte pour affaiblir les forces armées qui sont chargées d'assurer la sécurité du pays. Siavosh GHAZI, Téhéran.

ZK : Retour en France, au 42e jour de grève contre la réforme des retraites Édouard Philippe réaffirme la détermination du Gouvernement à mettre en place un système universel, et à supprimer les régimes spéciaux.

LB : Le premier ministre qui, à l'issue d'un séminaire à l'Elysée oppose la ligne gouvernementale à celle des grévistes qui poursuivent selon lui un mouvement « sans issue » et qui n'a que « trop duré dans les transports » - ce sont ses termes ; ce qui n'empêche pas de nouvelles actions aujourd'hui dans les ports, sur les rails, dans les raffineries ou même devant le ministère des Finances. Ce soir, l'intersyndicale appelle à une nouvelle journée de mobilisation nationale le 24 janvier en plus de celle prévue demain, jeudi.

ZK : Elle aussi s'est montrée très critique sur la réforme des retraites ce qui lui vaut d'être démise du poste auquel l'avait nommée Emmanuel macron.

LB : Ségolène Royal va quitter très prochainement son poste d'ambassadrice des pôles. « Un prochain Conseil des ministres pourrait examiner le projet de décret mettant fin à ses fonctions » indique aujourd'hui le Quai d'Orsay. L'ancienne candidate socialiste à la présidentielle fait par ailleurs l'objet d'une enquête préliminaire ouverte par le parquet national financier sur l'utilisation des moyens mis à sa disposition en tant qu'ambassadrice des pôles.

ZK : Direction l'Asie pour refermer ce journal. On s'intéresse à la découverte d'un nouveau coronavirus en Chine.

LB : Après le voyage d'une personne malade en Thaïlande, l'OMS affirme qu'elle s'attendait à ce que des cas se déclarent dans d'autres pays de la région. 41 malades ont été placés en quarantaine, une personne est décédée. L'épisode rappelle celui du SRAS en 2003. Le virus avait fait près de 800 morts et il pourrait aider les experts à combattre le nouveau coronavirus. À Genève, Jérémie Lanche.

[Début de la correspondance manquante] « Pour le coronavirus du SRAS et du MERS, il n'y a pas eu beaucoup de transmissions entre êtres humains. [Il s'agit plutôt de transmissions de l'animal vers l'homme]. Mais la transmission entre humains a été amplifié dans certains cas. Notamment dans les hôpitaux. A notre connaissance, aucun membre du personnel de santé qui prend en charge les malades n'est pour le moment atteint. Mais il faut garder à l'esprit que ce facteur a énormément joué dans les épidémies de SRAS et de MERS ». Aucune restriction de voyage n'a pour le moment été préconisée. Pas même dans la ville de Wuhan, dans le centre de la Chine, d'où semble venir la maladie. Mais le patron de l'OMS pourrait convoquer une réunion du Comité d'urgence de l'organisation, selon l'évolution de la situation.

LB : Ainsi s'achève ce journal en français facile, merci de l'avoir suivi. Merci à vous de votre fidélité à la radio du monde.


Journal en français facile 15 janvier 2020 Zeitung in leichtem Französisch 15. Januar 2020 Journal en français facile January 15, 2020 Journal en français facile 15 januari 2020 Journal en français facile 15 de janeiro de 2020 简单法语日记 2020 年 1 月 15 日

Loïc Bussières : À l'écoute de RFI, il est 21h ici à Paris, 20h en temps universel. Bonsoir à toutes et à tous. Ravi de vous retrouver pour votre Journal en français facile. Journal présenté ce soir en compagnie de Zéphyrin Kouadio. Bonsoir Zéphyrin.

Zéphyrin Kouadio : Bonsoir Loïc, bonsoir à toutes et à tous.

LB : À la une de l'actualité, « Une étape historique » ; ce sont les mots de Donald Trump pour qualifier l'accord commercial que les États-Unis ont signé avec Pékin. « Une étape qui n'avait jamais été franchie avec la Chine », ajoute le président américain.

ZK : À la une également, un coup de théâtre politique en Russie. La démission du Gouvernement de Dmitri Medvedev annoncée lors du discours annuel de Vladimir Poutine devant le Parlement. On y revient dans un instant.

LB : Et puis en France, Édouard Philippe oppose sa détermination à construire un système universel de retraites à une grève qui selon lui « n'a que trop duré ». De nouvelles actions se tenaient dans plusieurs secteurs aujourd'hui.

