140 tonnes, 12 hommes d'équipages, 4 tourelles...ces tanks sont énormes !
Cet épisode est sponsorisé par Call of War, un jeu de stratégie en temps réel et en ligne sur le
thème de la Seconde Guerre mondiale ! Rejoignez des batailles épiques qui durent des semaines
entières, affrontez d'autres joueurs sur PC et Mobile, et envoyez vos tanks faire le ménage
dans les lignes ennemis, tout ça, gratuitement ! Rejoignez moi via le lien en description dès
à présent puisque j'ai créé une partie à 100 joueurs sur le jeu ! Je vous en dit également
plus sur tout ça en fin d'épisode ! Mes chers camarades bien le bonjour !
Les tanks sont une catégorie de véhicules que l'on voit rarement
sur les routes. Et pourtant, perso, ça me fait plus rêver qu'une Porsche. Peut être
parce que je n'y connais rien en voiture d'ailleurs...je ne sais pas...en tout cas,
entre une voiture de sport et un tank il peut y avoir un point commun : le manque
de place pour être confort à l'intérieur, surtout si tu es grand...ou large..Bref !
Certains tanks sont plus gros que d'autres et quand on pense aux géants de la Seconde Guerre
mondiale, on peut visualiser tout de suite le très costaud Maus allemand. Et pourtant,
la production de tank “géants” n'est pas réservée aux allemands pendant le conflit..non non ! En
France aussi, dès la Première Guerre mondiale, les militaires et les ingénieurs réfléchissent
à l'idée d'un char géant, bien armé et protégé. Face aux tranchées et aux fortifications qui
envahissent le champ de bataille depuis la fin de la guerre de mouvement, il s'agit de trouver
une solution permettant la "rupture" du front. Et cette question de rupture reste d'actualité
après la Première Guerre mondiale et mène au développement de nouveaux chars lourds,
de rupture ou de forteresse, destinés à attaquer des positions fortement protégées.
Même si aujourd'hui le gigantisme de certains prête à sourire, ils avaient à l'époque un réel
intérêt d'emploi et leur développement a permis des avancées technologiques qui servent encore sur
nos chars de nos jours. Du coup, je vous propose de faire un petit tour des tanks géants français !
Et on commence avec du lourd : le char FCM 1A !
L'aspect du champ de bataille et sa fortification constante pousse les militaires et les
ingénieurs à trouver une solution innovante pour traverser le no man's land hérissé de tranchées
de plus en plus larges et d'obstacles de nature à empêcher la progression des chars. La bataille de
la Somme voit le premier engagement des chars où déjà les premiers enseignements sont tirés.
Après ces expériences plus ou moins concluantes, les Français cherchent à concevoir un char plus
lourd que les Mark britanniques, avec un gabarit plus imposant, plus long et plus lourdement armé.
Estienne, le père des chars français, constate la nécessité d'avoir un char
plus long et plus cuirassé pour permettre le franchissement des larges tranchées et de se
confronter à des fortifications de campagne comme la fameuse ligne Hindenburg. La FCM
(Forges et Chantiers de la Méditerranée) planche sur un prototype regroupant en
guise de cahiers des charges les notions de cuirasse, puissance de feu et modernité.
C'est ainsi que naît le FCM 1A, commandé en octobre 1916. Le char est initialement
équipé d'une tourelle principale armée d'un obusier court Schneider de 105mm et de deux
mitrailleuses Hotchkiss. Il pèse un total de 41 tonnes, mesure 8,35 m de longueur,
2,84 m de largeur pour 1,98 m de hauteur. Propulsé par un moteur Renault de 200 ch,
il est protégé par un blindage avant de 35 mm à l'avant et sur la tourelle,
20 mm sur les côtés, 15 mm sur le plancher, soit en somme celui d'un panzer de 1940.
Mais 25 ans avant quoi...Pour vous faire comprendre à quel point le FCM 1A est un géant,
en comparaison, un char Saint-Chamond pèse deux fois moins et il est blindé
au mieux à 11,5 mm. Par contre, tous deux se déplacent à la même vitesse,
c'est à dire autour de 10 km/h. Ce qui est toujours pas ouf… mais c'est
difficile pour l'instant de faire mieux en terme de rapport poids / puissance …
Le char FCM 1A possède un équipage de sept hommes. L'intérieur du char est pensé de
manière plus optimale que les précédents chars Schneider ou Saint-Chamond. Cet engin
est résolument moderne et pose les bases du premier char lourd français. Le FCM 1A
est testé pour la première fois en décembre 1917, puis de manière officielle le 21 et
22 décembre 1917. Les tests et épreuves pour le char sont organisés à la Seyne-sur-Mer, non loin
des chantiers des FCM. Les tests comportent plusieurs terrains d'examens : sur route,
sur terrain dégagé et tout terrain, sur la plage. Le parcours d'obstacles est varié,
il comporte des talus, des trous d'obus, des murs, un bois et du sable. Au cours de ce test,
le FCM 1A se comporte globalement bien, il atteint une vitesse de pointe de 6km/h en tout terrain,
il franchit les obstacles sans problèmes et les exercices de tirs sont bien effectués,
même s'il est prévu de remplacer le canon d'origine par une pièce de 75 mm. Un seul bémol,
les virages sont abordés avec difficulté ce qui souligne un problème de direction.
