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Livres utiles - Livre Audio - Channe Youtube, L'investisseur intelligent. Benjamin Graham, Jason Zweig, Warren E. Buffett. Livre audio (1)

L'investisseur intelligent. Benjamin Graham, Jason Zweig, Warren E. Buffett. Livre audio (1)

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plus utiles et les plus intéressants

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chapitre 1 investissement versus

spéculation résultat attendus par

l'investisseur intelligent

[Musique]

ce chapitre donne un aperçu des points

de vue qui seront exposés dans le reste

du livre audio en particulier nous

souhaitons développer dès le début notre

concept de stratégie de portefeuille

approprié pour l'investisseur individuel

non professionnel

investissement versus spéculation

qu'entendons-nous par investisseur au

fil de ce livre audio le terme sera

employé par opposition à spéculateur

déjà en 1934 dans notre ouvrage security

analyse nous avions tenté de formuler

précisément la différence entre les deux

termes comme suit un investissement est

une opération qui après analyse

minutieuse garantit la sécurité du

capital et promet un rendement adéquat

les opérations ne satisfaisant pas à ces

critères sont dites spéculatives si nous

nous sommes tenus à cette définition ces

38 dernières années il vaut la peine de

noter les changements radicaux dans

l'emploi du terme investisseur durant

cette période après la Grande Dépression

de

1929-1932 toutes les actions ordinaires

étaient largement considérées spéculatif

par nature une figure éminente a même

déclaré platement que seuls les

obligations pouvaient être considérées

comme des investissements nous avons

donc dû défendre notre définition contre

l'accusation qu'elle donnait une portée

trop étendue au concept d'investissement

notre préoccupation est à présent tout

l'opposé nous devons dissuader nos

auditeurs d'accepter l'usage courant qui

nomme investisseur tous ceux qui

s'intéressent à la Bourse dans notre

édition précédente nous avions cité le

gros titre suivant qui figurait à la Une

de notre principal journal financier en

juin 1962 petits investisseurs

pessimistes vantent à découvert en

octobre 1970 le même journal publié un

éditorial critiquant ce qu'il estimait

être des investisseurs imprudents qui

cette fois se bousculaient pour acheter

des titres ces citations illustrent bien

la confusion qui domine depuis de

nombreuses années l'emploi des mots

investissement et spéculation considérez

la définition de l'investissement

suggéré précédemment et comparez-la à la

vente de quelques actions par un

néophyte qui ne possède même pas ce

qu'ils vend et est convaincu qu'il

pourra les racheter à moindre prix il

vaut la peine pour faire remarquer que

quand l'article de 1962 est paru le

marché avait déjà connu un déclin

prolongé et se préparer alors à un

rebond encore plus important c'était à

peu près le pire moment possible pour

vendre à découvert dans un sens plus

général l'expression investisseur

imprudents employé plus tard pourraient

être considéré comme un oxymore amusant

un peu comme avare dépensier s'il

n'était pas si dangereux le journal a

employé le terme investisseur dans les

deux cas car dans le parler de Wall

Street quiconque achète ou vend un titre

est devenu un investisseur

indépendamment de ce qu'il achète ou

pour quelle raison à quel prix ou si ces

comptables ou à découvert comparer ceci

à l'attitude du public envers les

actions en 1948 époque à laquelle plus

de 90% des sondés étaient opposé à

l'achat d'action au motifs quels étaient

risquées un pari pour la moitié d'entre

eux et qu'il ne s'y connaissait pas pour

l'autre il est effectivement ironique

bien que peu sur que les actions de

toutes sortes étaient généralement

considérées comme hautement spéculatif

ou risqué à une époque où elle se

vendait au cours le plus attrayant et

allez bientôt effectuer leur plus rapide

ascension de l'histoire inversement le

fait même qu'elles avaient atteint des

niveaux sans aucun doute dangereux sur

base d'expérience passées les a ensuite

transformé en investissement et tout le

public d'actionnaires en investisseurs

la distinction entre investissement et

spéculation en bourse a toujours été

utile et sa disparition est préoccupante

nous avons souvent dit que Wall Street

en tant qu'institution aurait tout

intérêt à rétablir cette distinction et

insister dessus dans toutes ses

transactions avec le public faute de

quoi la bourse pourrait un jour se voit

reprocher des pertes spéculatives

