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RFI - Journal en français facile 2017 - 2020, Journal en français facile 17 décembre 2017

Journal en français facile 17 décembre 2017

21 h à Paris

20 h TU

Gilles Moreau : Bonsoir à tous, voici votre Journal en français facile présenté ce soir avec Sylvie Berruet. Bonsoir !

Dans l'actualité :

L'élection du successeur de Jacob Zuma à la tête de l'ANC, le parti au pouvoir en Afrique du sud. Après s'être mis d'accord sur la procédure de l'élection, les délégués doivent voter dans la soirée.

SB : Au Chili, c'est le second tour de la présidentielle ce dimanche. Le résultat s'annonce serré entre le candidat conservateur Sebastian Pinera et le socialiste Alejandro Guillier.

GM : Attentat meurtrier au Pakistan contre une église chrétienne. Revendiqué par le groupe Etat islamique, il a fait au moins 9 morts et des dizaines de blessés.

SB : Les handballeuses françaises championnes du monde ! Comme les handballeurs. En finale les Bleues ont battu la Norvège 23 à 21.

SB : Commençons par nous rendre au Chili où l'on vote au second tour de la présidentielle.

GM : Plus de 13 millions d'électeurs sont appelés à désigner le successeur de Michelle Bachelet. Face-à-face : le socialiste Alejandro Guillier et le conservateur Sebastian Piñera. Ce dernier, qui a déjà présidé le pays, partait favori, mais son score au 1er tour a été plus faible que prévu.

SB : Un thème, celui de la santé, a dominé les derniers jours de la campagne cette semaine. Il faut dire qu'il figure parmi les premières préoccupations des Chiliens. En cause : les délais d'attente trop longs dans les hôpitaux publics.

A Santiago, le reportage de Justine Fontaine :

« Pour certaines opérations par exemple, à cause du manque de médecins spécialistes, l'attente peut se compter en années, comme le raconte Veronica Orellana, une femme au foyer de 55 ans : « Imaginez : je me suis fait opérer l'an dernier, en avril, pour des calculs biliaires que j'avais depuis trois ou quatre ans ! Quand ils m'ont appelé je leur ai dit : "mais c'est une blague ?! Mais j'ai quand même dû me faire opérer.» Le seul moyen de les contourner est de payer pour être soigné dans une clinique privée.Pour réduire l'attente des patients qui n'ont pas les moyens de le faire, l'ancien président de droite Sebastian Pinera propose notamment un chèque santé aux patients qui ne seraient pas reçus sous un mois dans le secteur public. Enrique Paris, ancien président du syndicat chilien de médecins, est aujourd'hui conseiller de Sebastian Pinera sur les questions de santé : « Nous pensons que les gens ont le droit d'être reçus donc si l'Etat chilien n'est pas capable de les soigner dans les délais établis, ils auront la possibilité d'aller dans une clinique adaptée à leur pathologie. » A gauche, Alejandro Guillier promet de créer une caisse de solidarité pour que les soins soient accessibles y compris aux personnes les plus précaires, dont certaines ne sont aujourd'hui couvertes par aucune assurance santé. » GM : Voilà pour cette élection présidentielle au Chili dont le résultat devrait être connu ce soir vers 23 heures TU. SB : En Afrique du sud, on attend de savoir qui va succéder à Jacob Zuma à la tête de l'ANC, le Congrès national africain, le Parti au pouvoir.

GM : L'attente se prolonge à Johannesbourg où les délégués du parti doivent voter dans la soirée après s'être mis d'accord sur les règles du vote. Ils vont départager deux candidats : Cyril Ramaphosa et Nkosazana lamini-Zuma.

L'enjeu est de taille ( important ) : en toute logique,le vainqueur succédera à Jacob Zuma comme chef de l'Etat, en 2019.

SB : Plusieurs dizaines d'arrestations au Gabon, au lendemain de l'attaque au couteau de deux ressortissants danois.

GM : Les victimes ont été blessées par un Nigérien se réclamant du jihadisme. Les forces de sécurité gabonaises sont intervenues tôt ce matin au "village artisanal" de Libreville, où s'est produite l'agression.

