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Journal en français facile RFI, Journal en français facile 19/12/2021 20h00 GMT

Journal en français facile 19/12/2021 20h00 GMT

Johanne Burgell : RFI 21h à Paris, 20h en temps universel. Bienvenue pour cette nouvelle édition du Journal en français facile. Pour le présenter avec moi, Charlotte Deroin, bonsoir Charlotte

Charlotte Deroin : Bonsoir Johanne, bonsoir à tous.

JB : Les électeurs chiliens n'ont plus qu'une heure pour aller voter et élire leur nouveau président. Ils ont le choix entre un candidat d'extrême-droite et un ancien leader étudiant de gauche.

CD : Les pays de l'Organisation de la coopération islamique vont débloquer de l'aide humanitaire pour l'Afghanistan.

JB : La pandémie de Covid-19 : la capitale britannique est en état d'alerte en raison des contaminations qui augmentent.

-----

CD : Au Chili, les électeurs votent pour élire leur nouveau président.

JB : Les Chiliens ont encore une heure pour se rendre dans un bureau de vote. Ce scrutin se déroule deux ans après les manifestations historiques contre les inégalités. D'un côté, il y a le candidat d'extrême droite, José Antonio Kast, défenseur de l'héritage de la dictature de Pinochet avec un programme économique ultralibéral. De l'autre, un ancien leader étudiant de gauche, Gabriel Boric, qui souhaite réformer la société avec un rôle fort de l'État. Reportage dans un bureau de vote à Santiago de Justine Fontaine.

« Mettez votre bulletin dans l'urne et signez ici. » Dans ce lycée public du centre-ville de Santiago, à deux stations de métro du palais présidentiel, on trouve une quarantaine de bureaux de vote. Tania, 32 ans, a voté pour le candidat de gauche Gabriel Boric, car il reprend une grande partie des demandes du mouvement social de la fin 2019 : « une éducation gratuite et de qualité, que les femmes et les hommes ne doivent pas prendre leur retraite, trop vieux, qu'ils aient des retraites dignes. Et puis qu'il n'y ait pas des gens qui doivent payer pour avoir accès à des soins de qualité, ni que des personnes n'aient pas accès à la santé faute d'argent. » Elle soutient aussi l'assemblée constituante, qui est en train de rédiger le texte qui pourrait remplacer bientôt la constitution actuelle, héritée de la dictature du général Pinochet. Mais Francisco, 42 ans, craint que les réformes promises par la gauche provoquent de l'instabilité économique. Alors il votera pour le candidat d'extrême-droite José Antonio Kast : « ce n'est pas mon idole, honnêtement, mais je pense que l'économie est davantage à la peine quand il y a un gouvernement de gauche, car les chefs d'entreprise ne lui sont pas favorables. » Entre les deux tours, les candidats ont tenté de modérer leurs programmes et leurs discours, notamment José Antonio Kast, concernant les femmes et les droits de la communauté LGBT+. Les deux hommes étaient ces derniers jours au coude à coude dans les sondages.

CD : Les pays de l'Organisation de la coopération islamique promettent de débloquer de l'aide humanitaire pour l'Afghanistan.

JB : Lors d'une réunion à Islamabad, les pays musulmans ont assuré qu'ils mettraient en place un fonds de donations pour contrer la crise humanitaire qui touche l'Afghanistan. L'OCI, organisation qui compte 57 pays membres, dit vouloir travailler avec les Nations-Unies. L'ONU qui estime que 97% de la population afghane pourrait basculer sous le seuil de pauvreté. Cette rencontre était la première depuis la chute de Bagdad et la prise de pouvoirs des talibans en août dernier. Correspondance, Sonia Ghezali.

