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Journal en français facile RFI, Journal en français facile 14/01/2022 20h00 GMT

Journal en français facile 14/01/2022 20h00 GMT

François Bernard : Merci d'écouter Radio France internationale en direct de Paris où il est 21 heures.

Bonsoir, il est l'heure de votre Journal en français facile. Dans l'actualité de ce vendredi 14 janvier :

Les Européens espèrent que la Russie va renoncer à ses plans sur l'Ukraine et prévoient, sinon, des sanctions « lourdes » contre Moscou.

La Corée du Nord effectue son troisième essai de missiles depuis le début de l'année.

Et puis, des températures records, jusqu'à 50°, enregistrées dans l'ouest de l'Australie.

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FB : Les ministres de l'Union européennes des Affaires étrangères étaient réunis hier et aujourd'hui à Brest, pour un sommet dominé par la situation au Mali et les tensions avec la Russie à propos de l'Ukraine.

Après une semaine de discussions très tendues chaque partie campe sur ses positions et le dialogue est au point mort. Dans ce contexte, les ministres ont affiché leur unité. Ils ont expliqué qu'ils prévoient de lourdes sanctions pour dissuader Moscou de toute action militaire en Ukraine. Les précisions de Juliette Gheerbrant.

La discussion avec Moscou, oui, mais pas à n'importe quel prix ont expliqué le haut-représentant de la diplomatie européenne et le ministre français des Affaires étrangères. Pas question d'accepter l'élargissement de la sphère d'influence russe ni un retour vers le passé, pas question de limiter la souveraineté des pays européens. Et Josep Borrell a rappelé qu'en cas de nouvelle intervention russe en Ukraine, les sanctions étaient sur la table et qu'elles seraient lourdes. Jean-Yves le Drian s'est d'ailleurs dit frappé par la détermination et l'unité des 27, renforcées sans doute par le niveau de tension inédite qui règne ces jours-ci. L'unité est d'autant plus nécessaire que l'Union européenne en tant qu'institution peine à se faire une place à la table des négociations. Josep Borrell a beau expliquer que les Russes ont échoué à diviser les Européens et les Américains, et que la coopération est permanente avec ces derniers, Moscou ne parle qu'avec Washington ou certaines capitales européennes. La ministre allemande des Affaires étrangères se rendra d'ailleurs au Kremlin la semaine prochaine, ainsi qu'en Ukraine, où elle retournera ensuite avec le ministre français.

FB : Ce vendredi, la Corée du Nord a effectué son troisième essai de missiles depuis le début de l'année.

Alors que les deux précédents étaient des « missiles hypersoniques », selon les médias d'État nord-coréens, il s'agirait de deux missiles balistiques de courte portée. La multiplication de ces essais, inhabituelle en cette période de l'année, intervient seulement quelques heures après que Pyongyang a dénoncé la décision américaine d'imposer des nouvelles sanctions au pays. Les précisions de notre correspondant sur la péninsule coréenne, Nicolas Rocca.

La promesse « d'une réaction plus forte » de la Corée du Nord aux sanctions américaines instaurées ce mercredi ne s'est pas fait attendre. Ce troisième essai nord-coréen en moins de dix jours a eu lieu quelques heures seulement après les déclarations du porte-parole des Affaires étrangère qualifiant « d'attitude de confrontation » la décision américaine d'établir des sanctions l'encontre de cinq personnes liées au programme balistique nord-coréen. Après le test d'un missile qualifié d'hypersonique par les médias d'État en présence de Kim Jong-un ce mardi, ce nouvel essai envoie un message clair : le pays ne renoncera pas à son programme balistique, quelles que soient les sanctions. Les invitations répétées au dialogue sans conditions des États-Unis ou bien d'une déclaration commune de fin de guerre de Corée de la part du Sud apparaissent insuffisantes pour le dirigeant nord-coréen qui semble plutôt espérer une contrepartie à d'éventuelles discussions. Du côté de Séoul, les tests du voisin risquent de s'inviter dans les débats de l'élection présidentielle de mars prochain. Le successeur du président Moon Jae-in, grand partisan du dialogue, aura fort à faire s'il souhaite que Pyongyang et Washington s'assoient à une table des négociations à laquelle aucun des deux partis ne semble réellement prêt à s'attabler. Nicolas Rocca, Séoul, RFI.

FB : Le gouvernement israélien tente d'apaiser les tensions dans le Néguev.

C'est dans ce désert que vit une minorité bédouine arabe de nationalité israélienne. Certains membres de cette communauté sont installés dans des villages, non reconnus par les autorités israéliennes. Cette semaine, le FNJ, le Fonds national juif, un organisme relevant de l'Organisation sioniste mondiale, a entrepris de boiser des terrains, dont la propriété est revendiquée par les bédouins. Les bédouins dénoncent une tentative d'expropriation. La situation sur place a viré à l'affrontement avec les forces de l'ordre. Reportage dans le Néguev de notre envoyé spécial permanent, Sami Boukhelifa.

