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RFI: Journal en Français Facile, Journal en français facile 01/08/2020 20h00 GMT

Journal en français facile 01/08/2020 20h00 GMT

#Français de l'actualité Romain Auzouy : Bonsoir à tous, bienvenue dans votre Journal en français facile, il est 22h à Paris 20h en temps universel. Ce Journal en français facile est présenté en compagnie de Sylvie Berruet. Bonsoir Sylvie.

Sylvie Berruet : Bonsoir Romain, bonsoir à tous.

RA : À la Une de l'actualité ce soir, la tension retombe à Portland aux États-Unis. Les agents fédéraux se sont retirés de la ville, mais le président Donald Trump prévient que ces agents resteront sur place.

SB : À Hong Kong encore un coup dur pour les militants pro-démocratie. La police ordonne l'arrestation de six militants qui vivent en exil. Une mesure qui intervient après l'annonce du report d'un an des élections législatives. RA : La pandémie de coronavirus. Dans ce Journal en français facile, nous évoquerons la difficile situation de l'Espagne. L'Espagne est confrontée à une baisse très importante de sa fréquentation touristique : moins 70% dans certaines régions. Et en France, les tests qui sont désormais obligatoires dans les aéroports pour les voyageurs de retour de 16 pays dits à risque.

-----

SB : Aux États-Unis, le calme semble revenir à Portland.

RA : Portland, c'est la plus grande ville de l'Oregon. Et c'est là qu'a lieu tous les jours des manifestations. Manifestations contre les violences policières après la mort de Georges Floyd à la fin du mois de mai. Et puis, la mobilisation a continué après que Donald Trump a ordonné l'envoi, dans la ville, d'agents fédéraux. Aujourd'hui, la situation semble s'apaiser car ces agents se sont retirés, mais ils vont rester sur place prévient le président américain. La correspondance de Loubna Anaki.

La nuit dernière encore, des centaines de personnes ont marché dans le centre-ville de Portland. Entourés de mères de familles et de vétérans venus les soutenir ces derniers jours contre les troupes fédérales, les manifestants ont pu librement circuler sans qu'aucun acte de violences ou affrontement avec les forces de l'ordre n'ait lieu. Devant le tribunal fédéral, la police n'a pas eu à intervenir depuis trois jours. La zone était devenue, ces deux dernières semaines, le théâtre d'affrontements entre les manifestants et les agents fédéraux envoyés par Washington. Le président américain avait dit vouloir mettre fin à ce qu'il a qualifié d'anarchie, mais la présence des troupes fédérales avait provoqué la colère des dirigeants locaux qui ont dénoncé des méthodes trop violentes qui, selon eux, ne faisaient qu'attiser les tensions. Le retrait des troupes fédérales semble donc désamorcer la situation. Certains analystes voient là une défaite symbolique pour Donald Trump, mais le président hier encore a affirmé que les troupes fédérales pourraient rester, prêtes à être redéployées tant que la police locale n'a pas, je cite, « nettoyé Portland des agitateurs ». Le président américain a même évoqué l'éventuel envoi de la garde nationale en renfort. Loubna Anaki, New York, RFI.

SB : À Hong Kong, une nouvelle mesure visant les militants pro-démocratie

RA : Cette mesure intervient après l'annonce du report des élections législatives, officiellement à cause de la pandémie de coronavirus. On a appris que la police de Hong Kong avait ordonné l'arrestation de six militants pro-démocratie qui vivent en exil, ils trouvent notamment aux États-Unis ou au Royaume-Uni. Les explications de Joris Zylberman.