À l'issue de cette réunion, la résolution adoptée par les pays signataires semble vague. On sait que la Banque islamique de développement sera chargée de mettre en place un fond humanitaire. Mais pour l'instant les pays participants n'ont pas annoncé le montant de leur donation à venir. Il faudra donc attendre la mise en place du fond spécial pour avoir une idée de la valeur totale de l'aide financière qui sera apportée à l'Afghanistan à travers l'OCI. L'argent qui sera récolté sera certainement distribué via des organismes des Nations Unies afin de ne pas aller contre les sanctions américaines. L'Organisation de coopération islamique a par ailleurs annoncé qu'un envoyé spécial sera nommé prochainement pour se rendre en Afghanistan afin d'évaluer les besoins sur place. Aucune annonce n'a été faite sur le dégel des fonds de la banque centrale afghane. La question des droits de l'homme et des droits des femmes a été également évoquée, mais n'a pas été un point majeur de cette réunion consacrée à la crise humanitaire dans un pays qui est « en chute libre » selon les termes du Secrétaire général adjoint des Nations Unies aux affaires humanitaires.

CD : Le secrétaire général de l'ONU a commencé sa visite de 3 jours au Liban.

JB : Antonio Guterres est arrivé ce dimanche dans le pays, afin de montrer sa « solidarité » alors que le Liban est frappé par une crise économique et financière sans précédent. Cette crise s'accompagne d'une paralysie politique qui empêche la mise en place des réformes nécessaires, au moment où plus de 80% de la population vit en dessous du seuil de pauvreté. Demain, Antonio Guterres se rendra sur le port de Beyrouth pour rendre hommage aux victimes de l'explosion d'août 2020 qui a fait plus de 200 morts et 6 500 blessés.

CD : La pandémie de Covid-19, et le variant Omicron toujours très actif.

JB : La Commission européenne annonce un accord avec les laboratoires BioNtech et Pfizer pour accélérer les livraisons de vaccins dans l'UE. 20 millions de doses supplémentaires devraient être fournies aux États membres au premier semestre 2022 afin de faciliter les campagnes de vaccination. Au Royaume-Uni, Londres est en état d'alerte. 25 000 nouvelles contaminations ont été enregistrées dans la capitale britannique hier. Depuis le début de la pandémie, c'est la deuxième fois que ce qui est appelé « un état d'incident majeur » est déclenché. Explications à Londres de Marie Boëda.

Ça veut dire que le maire Sadiq Khan peut faire appel à des fonctionnaires pour renforcer les équipes hospitalières ou de secours de la ville. Comme par exemple demander de l'aide aux pompiers pour conduire des ambulances, ou à un secrétaire de mairie pour gérer des tâches administratives d'un hôpital. Il y a une hausse des hospitalisations de 28% dans la capitale par rapport à la semaine dernière. Le maire a fait part de son inquiétude, car de plus en plus de membres du personnel sont testés positifs. Cette disposition avait déjà été mise en place en janvier dernier quand le variant anglais, devenu Alpha, faisait des ravages. Ce matin, le ministre de la Santé Sajid Javid était invité sur la chaîne SkyNews, il n'a pas nié la possibilité de mettre en place un confinement de deux semaines après Noël. Cette hypothèse revient avec insistance ces dernières heures, mais il ne l'a pas confirmé non plus. Il s'en est pris aux non-vaccinés, cinq millions de personnes environ. Précisant que la nette majorité des formes graves à l'hôpital sont des gens qui ont refusé les injections.

CD : Une rencontre s'est tenue à Bruxelles pour préparer un sommet avec l'Afrique.

JB : Le président du Conseil européen, Charles Michel, a reçu aujourd'hui plusieurs dirigeants africains en vue du sommet entre l'Union européenne (UE) et l'Union africaine (UA) qui doit se tenir mi-février. La cheffe de la diplomatie belge s'est notamment entretenue avec le chef de l'État congolais, président en exercice de l'UA, Felix Tshisekedi. Le président du Sénégal, Macky Sall, qui prendra la présidence de l'UA pour la période 2022-2023 et le président du Rwanda Paul Kagame ont également participé à cette réunion de travail.

