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Actualité du jour, Malaisie :  naufragés en pleine mer pendant dix jours, ils survivent en mangeant

Malaisie : naufragés en pleine mer pendant dix jours, ils survivent en mangeant

C'est une histoire qui pourrait bien finir sur un écran de cinéma.

Début mai, un dénommé Lam, Malaisien à la tête d'un complexe hôtelier, se lancent avec deux Espagnols et sa stagiaire dans un petit voyage ayant pour but de visiter les îles situées au large de l'Etat de Sabah, non loin de Bornéo. Soleil, paysages que l'on imagine paradisiaque, tout est réuni pour que la petite bande, à bord de son bateau, passe un agréable moment. C'est sans compter sur les caprices de la mer qui, d'une vague, fait soudain chavirer leur embarcation. Si les passagers parviennent à remonter à bord, leur réserve d'eau potable et leurs torches sont définitivement perdues. Littéralement seuls au monde, ils se préparent alors au pire. Pendant dix jours, ils dériveront ainsi sur les eaux, espérant croiser un bateau ou toucher terre. Pour survivre, ils mangent les poissons volants qui atterrissent dans leur bateau, sans pouvoir les faire cuire. Pour boire, ils lèchent les gouttes condensées qui se forment à l'extérieur d'un sac d'eau de mer qui gît sous le soleil. Une technique salvatrice que l'un des naufragés a vu dans un film. Au bout de dix interminables journées, un chalutier vietnamien - présent illégalement dans les eaux de la Malaisie - viendra finalement secourir les malheureux. Bien entendu, tout le monde pensait que plus aucun des téléphones portables présents à bord n'étaient fonctionnels. Et pourtant : Armilla, la stagiaire, avait pris le soin de protéger le sien de l'humidité en le plaçant dans un sac plastique avant le début du voyage. Elle ne s'en rendra compte qu'à leur retour. Mais Lam l'assure : “Nous ne lui en voulons pas. Elle était tellement sous le choc”. Pour sa part, le Malaisien de 44 ans se retrouve désormais légèrement dégoûté du poisson cru : “Ne m'en parlez plus, dit-il, cela va prendre du temps avant que je mange à nouveau des sashimis !”.

Malaisie :  naufragés en pleine mer pendant dix jours, ils survivent en mangeant Malaysia: shipwrecked at sea for ten days, they survive by eating Malasia: naufragan en el mar durante diez días y sobreviven comiendo

C’est une histoire qui pourrait bien finir sur un écran de cinéma.

Début mai, un dénommé Lam, Malaisien à la tête d’un complexe hôtelier, se lancent avec deux Espagnols et sa stagiaire dans un petit voyage ayant pour but de visiter les îles situées au large de l’Etat de Sabah, non loin de Bornéo. Soleil, paysages que l’on imagine paradisiaque, tout est réuni pour que la petite bande, à bord de son bateau, passe un agréable moment. C’est sans compter sur les caprices de la mer qui, d’une vague, fait soudain chavirer leur embarcation. Si les passagers parviennent à remonter à bord, leur réserve d’eau potable et leurs torches sont définitivement perdues. Littéralement seuls au monde, ils se préparent alors au pire. Pendant dix jours, ils dériveront ainsi sur les eaux, espérant croiser un bateau ou toucher terre. Pour survivre, ils mangent les poissons volants qui atterrissent dans leur bateau, sans pouvoir les faire cuire. Pour boire, ils lèchent les gouttes condensées qui se forment à l’extérieur d’un sac d’eau de mer qui gît sous le soleil. Une technique salvatrice que l’un des naufragés a vu dans un film. Au bout de dix interminables journées, un chalutier vietnamien - présent illégalement dans les eaux de la Malaisie - viendra finalement secourir les malheureux. Bien entendu, tout le monde pensait que plus aucun des téléphones portables présents à bord n’étaient fonctionnels. Et pourtant : Armilla, la stagiaire, avait pris le soin de protéger le sien de l’humidité en le plaçant dans un sac plastique avant le début du voyage. Elle ne s’en rendra compte qu’à leur retour. Mais Lam l’assure : “Nous ne lui en voulons pas. Elle était tellement sous le choc”. Pour sa part, le Malaisien de 44 ans se retrouve désormais légèrement dégoûté du poisson cru : “Ne m’en parlez plus, dit-il, cela va prendre du temps avant que je mange à nouveau des sashimis !”.