L'exil et la nationalité étrangère ne nous protègeront pas. C'est le constat amer de Samuel Chu, militant hongkongais pour la démocratie et citoyen américain. Il a appris, ce vendredi, être recherché pour avoir, je cite, « incité à la sécession et à la collusion avec des puissances étrangères ». « Si je suis visé, a-t-il déclaré, n'importe quel Américain, n'importe quel citoyen de n'importe quel pays qui s'exprime en faveur de Hong Kong peut l'être et le sera aussi. » C'est la première fois que les autorités hongkongaises invoquent la compétence extraterritoriale de la nouvelle loi sur la sécurité nationale pour s'en prendre à des militants hors de Hong Kong. Également recherché, Nathan Law, l'un des leaders des manifestations de 2019. Il a récemment fui Hong Kong pour la Grande-Bretagne. Tout comme Simon Cheng, cet ancien employé du consulat britannique à Hong Kong a obtenu l'asile à Londres après s'être plaint de tortures en Chine. Depuis l'entrée en vigueur de la nouvelle loi, quatre étudiants ont été arrêtés pour incitation à la sécession sur les réseaux sociaux. Douze candidats pro-démocrates ont été disqualifiés pour les législatives qui devait avoir lieu en septembre. Après le report de ces élections dans un an annoncé hier, l'Allemagne a suspendu son traité d'extradition avec Hong Kong, imitant ainsi le Royaume-Uni ou l'Australie. Ce que Pékin a condamné comme une violation des lois internationales.

RA : Joris Zylberman.

SB : La pandémie de coronavirus à présent. Et la situation très difficile de l'Espagne. RA : L'Espagne bat des records de contaminations quotidiennes. Cela entraine la défiance des pays voisins, c'est-à-dire qu'ils s'inquiètent d'une telle situation. Et par conséquent, ils prennent des décisions : hier, l'Allemagne a annoncé que les voyageurs de retour de trois régions classées à risque se verraient imposer une quarantaine, sauf s'ils présentent un test négatif. Le Royaume-Uni avait pris une décision dans le même sens, mais sur l'ensemble de l'Espagne. Et puis un peu plus tôt, la France avait conseillé de ne pas se rendre en Catalogne, cette région du nord-est de l'Espagne. Tout cela a des conséquences lourdes sur le tourisme. La preuve, sur la Costa Daurada, en Catalogne, une baisse de 70% de l'affluence touristique est enregistrée cet été. On écoute le maire de la ville de Salou, il s'appelle Pere Granado, il est désespéré et dénonce l'égoïsme des autres pays européens. (Transcription manquante)

RA : Le maire de la ville de Salou dans le nord-est de l'Espagne, au micro de l'envoyée spéciale de RFI, Juliette Gheerbrant. À noter également en Europe, une manifestation qui a fait polémique en Allemagne, manifestation de ceux que l'on pourrait appeler les « anti-coronavirus ». Plusieurs milliers de personnes qui ont défilé à Berli, la capitale allemande, pour réclamer la fin des mesures pour combattre le Covid-19. Ils ont été dispersés par la police, car ils ne portaient pas de masque.

Et puis la pandémie en Asie avec deux informations importantes aujourd'hui. D'abord au Japon l'état d'urgence a été déclaré dans la région très touristique d'Okinawa, c'est dans le sud du pays. Les autorités parlent d'une « propagation explosive du virus ». Par conséquent, les habitants sont invités à rester chez eux pendant deux semaines. Et puis Hong Kong également confronté à une nouvelle vague de contamination, l'ex colonie britannique a dû ouvrir ce samedi un hôpital de campagne de 500 lits. Enfin, la mise en garde de l'Organisation mondiale de la santé. La pandémie va probablement être très longue. C'est ce qu'indique le Comité d'urgence de l'organisation qui est réuni depuis hier à Genève en Suisse. SB : Et puis d'autres mesures de restriction, cette fois en France. RA : Cela concerne les voyageurs en provenance de 16 pays. La liste avait été rendue publique la semaine dernière, on y retrouve notamment les États-Unis, le Brésil ou encore l'Algérie. Les voyageurs de retour de ces pays-là doivent être testés à leur arrivée dans un aéroport français. C'est une mesure qui était facultative depuis une vingtaine de jours et, depuis ce samedi, ces tests sont obligatoires. Comment cela va-t-il se passer ? Les explications de Marie Casadebaig.