CD : La crise monétaire est de plus en plus forte en Turquie.

JB : Et l'un des effets des difficultés économiques, c'est le manque grandissant de médicaments, que ce soient les traitements contre le diabète, contre des cancers ou contre un simple rhume. Tous ces remèdes sont devenus très difficiles à trouver dans les pharmacies du pays. Les précisions de Pauline Gleize.

Plus de « 700 médicaments » sont aujourd'hui introuvables et la liste s'allonge de jour en jour, déplore le secrétaire général des médecins de Turquie. Le secteur médical est l'un des plus gravement touchés par la crise en raison de sa dépendance aux importations. La livre turque a perdu plus de la moitié de sa valeur depuis le début de l'année par rapport au dollar. Les achats extérieurs coûtent donc plus cher. Mais, selon l'Union des médecins, le ministère de la Santé continuerait de payer les fournisseurs avec un cours loin de sa nouvelle réalité. Alors certains « se sont retirés du marché parce qu'ils commençaient à perdre de l'argent ». Les pharmaciens appellent le gouvernement à réévaluer les prix des médicaments au moins trois fois par an. Relever les tarifs des médicaments importés ne suffira pas forcément. Avec la flambée des matières premières liée à la pandémie, les traitements produits en Turquie sont eux aussi affectés. Les producteurs locaux réclament donc que les retards de paiement tiennent compte du taux de change actuel. De leur côté, les autorités turques nient l'existence de la crise. Le ministre de la Santé accuse les entreprises pharmaceutiques de vendre « cher » leurs produits.

JB : Le Mondial féminin de handball est terminé, à Granollers, en Espagne. Les deux meilleures équipes du moment, la Norvège et la France s'affrontaient. Les Norvégiennes l'ont largement emporté, score final : 29-22. Elles ont pourtant été dominées par les Françaises en première période avant de renverser le match. C'est la fin de ce Journal en français facile, merci Charlotte de l'avoir présenté avec moi.

CD : Avec plaisir Johanne, bonne soirée.

Journal en français facile 19/12/2021 20h00 GMT

Johanne Burgell : RFI 21h à Paris, 20h en temps universel. Bienvenue pour cette nouvelle édition du Journal en français facile. Pour le présenter avec moi, Charlotte Deroin, bonsoir Charlotte

Charlotte Deroin : Bonsoir Johanne, bonsoir à tous.

JB : Les électeurs chiliens n'ont plus qu'une heure pour aller voter et élire leur nouveau président. Ils ont le choix entre un candidat d'extrême-droite et un ancien leader étudiant de gauche.

CD : Les pays de l'Organisation de la coopération islamique vont débloquer de l'aide humanitaire pour l'Afghanistan.

JB : La pandémie de Covid-19 : la capitale britannique est en état d'alerte en raison des contaminations qui augmentent.

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CD : Au Chili, les électeurs votent pour élire leur nouveau président.

JB : Les Chiliens ont encore une heure pour se rendre dans un bureau de vote. Ce scrutin se déroule deux ans après les manifestations historiques contre les inégalités. D'un côté, il y a le candidat d'extrême droite, José Antonio Kast, défenseur de l'héritage de la dictature de Pinochet avec un programme économique ultralibéral. De l'autre, un ancien leader étudiant de gauche, Gabriel Boric, qui souhaite réformer la société avec un rôle fort de l'État. Reportage dans un bureau de vote à Santiago de Justine Fontaine.