importantes corromp subit ceux qui

n'auront pas été informés correctement

ironiquement une fois de plus la

majorité des récents embarras financiers

de certaines firmes boursières semblent

venir de l'achat de titres spéculatifs

en fonds propres nous espérons que sera

plus clairvoyant quand au risque

inhérent au placement boursier risque

inséparables des opportunités de

plus-values qu'ils offrent et qui

doivent tout de figurer dans les calculs

de l'investisseur ce que nous venons de

dire indique qu'il pourrait ne plus

exister de stratégie d'investissement en

action représentative pure dans le sens

où l'on peut toujours attendre de les

acheter un cours qui n'implique aucun

risque de perte de marché ou de cotation

assez conséquents pour être inquiétant

la plupart du temps l'investisseur doit

reconnaître l'existence d'un facteur

spéculatif dans ses placements en action

c'est à lui de minimiser cet élément et

de se préparer financièrement et

psychologiquement à de mauvais résultats

sur une durée courte ou longue deux

paragraphes devraient être ajoutés sur

la spéculation boursière en soi à

distinguer du facteur spéculatif à

présent inhérent à la plupart des

actions la spéculation pure et simple

n'est ni illégale ni immoral ni pour la

plupart des gens bonne pour le

portefeuille en outre certaines

spéculation est nécessaire et inévitable

car tout placement s'accompagne d'un

potentiel de bénéfices et de perte

substantielles et ce risque doit donc

être assumé par quelqu'un la spéculation

est bénéfique à deux niveaux d'abord

sans spéculation des start-up non

éprouvées comme Amazon.com ou avant

celle-ci Edison Electric like Go

n'aurait jamais pu lever le capital

nécessaire pour se développer la

perspective alléchante mais hasardeuse

d'un immense gain et l'huile qui

lubrifie la machine de l'innovation

ensuite le risque est échangé mais pas

éliminé chaque fois qu'une action est

achetée ou vendue l'acheteur achète le

risque préliminaire que cette action

puisse baisser en attendant le vendeur

conserve toujours un risque résiduel

celui de voir monter le cours de

l'action qu'il vient de vendre il existe

de la spéculation intelligente comme il

existe de l'investissement intelligent

mais il existe de nombreuses manières de

spéculer inintelligemment parmi

celles-ci les principales sont

spéculer quand vous pensez investir

deux spéculer de manière sérieuse au

lieu d'en faire un passe-temps quand il

vous manque les connaissances et

compétences nécessaires et 3 spéculer

plus d'argent que vous ne pouvez vous

permettre d'en perdre selon notre

opinion prudente tout investisseur non

professionnel opérant un compte sur

marge devrait reconnaître qu'ils spécule

ipso facto et il est du devoir de son

courtier de le conseiller dans ce sens

un compte sur marge vous permet

d'acheter des actions avec de l'argent

emprunté à une maison de courtage en

investissant des capitaux empruntés vous

gagnez plus quand les cours montent mais

vous pouvez perdre gros quand il baisse

les actions achetées sont laissées en

garantie du prêt aussi vous devez

débourser de l'argent si leur cours

tombe sous le montant emprunté de même

tout investisseur achetant une action

recherchée ou un quelconque titre de

manière similaire devrait reconnaître

qu'il spécule ou mise spéculé toujours

fascinant et peut-être très amusant tant

que vous avez une longueur d'avance si

vous voulez tenter votre mettez de côté

une portion le moins le mieux de votre

capital dans un fond séparé à cette fin

n'ajoutez jamais d'argent sur ce compte

au motif que le marché monte et que les

bénéfices rentrent c'est au contraire le

moment de penser à retirer vos gains de

votre fond spéculatif ne mélangez jamais

vos opérations d'investissement et de

spéculation sur vos comptes ni dans vos

pensées

résultat attendu par l'investisseur

défensif

nous avons déjà défini l'investisseur

défensif comme étant celui qui recherche

avant tout la sécurité et l'absence de

contrainte en général quel parcours

devrait-il suivre et quelle rentabilité

devrait-il espérer dans des conditions

normales moyennes si de telles

conditions existent pour répondre à ces

questions nous allons commencer par

prendre en considération ce que nous

avons écrit à ce sujet il y a six ans

avant d'aborder les changements

significatifs dans les facteurs

gouvernant le rendement attendu par un

investisseur et enfin ce qu'il devrait

faire et à quoi il devrait s'attendre

aux conditions actuelles début 1972

1 ce que nous disions il y a 6 ans