Les aéroports parisiens de Roissy et d'Orly, les premiers concernés, ont les moyens de tester 3 000 passagers par jour, mais ils ne s'attendent pas à un tel afflux. Il faut dire que les frontières avec ces 16 pays sont fermés. Les vols sont donc rares. Seuls les citoyens français résidents dans ces pays ou les étrangers ayant une résidence stable en France devront finalement se plier à ce dispositif. Aussi parmi eux, certains auront déjà en leur possession une attestation prouvant qu'ils ne sont pas porteurs du virus. Quatre des 16 pays demandent obligatoirement ce document aux passagers qui quittent leur territoire. C'est le cas des États-Unis, du Panama, de Bahreïn et des Émirats arabes unis. À l'arrivée des vols, les passagers seront donc séparés en deux fils. D'un côté, ceux qui devront présenter cette attestation, de l'autre, ceux qui devront passer le test à l'aéroport. Les tests PCR seront réalisés sous des tentes à l'abri des regards. Les patients devront laisser leurs coordonnées. Les résultats leur seront envoyés sous 36 heures. En attendant, ils pourront quitter l'aéroport, mais devront rester à l'isolement. Et si les résultats sont positifs, ils seront placés en quatorzaine. En cas de refus, la préfecture pourra prendre un arrêté individuel de privation de liberté. Le récalcitrant pourra alors être assigné à un domicile précis, où il sera contrôlé par les autorités sanitaires.

SB : Marie Casadebaig.

Enfin en football, Arsenal remporte la Coupe d'Angleterre. RA : Les Gunners, c'est ainsi qu'est appelée l'équipe d'Arsenal, ont battu ce soir Chelsea 2 buts à 1. Les deux buts d'Arsenal ont été marqués par l'international gabonais Pierre-Emerick Aubameyang. Un trophée, la Coupe d'Angleterre, et surtout avec lui la garantie de disputer une coupe d'Europe la saison prochaine en l'occurrence la Ligue Europa. C'est la fin de ce Journal en français facile. Merci Sylvie.


Journal en français facile 01/08/2020 20h00 GMT Journal in easy French 01/08/2020 20h00 GMT

#Français de l'actualité Romain Auzouy : Bonsoir à tous, bienvenue dans votre Journal en français facile, il est 22h à Paris 20h en temps universel. Ce Journal en français facile est présenté en compagnie de Sylvie Berruet. Bonsoir Sylvie.

Sylvie Berruet : Bonsoir Romain, bonsoir à tous.

RA : À la Une de l'actualité ce soir, la tension retombe à Portland aux États-Unis. Les agents fédéraux se sont retirés de la ville, mais le président Donald Trump prévient que ces agents resteront sur place.

SB : À Hong Kong encore un coup dur pour les militants pro-démocratie. La police ordonne l'arrestation de six militants qui vivent en exil. Une mesure qui intervient après l'annonce du report d'un an des élections législatives. RA : La pandémie de coronavirus. Dans ce Journal en français facile, nous évoquerons la difficile situation de l'Espagne. L'Espagne est confrontée à une baisse très importante de sa fréquentation touristique : moins 70% dans certaines régions. Et en France, les tests qui sont désormais obligatoires dans les aéroports pour les voyageurs de retour de 16 pays dits à risque.

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SB : Aux États-Unis, le calme semble revenir à Portland.

RA : Portland, c'est la plus grande ville de l'Oregon. Et c'est là qu'a lieu tous les jours des manifestations. Manifestations contre les violences policières après la mort de Georges Floyd à la fin du mois de mai. Et puis, la mobilisation a continué après que Donald Trump a ordonné l'envoi, dans la ville, d'agents fédéraux. Aujourd'hui, la situation semble s'apaiser car ces agents se sont retirés, mais ils vont rester sur place prévient le président américain. La correspondance de Loubna Anaki.