Al-Atrach, village bédouin, sans eau courante ni réseau électrique. Pour l'atteindre, pas de route, il faut emprunter une piste cabossée. Quelques maisons éparses, un immense terrain vague sablonneux, objet du litige. Il est gardé par des policiers. Comme tous les bédouins ici, Dhiyaa al-Atrach porte le même nom que son village. Preuve selon lui, que la terre appartient à sa tribu : « Les juifs ne veulent pas planter des arbres ici pour l'écologie, mais pour prendre possession de la terre. Ils délimitent des parcelles, et l'État les soutient contre les bédouins. Et pourtant, notre présence ici date de bien avant la création d'Israël. » Sur leurs téléphones, Dhiyaa et ses frères conservent précieusement les vidéos des affrontements avec la police. Selon Awda, l'aîné de la famille, l'objectif des autorités israéliennes est de déplacer les populations bédouines vers les villes : « Ils veulent nous enfermer dans des boîtes de sardines. Nous sommes des bédouins, notre mode de vie est différent. Nous sommes proches de la nature, nous sommes des éleveurs, nous avons des troupeaux. Nous ne pouvons pas vivre en ville. Nous avons toujours vécu comme ça. » En tout, 250 000 bédouins vivent dans le Néguev. Cette communauté compte sur le soutien de Raam, parti politique arabe membre de la coalition gouvernementale. Plusieurs ministres appellent à l'apaisement. Sami Boukhelifa à Al Atrach dans le Néguev, RFI.

FB : Le Covid dans le monde du sport.

Plusieurs nouveaux cas affectent l'effectif de Manchester City, l'équipe de football, a annoncé l'entraîneur de l'équipe, l'Espagnol Pep Guardiola.

L'Australie a relancé de façon spectaculaire la saga Djokovic en annulant à nouveau le visa du numéro un mondial de tennis. Décision prise à trois jours du premier tournoi du Grand Chelem de l'année à Melbourne. Canberra a même menacé le tennisman d'un retour dès demain en rétention, où il a déjà passé plusieurs jours. Il y a été conduit après être entré en Australie sans respecter l'obligation d'être vacciné contre le Covid.

En Australie, toujours. Est-ce un signe du réchauffement climatique ?

Des températures records ont été enregistrées ce jeudi sur la côte ouest du pays. Les précisions d'Aram Mbengue.

Le thermomètre est monté jusqu'à 50,7 degrés dans l'ouest de l'Australie, alors que la température y varie entre 30 et 40 degrés à cette période de l'année. Un niveau de chaleur jamais enregistré dans le pays depuis plus de 60 ans. Selon le Bureau de météorologie, cette température record que les habitants de la ville côtière de Onslow ont vécue, pourrait devenir fréquente à cause du réchauffement climatique. Une prévision inquiétante pour le pays car, d'après le Conseil australien pour le climat, les vagues de chaleur tuent déjà silencieusement. En 2021, l'Australie a connu un été extrêmement chaud qui a causé d'importants feux de forêt dans l'ouest du pays et des inondations meurtrières sur sa côte est. Les services météorologiques préviennent que sans une réduction des émissions de gaz à effet de serre, ces fortes chaleurs pourraient se produire à un rythme plus fréquent. Les villes de Sydney et Melbourne épargnées jusqu'à présent, pourraient, elles aussi connaitre des températures estivales à 50 degrés, d'ici 2030.

FB : Aram Mbengue.

Sachez enfin que si vous êtes apprenant, enseignant ou simplement curieux de la langue française, votre expérience nous intéresse. RFI Savoirs, la plateforme dédiée à l'apprentissage du français, lance une enquête auprès de ses utilisateurs. Si vous souhaitez y répondre, rendez-vous sur rfi.my/experience. Toutes les données seront traitées de manière confidentielles. Et merci pour le temps que vous y consacrerez.

Et j'ai une autre annonce à vous faire. C'est la dernière fois que je vous présente le Journal en français facile. La semaine prochaine je quitte RFI pour de nouvelles aventures. Un peu triste bien sûr, mais la tête pleine de bons souvenirs avec vous auditeurs fidèles de ce Journal en français facile, mais aussi avec mes co-présentateurs, Zéphyrin Kouadio et vous Sylvie Berruet. Merci à tous et bonsoir.


Journal en français facile 14/01/2022 20h00 GMT Easy French Newspaper 14/01/2022 20h00 GMT Jornal em francês fácil 14/01/2022 20h00 GMT

François Bernard : Merci d'écouter Radio France internationale en direct de Paris où il est 21 heures. François Bernard: Thank you for listening to Radio France internationale live from Paris at 9 p.m.