nous recommandions que l'investisseur

est parti ses placements entre des

obligations et des actions de première

catégories que la proportion

d'obligations ne tombe jamais souvent et

n'atteignent jamais plus de 75%, le

contraire étant nécessairement vrai pour

la composante action que le choix le

plus simple serait de maintenir une

répartition de 55 ans entre les deux en

rééquilibrant quand l'écart du haut

mouvement du marché atteignaient disons

5%. une stratégie alternative pouvait

être de réduire la composante action

ordinaire à 25%. s'il sentait que le

marché était dangereusement haut et

réciproquement l'augmenter jusqu'à 75%,

s'il sentait qu'un déclin boursier les

rendait d'autant plus attrayantes en

1965 l'investisseur pouvait obtenir un

rendement d'environ 4,5% sur des

obligations imposables de première

qualité et de 3,25% sur des obligations

non imposables le rendement en dividende

des principales actions ordinaires avec

un Dow Jones à 982 n'était alors que de

3,2%. ce fait parmi d'autres suggérer la

prudence nous avions laissé entendre

qu'à des niveaux normaux du marché

l'investisseur devrait pouvoir obtenir

un rendement en dividende initial entre

3,5% et 4,5 % sur ses actions auxquelles

devraient être ajoutées une appréciation

continue de la valeur intrinsèque et du

prix normal du marché à peu près égale

donnant une rentabilité combinée

dividende plus appréciation d'environ

7,5% par an la répartition à part égale

entre obligation et actions rapporterait

environ 6% avant impôt nous avions

ajouté que la composante action devrait

fournir un certain degré de protection

contre la baisse de pouvoir d'achat

causée par une inflation à grande

échelle notez que les calculs précédents

prédisaient une hausse du marché

boursier bien inférieure à celle

survenue entre 1949 et 1964 pendant

cette période la hausse annuelle des

cours à moyenner bien plus de 10% pour

l'ensemble des actions côté en bourse et

était généralement considéré comme

représentatif du futur peu de gens

étaient prêts à envisager sérieusement

la possibilité que la croissance rapide

du passé signifiait que les cours

étaient à présent surévalués et donc que

les merveilleux résultats depuis 1949

laisser présager n'ont pas de très bons

mais de mauvais résultats à l'avenir

2 ce qui s'est passé depuis 1964

le principal changement depuis 1964 a

été la hausse des taux d'intérêt des

obligations de première catégorie pour

atteindre des niveaux inégalés même s'il

y a eu une légère diminution depuis 1970

le rendement offert par de bonnes

obligations d'entreprises est à présent

d'environ 7,5% et plus contre 4,5% en

1964 entre temps le rendement en

dividende des actions de type Dow Jones

a bien augmenté lui aussi pendant le

déclin du marché de 1969 70 mais à

l'heure on nous écrivons ceci avec un do

à 900 il est de moins de 3,5% contre 3,2

% fin 1964 la hausse des taux d'intérêt

a entraîné une dépréciation maximum

d'environ 38% du cours des obligations à

maturité moyenne disons 20 ans durant

cette période ces développements ont un

aspect paradoxal en 1964 nous avions

discuté en détail de la possibilité que

le cours des actions puisse être trop

élevé et juger à un déclin sérieux mais

nous n'avions pas considéré

spécifiquement la possibilité qu'il

arrive la même chose aux obligations de

première catégorie ni qui que ce soit à

notre connaissance nous avertissons

qu'une obligation à maturité longue peut

voir son cours varier radicalement en

réponse à l'évolution des taux d'intérêt

au vu de ce qui s'est passé depuis nous

estimons que cet avertissement ainsi que

les exemples cités n'étaient pas

suffisamment appuyées car le fait est

que si l'investisseur avait investi dans

le Dow Jones à son cours de clôture de

874 en 1964 il serait légèrement gagnant

fin 1971 même au niveau le plus bas de

l'indice 631 en 1970 sa perte aurait été

inférieure à celle de bonnes obligations

à maturité longue d'un autre côté s'il

avait limité ces investissements

obligataires à des bons du Trésor

américain des titres d'entreprise à

courtes maturité ou des comptes

d'épargne il n'aurait encouru aucune

perte de capital durant cette période et

aurait touché les coupons supérieurs aux

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L'investisseur intelligent. Benjamin Graham, Jason Zweig, Warren E. Buffett. Livre audio (1) The investor|intelligent||||Zweig||||| The intelligent investor. Benjamin Graham, Jason Zweig, Warren E. Buffett. Audio book (1) El inversor inteligente. Benjamin Graham, Jason Zweig, Warren E. Buffett. Audiolibro (1)