La nuit dernière encore, des centaines de personnes ont marché dans le centre-ville de Portland. Entourés de mères de familles et de vétérans venus les soutenir ces derniers jours contre les troupes fédérales, les manifestants ont pu librement circuler sans qu'aucun acte de violences ou affrontement avec les forces de l'ordre n'ait lieu. Devant le tribunal fédéral, la police n'a pas eu à intervenir depuis trois jours. La zone était devenue, ces deux dernières semaines, le théâtre d'affrontements entre les manifestants et les agents fédéraux envoyés par Washington. Le président américain avait dit vouloir mettre fin à ce qu'il a qualifié d'anarchie, mais la présence des troupes fédérales avait provoqué la colère des dirigeants locaux qui ont dénoncé des méthodes trop violentes qui, selon eux, ne faisaient qu'attiser les tensions. Le retrait des troupes fédérales semble donc désamorcer la situation. Certains analystes voient là une défaite symbolique pour Donald Trump, mais le président hier encore a affirmé que les troupes fédérales pourraient rester, prêtes à être redéployées tant que la police locale n'a pas, je cite, « nettoyé Portland des agitateurs ». Le président américain a même évoqué l'éventuel envoi de la garde nationale en renfort. Loubna Anaki, New York, RFI.

SB : À Hong Kong, une nouvelle mesure visant les militants pro-démocratie

RA : Cette mesure intervient après l'annonce du report des élections législatives, officiellement à cause de la pandémie de coronavirus. On a appris que la police de Hong Kong avait ordonné l'arrestation de six militants pro-démocratie qui vivent en exil, ils trouvent notamment aux États-Unis ou au Royaume-Uni. Les explications de Joris Zylberman.

L'exil et la nationalité étrangère ne nous protègeront pas. C'est le constat amer de Samuel Chu, militant hongkongais pour la démocratie et citoyen américain. Il a appris, ce vendredi, être recherché pour avoir, je cite, « incité à la sécession et à la collusion avec des puissances étrangères ». « Si je suis visé, a-t-il déclaré, n'importe quel Américain, n'importe quel citoyen de n'importe quel pays qui s'exprime en faveur de Hong Kong peut l'être et le sera aussi. » C'est la première fois que les autorités hongkongaises invoquent la compétence extraterritoriale de la nouvelle loi sur la sécurité nationale pour s'en prendre à des militants hors de Hong Kong. Également recherché, Nathan Law, l'un des leaders des manifestations de 2019. Il a récemment fui Hong Kong pour la Grande-Bretagne. Tout comme Simon Cheng, cet ancien employé du consulat britannique à Hong Kong a obtenu l'asile à Londres après s'être plaint de tortures en Chine. Depuis l'entrée en vigueur de la nouvelle loi, quatre étudiants ont été arrêtés pour incitation à la sécession sur les réseaux sociaux. Douze candidats pro-démocrates ont été disqualifiés pour les législatives qui devait avoir lieu en septembre. Après le report de ces élections dans un an annoncé hier, l'Allemagne a suspendu son traité d'extradition avec Hong Kong, imitant ainsi le Royaume-Uni ou l'Australie. Ce que Pékin a condamné comme une violation des lois internationales.

RA : Joris Zylberman.

SB : La pandémie de coronavirus à présent. Et la situation très difficile de l'Espagne. RA : L'Espagne bat des records de contaminations quotidiennes. Cela entraine la défiance des pays voisins, c'est-à-dire qu'ils s'inquiètent d'une telle situation. Et par conséquent, ils prennent des décisions : hier, l'Allemagne a annoncé que les voyageurs de retour de trois régions classées à risque se verraient imposer une quarantaine, sauf s'ils présentent un test négatif. Le Royaume-Uni avait pris une décision dans le même sens, mais sur l'ensemble de l'Espagne. Et puis un peu plus tôt, la France avait conseillé de ne pas se rendre en Catalogne, cette région du nord-est de l'Espagne. Tout cela a des conséquences lourdes sur le tourisme. La preuve, sur la Costa Daurada, en Catalogne, une baisse de 70% de l'affluence touristique est enregistrée cet été. On écoute le maire de la ville de Salou, il s'appelle Pere Granado, il est désespéré et dénonce l'égoïsme des autres pays européens. (Transcription manquante)