Bonsoir, il est l'heure de votre Journal en français facile. Good evening, it's time for your Journal in easy French. Dans l'actualité de ce vendredi 14 janvier : In the news for this Friday, January 14:

Les Européens espèrent que la Russie va renoncer à ses plans sur l'Ukraine et prévoient, sinon, des sanctions « lourdes » contre Moscou. The Europeans hope that Russia will abandon its plans for Ukraine and are planning, if not, “heavy” sanctions against Moscow.

La Corée du Nord effectue son troisième essai de missiles depuis le début de l'année.

Et puis, des températures records, jusqu'à 50°, enregistrées dans l'ouest de l'Australie.

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FB : Les ministres de l'Union européennes des Affaires étrangères étaient réunis hier et aujourd'hui à Brest, pour un sommet dominé par la situation au Mali et les tensions avec la Russie à propos de l'Ukraine.

Après une semaine de discussions très tendues chaque partie campe sur ses positions et le dialogue est au point mort. Dans ce contexte, les ministres ont affiché leur unité. Ils ont expliqué qu'ils prévoient de lourdes sanctions pour dissuader Moscou de toute action militaire en Ukraine. Les précisions de Juliette Gheerbrant.

La discussion avec Moscou, oui, mais pas à n'importe quel prix ont expliqué le haut-représentant de la diplomatie européenne et le ministre français des Affaires étrangères. Pas question d'accepter l'élargissement de la sphère d'influence russe ni un retour vers le passé, pas question de limiter la souveraineté des pays européens. Et Josep Borrell a rappelé qu'en cas de nouvelle intervention russe en Ukraine, les sanctions étaient sur la table et qu'elles seraient lourdes. Jean-Yves le Drian s'est d'ailleurs dit frappé par la détermination et l'unité des 27, renforcées sans doute par le niveau de tension inédite qui règne ces jours-ci. L'unité est d'autant plus nécessaire que l'Union européenne en tant qu'institution peine à se faire une place à la table des négociations. Unity is all the more necessary as the European Union as an institution is struggling to find a place for itself at the negotiating table. Josep Borrell a beau expliquer que les Russes ont échoué à diviser les Européens et les Américains, et que la coopération est permanente avec ces derniers, Moscou ne parle qu'avec Washington ou certaines capitales européennes. La ministre allemande des Affaires étrangères se rendra d'ailleurs au Kremlin la semaine prochaine, ainsi qu'en Ukraine, où elle retournera ensuite avec le ministre français.

FB : Ce vendredi, la Corée du Nord a effectué son troisième essai de missiles depuis le début de l'année.

Alors que les deux précédents étaient des « missiles hypersoniques », selon les médias d'État nord-coréens, il s'agirait de deux missiles balistiques de courte portée. La multiplication de ces essais, inhabituelle en cette période de l'année, intervient seulement quelques heures après que Pyongyang a dénoncé la décision américaine d'imposer des nouvelles sanctions au pays. Les précisions de notre correspondant sur la péninsule coréenne, Nicolas Rocca.

La promesse « d'une réaction plus forte » de la Corée du Nord aux sanctions américaines instaurées ce mercredi ne s'est pas fait attendre. The promise of "a stronger reaction" from North Korea to the American sanctions introduced on Wednesday was not long in coming. Ce troisième essai nord-coréen en moins de dix jours a eu lieu quelques heures seulement après les déclarations du porte-parole des Affaires étrangère qualifiant « d'attitude de confrontation » la décision américaine d'établir des sanctions l'encontre de cinq personnes liées au programme balistique nord-coréen. Après le test d'un missile qualifié d'hypersonique par les médias d'État en présence de Kim Jong-un ce mardi, ce nouvel essai envoie un message clair : le pays ne renoncera pas à son programme balistique, quelles que soient les sanctions. Les invitations répétées au dialogue sans conditions des États-Unis ou bien d'une déclaration commune de fin de guerre de Corée de la part du Sud apparaissent insuffisantes pour le dirigeant nord-coréen qui semble plutôt espérer une contrepartie à d'éventuelles discussions. Du côté de Séoul, les tests du voisin risquent de s'inviter dans les débats de l'élection présidentielle de mars prochain. Le successeur du président Moon Jae-in, grand partisan du dialogue, aura fort à faire s'il souhaite que Pyongyang et Washington s'assoient à une table des négociations à laquelle aucun des deux partis ne semble réellement prêt à s'attabler. Nicolas Rocca, Séoul, RFI.

FB : Le gouvernement israélien tente d'apaiser les tensions dans le Néguev.