SB : Aux Philippines, une manifestation de soutien aux Palestiniens.

GM : Des dizaines de milliers de personnes ont défilé dans la capitale Djakarta, à l'appel de plusieurs organisations musulmanes. Les manifestants ont protesté contre la décision de Donald Trump de reconnaître Jérusalem comme capitale d'Israël. Cette reconnaissance, très critiquée à travers le monde, fera demain lundi l'objet d'un vote demain au Conseil de sécurité de l'ONU.

SB : Attentat meurtrier au Pakistan. Il a visé une église chrétienne, à l'heure de la messe.

GM : Revendiqué par le groupe Etat islamique, cet attentat a fait au moins 9 morts et près de 60 blessés dans la province du Balouchistan.

Le récit de Toufik Benaïchouche :

« Tout s'est déroulé au moment de la messe dominicale. Elle venait de commencer. Dans l'église, quelque 400 fidèles. Des hommes portant des ceintures d'explosifs sur eux tentent de se rapprocher de l'autel, mais la police et l'armée, déployées en grand nombre à l'intérieur et à l'extérieur du bâtiment veillent. " Nous avons abattu l'un (des assaillants), et l'autre s'est fait exploser après avoir été blessé par la police" a expliqué le ministre de l'Intérieur de la province. IL a expliqué que 2 autres assaillants ont réussi à fuir. Ils courent toujours. L'église disposait également de gardiens, car les lieux de culte chrétiens sont fréquemment pris pour cibles par des extrémistes musulmans. Quelques heures plus tard, le groupe Etat islamique revendiquait la paternité de cette attaque dans un communiqué, diffusé sur internet par Amaq, son organe de propagande. Dans cette province du Balouchistan, des séparatistes accusent depuis des années les autorités pakistannaises de discrimination et réclament une meilleure répartition des bénéfices tirés des ressources gazières. » SB : Revenons maintenant sur l'accord de gouvernement qui permet à l'extrême-droite de faire son retour au pouvoir en Autriche. GM : Allié à la droite du jeune chancelier Sebastian Kurz, le FPÖ disposera notamment des portefeuilles régaliens des Affaires étrangères, de l'Intérieur et de la Défense.

Le nouveau gouvernement prêtera serment ce lundi.

En 2000, lorsque le FPÖ était arrivé au pouvoir, les Etats membres de l'UE avaient pris des sanctions contre l'Autriche. Cette fois, les dirigeants de l'Union européenne n'ont pas réagi.

Les précisions à Bruxelles de Laxmi Lota :