« Mettez votre bulletin dans l'urne et signez ici. » Dans ce lycée public du centre-ville de Santiago, à deux stations de métro du palais présidentiel, on trouve une quarantaine de bureaux de vote. Tania, 32 ans, a voté pour le candidat de gauche Gabriel Boric, car il reprend une grande partie des demandes du mouvement social de la fin 2019 : « une éducation gratuite et de qualité, que les femmes et les hommes ne doivent pas prendre leur retraite, trop vieux, qu'ils aient des retraites dignes. Et puis qu'il n'y ait pas des gens qui doivent payer pour avoir accès à des soins de qualité, ni que des personnes n'aient pas accès à la santé faute d'argent. » Elle soutient aussi l'assemblée constituante, qui est en train de rédiger le texte qui pourrait remplacer bientôt la constitution actuelle, héritée de la dictature du général Pinochet. Mais Francisco, 42 ans, craint que les réformes promises par la gauche provoquent de l'instabilité économique. Alors il votera pour le candidat d'extrême-droite José Antonio Kast : « ce n'est pas mon idole, honnêtement, mais je pense que l'économie est davantage à la peine quand il y a un gouvernement de gauche, car les chefs d'entreprise ne lui sont pas favorables. » Entre les deux tours, les candidats ont tenté de modérer leurs programmes et leurs discours, notamment José Antonio Kast, concernant les femmes et les droits de la communauté LGBT+. Les deux hommes étaient ces derniers jours au coude à coude dans les sondages.

CD : Les pays de l'Organisation de la coopération islamique promettent de débloquer de l'aide humanitaire pour l'Afghanistan.

JB : Lors d'une réunion à Islamabad, les pays musulmans ont assuré qu'ils mettraient en place un fonds de donations pour contrer la crise humanitaire qui touche l'Afghanistan. L'OCI, organisation qui compte 57 pays membres, dit vouloir travailler avec les Nations-Unies. L'ONU qui estime que 97% de la population afghane pourrait basculer sous le seuil de pauvreté. Cette rencontre était la première depuis la chute de Bagdad et la prise de pouvoirs des talibans en août dernier. Correspondance, Sonia Ghezali.

À l'issue de cette réunion, la résolution adoptée par les pays signataires semble vague. On sait que la Banque islamique de développement sera chargée de mettre en place un fond humanitaire. Mais pour l'instant les pays participants n'ont pas annoncé le montant de leur donation à venir. Il faudra donc attendre la mise en place du fond spécial pour avoir une idée de la valeur totale de l'aide financière qui sera apportée à l'Afghanistan à travers l'OCI. L'argent qui sera récolté sera certainement distribué via des organismes des Nations Unies afin de ne pas aller contre les sanctions américaines. L'Organisation de coopération islamique a par ailleurs annoncé qu'un envoyé spécial sera nommé prochainement pour se rendre en Afghanistan afin d'évaluer les besoins sur place. Aucune annonce n'a été faite sur le dégel des fonds de la banque centrale afghane. La question des droits de l'homme et des droits des femmes a été également évoquée, mais n'a pas été un point majeur de cette réunion consacrée à la crise humanitaire dans un pays qui est « en chute libre » selon les termes du Secrétaire général adjoint des Nations Unies aux affaires humanitaires.

CD : Le secrétaire général de l'ONU a commencé sa visite de 3 jours au Liban.

JB : Antonio Guterres est arrivé ce dimanche dans le pays, afin de montrer sa « solidarité » alors que le Liban est frappé par une crise économique et financière sans précédent. Cette crise s'accompagne d'une paralysie politique qui empêche la mise en place des réformes nécessaires, au moment où plus de 80% de la population vit en dessous du seuil de pauvreté. Demain, Antonio Guterres se rendra sur le port de Beyrouth pour rendre hommage aux victimes de l'explosion d'août 2020 qui a fait plus de 200 morts et 6 500 blessés.

CD : La pandémie de Covid-19, et le variant Omicron toujours très actif.

JB : La Commission européenne annonce un accord avec les laboratoires BioNtech et Pfizer pour accélérer les livraisons de vaccins dans l'UE. 20 millions de doses supplémentaires devraient être fournies aux États membres au premier semestre 2022 afin de faciliter les campagnes de vaccination. Au Royaume-Uni, Londres est en état d'alerte. 25 000 nouvelles contaminations ont été enregistrées dans la capitale britannique hier. Depuis le début de la pandémie, c'est la deuxième fois que ce qui est appelé  « un état d'incident majeur » est déclenché. Explications à Londres de Marie Boëda.