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chapitre 1 investissement versus

spéculation résultat attendus par

l'investisseur intelligent

[Musique]

ce chapitre donne un aperçu des points

de vue qui seront exposés dans le reste

du livre audio en particulier nous

souhaitons développer dès le début notre

concept de stratégie de portefeuille

approprié pour l'investisseur individuel

non professionnel

investissement versus spéculation

qu'entendons-nous par investisseur au what do we mean||||

fil de ce livre audio le terme sera

employé par opposition à spéculateur

déjà en 1934 dans notre ouvrage security |||||security

analyse nous avions tenté de formuler

précisément la différence entre les deux

termes comme suit un investissement est

une opération qui après analyse

minutieuse garantit la sécurité du

capital et promet un rendement adéquat

les opérations ne satisfaisant pas à ces

critères sont dites spéculatives si nous

nous sommes tenus à cette définition ces

38 dernières années il vaut la peine de

noter les changements radicaux dans

l'emploi du terme investisseur durant

cette période après la Grande Dépression

de

1929-1932 toutes les actions ordinaires

étaient largement considérées spéculatif |||speculative

par nature une figure éminente a même ||||eminent||

déclaré platement que seuls les |flatly|||

obligations pouvaient être considérées

comme des investissements nous avons

donc dû défendre notre définition contre

l'accusation qu'elle donnait une portée

trop étendue au concept d'investissement

notre préoccupation est à présent tout

l'opposé nous devons dissuader nos

auditeurs d'accepter l'usage courant qui

nomme investisseur tous ceux qui

s'intéressent à la Bourse dans notre

édition précédente nous avions cité le

gros titre suivant qui figurait à la Une

de notre principal journal financier en

juin 1962 petits investisseurs

pessimistes vantent à découvert en

octobre 1970 le même journal publié un

éditorial critiquant ce qu'il estimait

être des investisseurs imprudents qui |||unwise|

cette fois se bousculaient pour acheter |||were pushing||

des titres ces citations illustrent bien

la confusion qui domine depuis de

nombreuses années l'emploi des mots

investissement et spéculation considérez

la définition de l'investissement

suggéré précédemment et comparez-la à la

vente de quelques actions par un

néophyte qui ne possède même pas ce

qu'ils vend et est convaincu qu'il

pourra les racheter à moindre prix il

vaut la peine pour faire remarquer que

quand l'article de 1962 est paru le

marché avait déjà connu un déclin

prolongé et se préparer alors à un

rebond encore plus important c'était à

peu près le pire moment possible pour

vendre à découvert dans un sens plus

général l'expression investisseur

imprudents employé plus tard pourraient

être considéré comme un oxymore amusant

un peu comme avare dépensier s'il

n'était pas si dangereux le journal a

employé le terme investisseur dans les

deux cas car dans le parler de Wall

Street quiconque achète ou vend un titre

est devenu un investisseur

indépendamment de ce qu'il achète ou

pour quelle raison à quel prix ou si ces

comptables ou à découvert comparer ceci

à l'attitude du public envers les

actions en 1948 époque à laquelle plus

de 90% des sondés étaient opposé à

l'achat d'action au motifs quels étaient

risquées un pari pour la moitié d'entre

eux et qu'il ne s'y connaissait pas pour

l'autre il est effectivement ironique

bien que peu sur que les actions de

toutes sortes étaient généralement

considérées comme hautement spéculatif

ou risqué à une époque où elle se

vendait au cours le plus attrayant et

allez bientôt effectuer leur plus rapide

ascension de l'histoire inversement le

fait même qu'elles avaient atteint des

niveaux sans aucun doute dangereux sur

base d'expérience passées les a ensuite

transformé en investissement et tout le

public d'actionnaires en investisseurs

la distinction entre investissement et

spéculation en bourse a toujours été

utile et sa disparition est préoccupante

nous avons souvent dit que Wall Street

en tant qu'institution aurait tout ||as an institution||

intérêt à rétablir cette distinction et

insister dessus dans toutes ses

transactions avec le public faute de

quoi la bourse pourrait un jour se voit

reprocher des pertes spéculatives

importantes corromp subit ceux qui |corrupt|||

n'auront pas été informés correctement

ironiquement une fois de plus la