« Les seules réactions européennes pour l'instant sont celles des leaders d'extrême-droite. Ils étaient réunis samedi à Prague et ont salué “un évènement historique”. Les dirigeants des instances européennes n'ont pour l'heure pas commenté cet accord avec l'extrême-droite en Autriche. Le Parti socialiste francais réclame pourtant une “réaction forte" de la part de l'Union européenne. Dans un communiqué, il condamne la formation de ce gouvernement et rappelle que l'Autriche va prendre la présidence du Conseil européen, à partir de juillet prochain. En 2000, les Etats membres avaient pris des sanctions lorsque le FPÔ était arrivé au pouvoir : l'Autriche avait été isolée diplomatiquement pendant quelques mois. Des mesures qui semblent improbables aujourd'hui : dans un contexte de montée des partis d'extrême-droite en France, aux Pays-Bas ou en Allemagne. » GM : Il est temps de retrouver Yvan Amar pour l'expression de la semaine. Aujourd'hui '"prendre ses responsabilités" : « Jacob Zuma n'a pas pris ses responsabilités apprend-on en écoutant RFI ! Cette expression commente son dernier discours et son départ de l'ANC qu'il a dirigée pendant dix ans et qui est le parti historique de Mandela qui a obtenu la fin de l'apartheid. Et on dit que le discours de Zuma est revanchard, aigri, accusateur. Autrement dit, Zuma accuse tout le monde sauf lui, en laissant un parti déconsidéré, corrompu, en mauvais état. Et s'il n'a pas pris ses responsabilités, c'est qu'il n'a pas reconnu ses erreurs ou ses échecs. L'expression est courante avec des sens un peu différents. Et par forcément négative.Et on l'entend souvent à la forme affirmative, et même très affirmative, appuyée, parfois provocante. Nous prendrons nos responsabilités. Ça sonne comme un avertissement, une menace. Un syndicat, un parti politique, une personne d'influence peuvent prononcer cette phrase, comme une mise en garde, dont le sens est clair : si vous persistez, si vous faites telle ou telle chose, je répondrai de façon offensive, en attaquant de mon côté : grève ou mise en accusation… Je prendrai mes responsabilités c'est-à-dire que je n'hésiterai pas à avoir cette attitude hostile. J'oserai passer cette limite, aller au-delà de ce que je fais à l'ordinaire. Et si on me le reproche, je saurai dire pourquoi, j'en serai responsable, je l'assumerai. C'est bien cela, prendre ses responsabilités. Enfin si l'on dit de quelqu'un, d'un air dubitatif, « il prend ses responsabilités, » c'est qu'on le désapprouve, qu'on s'en sépare, qu'on s'en désolidarise. Il prend ses responsabilités, c'est-à-dire, j'espère qu'il sait ce qu'il fait. Après, il devra se défendre tout seul si jamais on le lui reproche. » GM : Merci et à la semaine prochaine Yvan Amar. Les handballeuses françaises deviennent championnes du monde !

SB : En finale du Mondial à Hambourg, elles ont réussi l'exploit de terrasser (de vaincre ) la Norvège qui partait favorite.

GM : Le hand est actuellement une vraie spécialité française. la France détient désormais le titre de champion du monde chez les hommes et chez les femmes.

C'est la fin de votre Journal en français facile à retrouver sur notre site à la page RFI Savoirs.

Bonsoir à tous, bonsoir Sylvie !

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Journal en français facile 17 décembre 2017 Journal en français facile December 17, 2017

21 h à Paris

20 h TU

Gilles Moreau  : Bonsoir à tous, voici votre Journal en français facile présenté ce soir avec Sylvie Berruet. Bonsoir !

Dans l’actualité :

L’élection du successeur de Jacob Zuma à la tête de l’ANC, le parti au pouvoir en Afrique du sud. Après s’être mis d’accord sur la procédure de l’élection,  les délégués doivent voter dans la soirée.

SB : Au Chili, c’est le second tour de la présidentielle ce dimanche. Le résultat s’annonce serré entre le candidat conservateur Sebastian Pinera et le socialiste Alejandro Guillier.

GM : Attentat meurtrier au Pakistan contre une église chrétienne. Revendiqué par le groupe Etat islamique, il a fait au moins 9 morts et des dizaines de blessés.

SB : Les handballeuses françaises championnes du monde ! Comme les handballeurs. En finale les Bleues ont battu la Norvège 23 à 21.

SB : Commençons par nous rendre au Chili où l’on vote au second tour de la présidentielle.

GM : Plus de 13 millions d’électeurs sont appelés à désigner le successeur de Michelle Bachelet. Face-à-face : le socialiste Alejandro Guillier et le conservateur Sebastian Piñera. Ce dernier, qui a déjà présidé le pays,  partait favori, mais son score au 1er tour a été plus faible que prévu.

SB : Un thème, celui de la santé, a dominé les derniers jours de la campagne cette semaine. Il faut dire qu’il figure parmi les premières préoccupations des Chiliens. En cause : les délais d’attente trop longs dans les hôpitaux publics.