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ZK : Et on commence par ce coup de tonnerre dans la politique russe : le gouvernement du premier ministre Dmitri Medvedev a démissionné.

LB : L'annonce surprise a été faite dans la foulée du discours annuel de Vladimir Poutine devant le Parlement et les élites politiques de Russie, annonçant une réforme constitutionnelle. Pour remplacer Dmitri Medvedev, le président russe a déjà proposé un nom, prenant là encore par surprise. Anastasia Vecchio.

« Cher Vladimir Vladimirovitch, chers collègues, vous avez été tous témoins du discours du président de la Fédération de Russie. “Dear Vladimir Vladimirovich, dear colleagues, you have all witnessed the speech of the President of the Russian Federation. Vladimir Vladimirovitch, en tant que président, a déjà signalé les priorités pour l'année à venir, mais il a aussi annoncé tout une série d'amendements à la constitution. Vladimir Vladimirovich, as president, has already indicated the priorities for the coming year, but he also announced a whole series of amendments to the constitution. Ces changements vont modifier l'équilibre des pouvoirs : entre l'exécutif, le législatif et le judiciaire. Dans ce contexte, il est évident que nous, en tant que gouvernement de la Fédération de Russie, devons donner au président la possibilité de prendre toutes les décisions nécessaires. Et, dans ces conditions, il est juste que le gouvernement de la Fédération de Russie, dans sa composition actuelle, démissionne. Je remercie absolument tout ceux qui ont participé au travail du gouvernement actuel. Naturellement, c'est le président qui prendra les prochaines décisions. » LB : Voilà, vous l'aurez rectifié vous-même, ce n'était pas la voix d'Anastasia Vecchio mais bien celle de Dmitri Medvedev, ex-premier ministre russe. ZK : À la une également, cet accord qualifié d'historique par Donald Trump entre les États-Unis et la Chine.

LB : Un accord commercial que le président américain et le vice premier ministre chinois viennent de signer à la Maison Blanche. Le texte marque une pause dans la guerre commerciale engagée Par Donald Trump au printemps 2O18. C'est aussi une victoire politique qu'il ne manquera pas d'exploiter pendant sa campagne alors que se profile l'élection présidentielle de novembre prochain, et après ans deux de guerre commerciale même s'il reste beaucoup à négocier. Anne Corpet, à Washington.

La cérémonie de signature a duré plus d'une heure. Donald Trump a distribué les compliments. Son secrétaire au trésor a parlé de grande victoire pour l'industrie et l'agriculture américaine. Le vice premier ministre chinois a lui salué l'importance de l'accord et a lu une longue lettre du président Xi adressée à son homologue américain. Concrètement Pékin s'engage à augmenter de 200 milliards de dollars ses achats de produits américains sur une période de deux ans. La Chine promet aussi de mieux protéger la propriété intellectuelle et de mettre un terme à la manipulation de sa monnaie. En échange les États-Unis renoncent à imposer de nouveaux droits de douanes sur les biens chinois, et diminuent de moitié ceux imposés le 1er septembre dernier sur 120 milliards de dollars de produits venus de Pékin. Mais les autres taxes demeurent. Donald Trump veut conserver un levier pour aborder la deuxième phase des négociations. Elle comprendra des sujets difficiles comme les transferts de technologies, ou les subventions accordées par la Chine à son industrie.

LB : Toujours concernant les États-Unis et Donald Trump, La mise en accusation de Donald Trump est ce soir officiellement votée par la chambre des représentants et transmise au Sénat. C'est la suite de la procédure de destitution visant le président américain accusé, je le rappelle, d'avoir fait pression sur l'Ukraine pour l'ouverture d'une enquête sur le démocrate Joe Biden, possible adversaire à la prochaine présidentielle. Commentaire de Donald Trump : « cette procédure est une arnaque ».

ZK : En Iran, Hassan Rohani admet, sans l'exprimer clairement, que la catastrophe de l'avion ukrainien abattu par erreur par un missile iranien a déclenché une crise de confiance envers les autorités de son pays.