C'est dans ce désert que vit une minorité bédouine arabe de nationalité israélienne. Certains membres de cette communauté sont installés dans des villages, non reconnus par les autorités israéliennes. Cette semaine, le FNJ, le Fonds national juif, un organisme relevant de l'Organisation sioniste mondiale, a entrepris de boiser des terrains, dont la propriété est revendiquée par les bédouins. Les bédouins dénoncent une tentative d'expropriation. La situation sur place a viré à l'affrontement avec les forces de l'ordre. Reportage dans le Néguev de notre envoyé spécial permanent, Sami Boukhelifa.

Al-Atrach, village bédouin, sans eau courante ni réseau électrique. Pour l'atteindre, pas de route, il faut emprunter une piste cabossée. Quelques maisons éparses, un immense terrain vague sablonneux, objet du litige. Il est gardé par des policiers. Comme tous les bédouins ici, Dhiyaa al-Atrach porte le même nom que son village. Preuve selon lui, que la terre appartient à sa tribu : « Les juifs ne veulent pas planter des arbres ici pour l'écologie, mais pour prendre possession de la terre. Ils délimitent des parcelles, et l'État les soutient contre les bédouins. They mark out plots, and the state supports them against the Bedouins. Et pourtant, notre présence ici date de bien avant la création d'Israël. » Sur leurs téléphones, Dhiyaa et ses frères conservent précieusement les vidéos des affrontements avec la police. Selon Awda, l'aîné de la famille, l'objectif des autorités israéliennes est de déplacer les populations bédouines vers les villes : « Ils veulent nous enfermer dans des boîtes de sardines. Nous sommes des bédouins, notre mode de vie est différent. Nous sommes proches de la nature, nous sommes des éleveurs, nous avons des troupeaux. Nous ne pouvons pas vivre en ville. Nous avons toujours vécu comme ça. » En tout, 250 000 bédouins vivent dans le Néguev. Cette communauté compte sur le soutien de Raam, parti politique arabe membre de la coalition gouvernementale. Plusieurs ministres appellent à l'apaisement. Sami Boukhelifa à Al Atrach dans le Néguev, RFI.

FB : Le Covid dans le monde du sport.

Plusieurs nouveaux cas affectent l'effectif de Manchester City, l'équipe de football, a annoncé l'entraîneur de l'équipe, l'Espagnol Pep Guardiola.

L'Australie a relancé de façon spectaculaire la saga Djokovic en annulant à nouveau le visa du numéro un mondial de tennis. Décision prise à trois jours du premier tournoi du Grand Chelem de l'année à Melbourne. Canberra a même menacé le tennisman d'un retour dès demain en rétention, où il a déjà passé plusieurs jours. Il y a été conduit après être entré en Australie sans respecter l'obligation d'être vacciné contre le Covid.

En Australie, toujours. Est-ce un signe du réchauffement climatique ?

Des températures records ont été enregistrées ce jeudi sur la côte ouest du pays. Les précisions d'Aram Mbengue.

Le thermomètre est monté jusqu'à 50,7 degrés dans l'ouest de l'Australie, alors que la température y varie entre 30 et 40 degrés à cette période de l'année. Un niveau de chaleur jamais enregistré dans le pays depuis plus de 60 ans. Selon le Bureau de météorologie, cette température record que les habitants de la ville côtière de Onslow ont vécue, pourrait devenir fréquente à cause du réchauffement climatique. According to the Bureau of Meteorology, this record temperature that the inhabitants of the coastal town of Onslow have experienced, could become frequent because of global warming. Une prévision inquiétante pour le pays car, d'après le Conseil australien pour le climat, les vagues de chaleur tuent déjà silencieusement. En 2021, l'Australie a connu un été extrêmement chaud qui a causé d'importants feux de forêt dans l'ouest du pays et des inondations meurtrières sur sa côte est. Les services météorologiques préviennent que sans une réduction des émissions de gaz à effet de serre, ces fortes chaleurs pourraient se produire à un rythme plus fréquent. Les villes de Sydney et Melbourne épargnées jusqu'à présent, pourraient, elles aussi connaitre des températures estivales à 50 degrés, d'ici 2030.

FB : Aram Mbengue.

Sachez enfin que si vous êtes apprenant, enseignant ou simplement curieux de la langue française, votre expérience nous intéresse. RFI Savoirs, la plateforme dédiée à l'apprentissage du français, lance une enquête auprès de ses utilisateurs. Si vous souhaitez y répondre, rendez-vous sur rfi.my/experience. Toutes les données seront traitées de manière confidentielles. Et merci pour le temps que vous y consacrerez.

Et j'ai une autre annonce à vous faire. C'est la dernière fois que je vous présente le Journal en français facile. La semaine prochaine je quitte RFI pour de nouvelles aventures. Un peu triste bien sûr, mais la tête pleine de bons souvenirs avec vous auditeurs fidèles de ce Journal en français facile, mais aussi avec mes co-présentateurs, Zéphyrin Kouadio et vous Sylvie Berruet. Merci à tous et bonsoir.