A Santiago, le reportage de Justine Fontaine :

« Pour certaines opérations par exemple, à cause du manque de médecins spécialistes, l’attente peut se compter en années, comme le raconte Veronica Orellana, une femme au foyer de 55 ans : « Imaginez : je me suis fait opérer l’an dernier, en avril, pour des calculs biliaires que j’avais depuis trois ou quatre ans ! ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||biliary||||||| Quand ils m’ont appelé je leur ai dit : "mais c’est une blague ?! Mais j’ai quand même dû me faire opérer.» Le seul moyen de les contourner est de payer pour être soigné dans une clinique privée.Pour réduire l’attente des patients qui n’ont pas les moyens de le faire, l’ancien président de droite Sebastian Pinera propose notamment un chèque santé aux patients qui ne seraient pas reçus sous un mois dans le secteur public. Enrique Paris, ancien président du syndicat chilien de médecins, est  aujourd’hui conseiller de Sebastian Pinera sur les questions de santé : « Nous pensons que les gens ont le droit d’être reçus donc si l’Etat chilien n’est pas capable de les soigner dans les délais établis, ils auront la possibilité d’aller dans une clinique adaptée à leur pathologie. » A gauche, Alejandro Guillier promet de créer une caisse de solidarité pour que les soins soient accessibles y compris aux personnes les plus précaires, dont certaines ne sont aujourd’hui couvertes par aucune assurance santé. » GM : Voilà pour cette élection présidentielle au Chili dont le résultat devrait être connu ce soir vers 23  heures TU. SB : En Afrique du sud, on attend de savoir qui va succéder à Jacob Zuma à la tête de l’ANC, le Congrès national africain, le Parti au pouvoir.

GM : L’attente se prolonge à Johannesbourg où les délégués du parti doivent voter dans la soirée après s’être mis d’accord sur les règles du vote. Ils vont départager deux candidats : Cyril Ramaphosa et  Nkosazana lamini-Zuma.

L’enjeu est de taille ( important ) : en toute logique,le vainqueur succédera à Jacob Zuma comme chef de  l’Etat, en 2019.

SB : Plusieurs dizaines d’arrestations au Gabon, au lendemain de l’attaque au couteau de deux ressortissants danois.

GM : Les victimes ont été blessées par un Nigérien se réclamant du jihadisme. Les forces de sécurité gabonaises sont intervenues tôt ce matin au "village artisanal" de Libreville, où s’est produite l’agression.

SB : Aux Philippines, une manifestation de soutien aux Palestiniens.

GM : Des dizaines de milliers de personnes ont défilé dans la capitale Djakarta, à l’appel de plusieurs organisations musulmanes. Les manifestants ont protesté contre la décision de Donald Trump de reconnaître Jérusalem comme capitale d’Israël. Cette reconnaissance, très critiquée à travers le monde, fera demain lundi l’objet d’un vote demain au Conseil de sécurité de l’ONU.

SB : Attentat meurtrier au Pakistan. Il a visé une église chrétienne, à l’heure de la messe.

GM : Revendiqué par le groupe Etat islamique, cet attentat a fait au moins 9 morts et près de 60 blessés dans la province du Balouchistan.

Le récit  de Toufik Benaïchouche :

« Tout s’est déroulé au moment de la messe dominicale. Elle venait de commencer. Dans l’église, quelque 400 fidèles. Des hommes portant des ceintures d’explosifs sur eux tentent de se rapprocher de l’autel, mais la police et l’armée, déployées en grand nombre à l’intérieur et à l’extérieur du bâtiment veillent. " Nous avons abattu l’un (des assaillants), et l’autre s’est fait exploser après avoir été blessé par la police" a expliqué le ministre de l’Intérieur de la province. IL a expliqué que 2 autres assaillants ont réussi à fuir. Ils courent toujours. L’église disposait également de gardiens, car les lieux de culte chrétiens sont fréquemment pris pour cibles par des extrémistes musulmans. Quelques heures plus tard, le groupe Etat islamique revendiquait la paternité de cette attaque dans un communiqué, diffusé sur internet  par Amaq, son organe de propagande. Dans cette province du Balouchistan, des séparatistes accusent depuis des années les autorités pakistannaises de discrimination et réclament une meilleure répartition des bénéfices tirés des ressources gazières. ||||||||||||||||||||||||||gas »   SB : Revenons maintenant sur l’accord de gouvernement qui permet à l’extrême-droite de faire son retour au pouvoir en Autriche. GM : Allié à la droite du jeune chancelier Sebastian Kurz, le FPÖ disposera notamment des portefeuilles régaliens des Affaires étrangères, de l’Intérieur et de la Défense.