Ça veut dire que le maire Sadiq Khan peut faire appel à des fonctionnaires pour renforcer les équipes hospitalières ou de secours de la ville. Comme par exemple demander de l'aide aux pompiers pour conduire des ambulances, ou à un secrétaire de mairie pour gérer des tâches administratives d'un hôpital. Il y a une hausse des hospitalisations de 28% dans la capitale par rapport à la semaine dernière. Le maire a fait part de son inquiétude, car de plus en plus de membres du personnel sont testés positifs. Cette disposition avait déjà été mise en place en janvier dernier quand le variant anglais, devenu Alpha, faisait des ravages. Ce matin, le ministre de la Santé Sajid Javid était invité sur la chaîne SkyNews, il n'a pas nié la possibilité de mettre en place un confinement de deux semaines après Noël. Cette hypothèse revient avec insistance ces dernières heures, mais il ne l'a pas confirmé non plus. Il s'en est pris aux non-vaccinés, cinq millions de personnes environ. Précisant que la nette majorité des formes graves à l'hôpital sont des gens qui ont refusé les injections.

CD : Une rencontre s'est tenue à Bruxelles pour préparer un sommet avec l'Afrique.

JB : Le président du Conseil européen, Charles Michel, a reçu aujourd'hui plusieurs dirigeants africains en vue du sommet entre l'Union européenne (UE) et l'Union africaine (UA) qui doit se tenir mi-février. La cheffe de la diplomatie belge s'est notamment entretenue avec le chef de l'État congolais, président en exercice de l'UA, Felix Tshisekedi. Le président du Sénégal, Macky Sall, qui prendra la présidence de l'UA pour la période 2022-2023 et le président du Rwanda Paul Kagame ont également participé à cette réunion de travail.

CD : La crise monétaire est de plus en plus forte en Turquie.

JB : Et l'un des effets des difficultés économiques, c'est le manque grandissant de médicaments, que ce soient les traitements contre le diabète, contre des cancers ou contre un simple rhume. Tous ces remèdes sont devenus très difficiles à trouver dans les pharmacies du pays. Les précisions de Pauline Gleize.

Plus de « 700 médicaments » sont aujourd'hui introuvables et la liste s'allonge de jour en jour, déplore le secrétaire général des médecins de Turquie. Le secteur médical est l'un des plus gravement touchés par la crise en raison de sa dépendance aux importations. La livre turque a perdu plus de la moitié de sa valeur depuis le début de l'année par rapport au dollar. Les achats extérieurs coûtent donc plus cher. Mais, selon l'Union des médecins, le ministère de la Santé continuerait de payer les fournisseurs avec un cours loin de sa nouvelle réalité. Alors certains « se sont retirés du marché parce qu'ils commençaient à perdre de l'argent ». Les pharmaciens appellent le gouvernement à réévaluer les prix des médicaments au moins trois fois par an. Relever les tarifs des médicaments importés ne suffira pas forcément. Avec la flambée des matières premières liée à la pandémie, les traitements produits en Turquie sont eux aussi affectés. Les producteurs locaux réclament donc que les retards de paiement tiennent compte du taux de change actuel. De leur côté, les autorités turques nient l'existence de la crise. Le ministre de la Santé accuse les entreprises pharmaceutiques de vendre « cher » leurs produits.

JB : Le Mondial féminin de handball est terminé, à Granollers, en Espagne. Les deux meilleures équipes du moment, la Norvège et la France s'affrontaient. Les Norvégiennes l'ont largement emporté, score final : 29-22. Elles ont pourtant été dominées par les Françaises en première période avant de renverser le match. C'est la fin de ce Journal en français facile, merci Charlotte de l'avoir présenté avec moi.

CD : Avec plaisir Johanne, bonne soirée.