majorité des récents embarras financiers

de certaines firmes boursières semblent

venir de l'achat de titres spéculatifs |||||speculative

en fonds propres nous espérons que sera

plus clairvoyant quand au risque

inhérent au placement boursier risque

inséparables des opportunités de

plus-values qu'ils offrent et qui

doivent tout de figurer dans les calculs

de l'investisseur ce que nous venons de

dire indique qu'il pourrait ne plus

exister de stratégie d'investissement en

action représentative pure dans le sens

où l'on peut toujours attendre de les

acheter un cours qui n'implique aucun

risque de perte de marché ou de cotation |||||||quotation

assez conséquents pour être inquiétant |consequential|||

la plupart du temps l'investisseur doit

reconnaître l'existence d'un facteur

spéculatif dans ses placements en action

c'est à lui de minimiser cet élément et

de se préparer financièrement et

psychologiquement à de mauvais résultats

sur une durée courte ou longue deux

paragraphes devraient être ajoutés sur

la spéculation boursière en soi à

distinguer du facteur spéculatif à

présent inhérent à la plupart des

actions la spéculation pure et simple

n'est ni illégale ni immoral ni pour la

plupart des gens bonne pour le

portefeuille en outre certaines

spéculation est nécessaire et inévitable

car tout placement s'accompagne d'un

potentiel de bénéfices et de perte

substantielles et ce risque doit donc substantial|||||

être assumé par quelqu'un la spéculation

est bénéfique à deux niveaux d'abord

sans spéculation des start-up non

éprouvées comme Amazon.com ou avant

celle-ci Edison Electric like Go

n'aurait jamais pu lever le capital

nécessaire pour se développer la

perspective alléchante mais hasardeuse

d'un immense gain et l'huile qui

lubrifie la machine de l'innovation lubricates||||

ensuite le risque est échangé mais pas

éliminé chaque fois qu'une action est

achetée ou vendue l'acheteur achète le

risque préliminaire que cette action

puisse baisser en attendant le vendeur

conserve toujours un risque résiduel

celui de voir monter le cours de

l'action qu'il vient de vendre il existe

de la spéculation intelligente comme il

existe de l'investissement intelligent

mais il existe de nombreuses manières de

spéculer inintelligemment parmi |unintelligently|

celles-ci les principales sont

spéculer quand vous pensez investir

deux spéculer de manière sérieuse au

lieu d'en faire un passe-temps quand il

vous manque les connaissances et

compétences nécessaires et 3 spéculer

plus d'argent que vous ne pouvez vous

permettre d'en perdre selon notre

opinion prudente tout investisseur non

professionnel opérant un compte sur

marge devrait reconnaître qu'ils spécule ||||speculate

ipso facto et il est du devoir de son therefore||||||||

courtier de le conseiller dans ce sens

un compte sur marge vous permet

d'acheter des actions avec de l'argent

emprunté à une maison de courtage en |||||brokerage|

investissant des capitaux empruntés vous

gagnez plus quand les cours montent mais

vous pouvez perdre gros quand il baisse

les actions achetées sont laissées en

garantie du prêt aussi vous devez

débourser de l'argent si leur cours

tombe sous le montant emprunté de même

tout investisseur achetant une action

recherchée ou un quelconque titre de

manière similaire devrait reconnaître

qu'il spécule ou mise spéculé toujours ||||speculated|

fascinant et peut-être très amusant tant

que vous avez une longueur d'avance si

vous voulez tenter votre mettez de côté

une portion le moins le mieux de votre

capital dans un fond séparé à cette fin

n'ajoutez jamais d'argent sur ce compte

au motif que le marché monte et que les

bénéfices rentrent c'est au contraire le

moment de penser à retirer vos gains de

votre fond spéculatif ne mélangez jamais

vos opérations d'investissement et de

spéculation sur vos comptes ni dans vos

pensées

résultat attendu par l'investisseur

défensif

nous avons déjà défini l'investisseur

défensif comme étant celui qui recherche

avant tout la sécurité et l'absence de

contrainte en général quel parcours

devrait-il suivre et quelle rentabilité

devrait-il espérer dans des conditions

normales moyennes si de telles

conditions existent pour répondre à ces

questions nous allons commencer par

prendre en considération ce que nous

avons écrit à ce sujet il y a six ans

avant d'aborder les changements

significatifs dans les facteurs

gouvernant le rendement attendu par un governing|||||

investisseur et enfin ce qu'il devrait