LB : Le président de la république islamique a demandé que toute la lumière soit faite sur cette affaire pour reconquérir la confiance de la population. Il a également lancé un appel à l'unité et à la réconciliation nationale pour régler les problèmes du pays. Siavosh Ghazi

« Personne n'aurait pensé qu'un avion civil puisse être la cible d'un missile. Cette erreur a été commise par ceux qui travaillent pour assurer la sécurité du pays », a déclaré le président iranien lors d'une intervention au Conseil des ministres, en ajoutant que le « crash de l'avion ukrainien a été une grande douleur pour tout le monde, le gouvernement, le peuple et les forces armées. » Il a aussi affirmé que pour apaiser cette douleur, il faut parler avec sincérité à la population, dire toute la vérité et reconnaître la responsabilité de chacun. « Je demande aux forces armées et à l'état-major d'expliquer à la population tout ce qui s'est passé entre le moment où l'accident s'est produit et le moment où la population a été informée et de dire les questions qui ont été posées et les réunions qui ont eu lieu pour que les gens comprennent qu'il n'y avait pas une volonté de cacher les choses », a déclaré le président Rohani. Pendant 72 heures, les autorités ont maintenu que le crash de l'avion ukrainien était dû à un simple problème technique avant que l'état-major des forces armées publie un communiqué pour reconnaître qu'un missile iranien avait provoqué la chute de l'avion. Des manifestations ont eu lieu ces derniers jours pour protester contre le silence des autorités pendant ces trois jours. Enfin, le président iranien a affirmé que l'erreur commise ne devait pas être un prétexte pour affaiblir les forces armées qui sont chargées d'assurer la sécurité du pays. Siavosh GHAZI, Téhéran.

ZK : Retour en France, au 42e jour de grève contre la réforme des retraites Édouard Philippe réaffirme la détermination du Gouvernement à mettre en place un système universel, et à supprimer les régimes spéciaux.

LB : Le premier ministre qui, à l'issue d'un séminaire à l'Elysée oppose la ligne gouvernementale à celle des grévistes qui poursuivent selon lui un mouvement « sans issue » et qui n'a que « trop duré dans les transports » - ce sont ses termes ; ce qui n'empêche pas de nouvelles actions aujourd'hui dans les ports, sur les rails, dans les raffineries ou même devant le ministère des Finances. Ce soir, l'intersyndicale appelle à une nouvelle journée de mobilisation nationale le 24 janvier en plus de celle prévue demain, jeudi.

ZK : Elle aussi s'est montrée très critique sur la réforme des retraites ce qui lui vaut d'être démise du poste auquel l'avait nommée Emmanuel macron.

LB : Ségolène Royal va quitter très prochainement son poste d'ambassadrice des pôles. « Un prochain Conseil des ministres pourrait examiner le projet de décret mettant fin à ses fonctions » indique aujourd'hui le Quai d'Orsay. L'ancienne candidate socialiste à la présidentielle fait par ailleurs l'objet d'une enquête préliminaire ouverte par le parquet national financier sur l'utilisation des moyens mis à sa disposition en tant qu'ambassadrice des pôles.

ZK : Direction l'Asie pour refermer ce journal. On s'intéresse à la découverte d'un nouveau coronavirus en Chine.

LB : Après le voyage d'une personne malade en Thaïlande, l'OMS affirme qu'elle s'attendait à ce que des cas se déclarent dans d'autres pays de la région. 41 malades ont été placés en quarantaine, une personne est décédée. L'épisode rappelle celui du SRAS en 2003. Le virus avait fait près de 800 morts et il pourrait aider les experts à combattre le nouveau coronavirus. À Genève, Jérémie Lanche.

[Début de la correspondance manquante] « Pour le coronavirus du SRAS et du MERS, il n'y a pas eu beaucoup de transmissions entre êtres humains. [Il s'agit plutôt de transmissions de l'animal vers l'homme]. Mais la transmission entre humains a été amplifié dans certains cas. Notamment dans les hôpitaux. A notre connaissance, aucun membre du personnel de santé qui prend en charge les malades n'est pour le moment atteint. Mais il faut garder à l'esprit que ce facteur a énormément joué dans les épidémies de SRAS et de MERS ». Aucune restriction de voyage n'a pour le moment été préconisée. Pas même dans la ville de Wuhan, dans le centre de la Chine, d'où semble venir la maladie. Mais le patron de l'OMS pourrait convoquer une réunion du Comité d'urgence de l'organisation, selon l'évolution de la situation.

LB : Ainsi s'achève ce journal en français facile, merci de l'avoir suivi. Merci à vous de votre fidélité à la radio du monde.