RA : Le maire de la ville de Salou dans le nord-est de l'Espagne, au micro de l'envoyée spéciale de RFI, Juliette Gheerbrant. À noter également en Europe, une manifestation qui a fait polémique en Allemagne, manifestation de ceux que l'on pourrait appeler les « anti-coronavirus ». Plusieurs milliers de personnes qui ont défilé à Berli, la capitale allemande, pour réclamer la fin des mesures pour combattre le Covid-19. Ils ont été dispersés par la police, car ils ne portaient pas de masque.

Et puis la pandémie en Asie avec deux informations importantes aujourd'hui. D'abord au Japon l'état d'urgence a été déclaré dans la région très touristique d'Okinawa, c'est dans le sud du pays. Les autorités parlent d'une « propagation explosive du virus ». Par conséquent, les habitants sont invités à rester chez eux pendant deux semaines. Et puis Hong Kong également confronté à une nouvelle vague de contamination, l'ex colonie britannique a dû ouvrir ce samedi un hôpital de campagne de 500 lits. Enfin, la mise en garde de l'Organisation mondiale de la santé. La pandémie va probablement être très longue. C'est ce qu'indique le Comité d'urgence de l'organisation qui est réuni depuis hier à Genève en Suisse. SB : Et puis d'autres mesures de restriction, cette fois en France. RA : Cela concerne les voyageurs en provenance de 16 pays. La liste avait été rendue publique la semaine dernière, on y retrouve notamment les États-Unis, le Brésil ou encore l'Algérie. Les voyageurs de retour de ces pays-là doivent être testés à leur arrivée dans un aéroport français. C'est une mesure qui était facultative depuis une vingtaine de jours et, depuis ce samedi, ces tests sont obligatoires. Comment cela va-t-il se passer ? Les explications de Marie Casadebaig.

Les aéroports parisiens de Roissy et d'Orly, les premiers concernés, ont les moyens de tester 3 000 passagers par jour, mais ils ne s'attendent pas à un tel afflux. Il faut dire que les frontières avec ces 16 pays sont fermés. Les vols sont donc rares. Seuls les citoyens français résidents dans ces pays ou les étrangers ayant une résidence stable en France devront finalement se plier à ce dispositif. Aussi parmi eux, certains auront déjà en leur possession une attestation prouvant qu'ils ne sont pas porteurs du virus. Quatre des 16 pays demandent obligatoirement ce document aux passagers qui quittent leur territoire. C'est le cas des États-Unis, du Panama, de Bahreïn et des Émirats arabes unis. À l'arrivée des vols, les passagers seront donc séparés en deux fils. D'un côté, ceux qui devront présenter cette attestation, de l'autre, ceux qui devront passer le test à l'aéroport. Les tests PCR seront réalisés sous des tentes à l'abri des regards. Les patients devront laisser leurs coordonnées. Les résultats leur seront envoyés sous 36 heures. En attendant, ils pourront quitter l'aéroport, mais devront rester à l'isolement. Et si les résultats sont positifs, ils seront placés en quatorzaine. En cas de refus, la préfecture pourra prendre un arrêté individuel de privation de liberté. Le récalcitrant pourra alors être assigné à un domicile précis, où il sera contrôlé par les autorités sanitaires.

SB : Marie Casadebaig.

Enfin en football, Arsenal remporte la Coupe d'Angleterre. RA : Les Gunners, c'est ainsi qu'est appelée l'équipe d'Arsenal, ont battu ce soir Chelsea 2 buts à 1. Les deux buts d'Arsenal ont été marqués par l'international gabonais Pierre-Emerick Aubameyang. Un trophée, la Coupe d'Angleterre, et surtout avec lui la garantie de disputer une coupe d'Europe la saison prochaine en l'occurrence la Ligue Europa. C'est la fin de ce Journal en français facile. Merci Sylvie.