faire et à quoi il devrait s'attendre

aux conditions actuelles début 1972

1 ce que nous disions il y a 6 ans

nous recommandions que l'investisseur |recommended||

est parti ses placements entre des

obligations et des actions de première

catégories que la proportion

d'obligations ne tombe jamais souvent et

n'atteignent jamais plus de 75%, le

contraire étant nécessairement vrai pour

la composante action que le choix le

plus simple serait de maintenir une

répartition de 55 ans entre les deux en

rééquilibrant quand l'écart du haut rebalancing||||

mouvement du marché atteignaient disons

5%. une stratégie alternative pouvait

être de réduire la composante action

ordinaire à 25%. s'il sentait que le

marché était dangereusement haut et

réciproquement l'augmenter jusqu'à 75%,

s'il sentait qu'un déclin boursier les

rendait d'autant plus attrayantes en

1965 l'investisseur pouvait obtenir un

rendement d'environ 4,5% sur des

obligations imposables de première |taxable||

qualité et de 3,25% sur des obligations

non imposables le rendement en dividende

des principales actions ordinaires avec

un Dow Jones à 982 n'était alors que de

3,2%. ce fait parmi d'autres suggérer la

prudence nous avions laissé entendre

qu'à des niveaux normaux du marché

l'investisseur devrait pouvoir obtenir

un rendement en dividende initial entre

3,5% et 4,5 % sur ses actions auxquelles

devraient être ajoutées une appréciation

continue de la valeur intrinsèque et du

prix normal du marché à peu près égale

donnant une rentabilité combinée

dividende plus appréciation d'environ

7,5% par an la répartition à part égale

entre obligation et actions rapporterait

environ 6% avant impôt nous avions

ajouté que la composante action devrait

fournir un certain degré de protection

contre la baisse de pouvoir d'achat

causée par une inflation à grande

échelle notez que les calculs précédents

prédisaient une hausse du marché

boursier bien inférieure à celle

survenue entre 1949 et 1964 pendant

cette période la hausse annuelle des

cours à moyenner bien plus de 10% pour ||average||||

l'ensemble des actions côté en bourse et

était généralement considéré comme

représentatif du futur peu de gens

étaient prêts à envisager sérieusement

la possibilité que la croissance rapide

du passé signifiait que les cours

étaient à présent surévalués et donc que |||overvalued|||

les merveilleux résultats depuis 1949

laisser présager n'ont pas de très bons

mais de mauvais résultats à l'avenir

2 ce qui s'est passé depuis 1964

le principal changement depuis 1964 a

été la hausse des taux d'intérêt des

obligations de première catégorie pour

atteindre des niveaux inégalés même s'il |||unmatched||

y a eu une légère diminution depuis 1970

le rendement offert par de bonnes

obligations d'entreprises est à présent

d'environ 7,5% et plus contre 4,5% en

1964 entre temps le rendement en

dividende des actions de type Dow Jones

a bien augmenté lui aussi pendant le

déclin du marché de 1969 70 mais à

l'heure on nous écrivons ceci avec un do

à 900 il est de moins de 3,5% contre 3,2

% fin 1964 la hausse des taux d'intérêt

a entraîné une dépréciation maximum

d'environ 38% du cours des obligations à

maturité moyenne disons 20 ans durant

cette période ces développements ont un

aspect paradoxal en 1964 nous avions

discuté en détail de la possibilité que

le cours des actions puisse être trop

élevé et juger à un déclin sérieux mais

nous n'avions pas considéré

spécifiquement la possibilité qu'il

arrive la même chose aux obligations de

première catégorie ni qui que ce soit à

notre connaissance nous avertissons |||warn

qu'une obligation à maturité longue peut

voir son cours varier radicalement en

réponse à l'évolution des taux d'intérêt

au vu de ce qui s'est passé depuis nous

estimons que cet avertissement ainsi que

les exemples cités n'étaient pas

suffisamment appuyées car le fait est

que si l'investisseur avait investi dans

le Dow Jones à son cours de clôture de

874 en 1964 il serait légèrement gagnant

fin 1971 même au niveau le plus bas de

l'indice 631 en 1970 sa perte aurait été

inférieure à celle de bonnes obligations

à maturité longue d'un autre côté s'il

avait limité ces investissements

obligataires à des bons du Trésor bondholders|||||

américain des titres d'entreprise à

courtes maturité ou des comptes

d'épargne il n'aurait encouru aucune |||incurred|

perte de capital durant cette période et

aurait touché les coupons supérieurs aux