Le nouveau gouvernement prêtera serment ce lundi.

En 2000, lorsque le FPÖ était arrivé au pouvoir, les Etats membres de l’UE avaient pris des sanctions contre l’Autriche. Cette fois, les dirigeants de l’Union européenne n’ont pas réagi.

Les précisions à Bruxelles de Laxmi Lota :

« Les seules réactions européennes pour l’instant sont celles des leaders d’extrême-droite. Ils étaient réunis samedi à Prague et ont salué “un évènement historique”. Les dirigeants des instances européennes n’ont pour l’heure pas commenté cet accord avec l’extrême-droite en Autriche. Le Parti socialiste francais réclame pourtant une “réaction forte" de la part de l’Union européenne. Dans un communiqué, il condamne la formation de ce gouvernement et rappelle que l’Autriche va prendre la présidence du Conseil européen, à partir de juillet prochain. En 2000, les Etats membres avaient pris des sanctions lorsque le FPÔ était arrivé au pouvoir : l’Autriche avait été isolée diplomatiquement pendant quelques mois. Des mesures qui semblent improbables aujourd’hui : dans un contexte de montée des partis d’extrême-droite en France, aux Pays-Bas ou en Allemagne. » GM : Il est temps de retrouver Yvan Amar pour l’expression de la semaine. Aujourd’hui '"prendre ses responsabilités" : « Jacob Zuma n’a pas pris ses responsabilités apprend-on en écoutant RFI ! Cette expression commente son dernier discours et son départ de l’ANC qu’il a dirigée pendant dix ans et qui est le parti historique de Mandela qui a obtenu la fin de l’apartheid. Et on dit que le discours de Zuma est revanchard, aigri, accusateur. ||||||||||bitter| Autrement dit, Zuma accuse tout le monde sauf lui, en laissant un parti déconsidéré, corrompu, en mauvais état. Et s’il n’a pas pris ses responsabilités, c’est qu’il n’a pas reconnu ses erreurs ou ses échecs. L’expression est courante avec des sens un peu différents. Et par forcément négative.Et on l’entend souvent à la forme affirmative, et même très affirmative, appuyée, parfois provocante. Nous prendrons nos responsabilités. Ça sonne comme un avertissement, une menace. Un syndicat, un parti politique, une personne d’influence peuvent prononcer cette phrase, comme une mise en garde, dont le sens est clair : si vous persistez, si vous faites telle ou telle chose, je répondrai de façon offensive, en attaquant de mon côté : grève ou mise en accusation… Je prendrai mes responsabilités c’est-à-dire que je n’hésiterai pas à avoir cette attitude hostile. J’oserai passer cette limite, aller au-delà de ce que je fais à l’ordinaire. Et si on me le reproche, je saurai dire pourquoi, j’en serai responsable, je l’assumerai. C’est bien cela, prendre ses responsabilités. Enfin si l’on dit de quelqu’un, d’un air  dubitatif, « il prend ses responsabilités, » c’est qu’on le désapprouve, qu’on s’en sépare, qu’on s’en désolidarise. Il prend ses responsabilités, c’est-à-dire, j’espère qu’il sait ce qu’il fait. Après, il devra se défendre tout seul si jamais on le lui reproche. » GM : Merci et à la semaine prochaine Yvan Amar. Les handballeuses françaises deviennent championnes du monde !

SB : En finale du Mondial à Hambourg, elles ont réussi l’exploit de terrasser (de vaincre ) la Norvège qui partait favorite.

GM : Le hand est actuellement une vraie spécialité française. la France détient désormais le titre de champion du monde chez les hommes et chez les femmes.

C’est la fin de votre Journal en français facile à retrouver sur notre site à la page RFI Savoirs.

Bonsoir à tous, bonsoir Sylvie !