Malgré cette difficulté, le char ne « déchenille » pas, c'est-à-dire qu'il perd pas ses chenilles.
Ce qui est un point assez important parce que cela arrive parfois...et là tu n'as pas l'air
bien malin… Autre point important, la commision d'inspection note que le compartiment interne
est bien aménagé. Preuve que le confort c'est important, surtout au vu des autres modèles.
Malgré tous les avantages et les tests réussis de ce char,
il n'est pas adopté pour la production en série. En effet, il est considéré comme
un « char test » qui va servir de base pour la création d'un modèle de série. Un témoignage
affirme que le Général Estienne trouve sa forme « vicieuse » … C'est donc à partir de
ce char FCM 1A que les Forges et Chantiers de la Méditerranée propose trois projets :
– FCM A : équipé d'un canon de 75 mm – FCM 1B : légèrement plus lourd,
avec un nouveau moteur et un 75 mm – FCM 2C
Et c'est finalement ce dernier modèle qui est choisi, le FCM 2C.
Après le FCM 1A, on se lance donc vers le FCM 2C qui reprend le cahier des charges du FCM 1A.
Il doit posséder des capacités de franchissement accrues, être bien protégé, posséder une grande
puissance de feu et pouvoir être transporté sur voie ferrée. Un vaste programme !
Prévu pour la dernière année de guerre, Estienne souhaite que le
2C puisse remplacer les chars moyens et légers Saint-Chamond et Renault FT
dans les dernières offensives de 1918 et 1919 jusqu'au cœur du Vaterland. Il est de conception
résolument moderne avec ses chenilles enveloppantes, plusieurs compartiments
et des mitrailleuses positionnées pour la défense du char et les combats rapprochés.
Le char 2C est commandé à 300 exemplaires début 1918 alors que
le prototype final n'est même pas encore terminé.
C'est l'armistice qui freine le projet 2C et après la guerre, s'il n'est pas abandonné,
sa production est limitée à 10 exemplaires, un chiffre très éloigné de la commande d'origine …
La chaîne de montage débute en 1919 et les premiers exemplaires arrivent dans les unités
entre 1922 et 1923. Le char 2C est un engin de 68 tonnes (autant qu'un tigre royal de la WW2),
pour une longueur de 10,37 m, 2,95 m de largeur sur 4,05 m de hauteur et une garde au sol de
0,60m. Ce mastodonte d'acier est armé d'un canon de 75 mm, quatre mitrailleuses Hotchkiss de 8
mm dont une en tourelle arrière. Il comprend 12 hommes d 'équipage (chef de char, pilote,
mécaniciens, canonniers, mitrailleurs, radio). Pour propulser cet engin, deux moteurs Mercedes de
250 ch chacun ou deux moteurs Maybach, permettant d'obtenir une vitesse maximale de 12 km/h.
Alors oui, ça peut paraître étonnant de trouver des moteurs allemands sur un char français,
en fait c'est surtout des pièces qui ont été capturées lors de la guerre et que l'on monte
sur ces chars pour faire des économies. il ne faut pas oublier que des tunes, y'en a plus !
En effet, le 2C devait être équipé de moteurs français mais la fin
de la guerre entraîne la baisse d'intérêt pour ces chars notamment
à cause des coûts de production et d'entretien qu'ils entraînent.
Le « super char » de l'année 1919 trouve donc un tout autre rôle : la propagande.
Largement mis en avant dans les films et affiches dans l'entre-deux-guerres,
le 2C est la vitrine du savoir-faire français en termes de blindé. Malgré toutes les qualités
mises en avant dans les films de propagande, le 2C s'avère être un gouffre financier. Le
super blindé a un taux de disponibilité très bas et en plus, il n'est pas très fiable.
A ça, faut ajouter deux autres facteurs assez importants. Sa consommation de carburant d'abord,
puisque le bestiaux englouti 13 litres de carburant par kilomètres ! Autant vous dire
que niveau logistique, il faut prévoir le coup pour le ravitaillement. Et puis l'autre souci,
c'est son poids, pour le manipuler ou le transporter, c'est ultra galère. Dites
vous bien que si un char 2C tombe en panne, seul un autre char 2C peut le dépanner !
A la veille de la Seconde Guerre mondiale, le char 2C est toujours en service dans l'armée française.
Il subsiste huit chars sur les dix construits et ils sont regroupés au sein du 511e RCC (Régiment
de Chars de Combats) à Verdun. En septembre 1939, l'unité est appelée à rejoindre Belrupt,
à 5 km à l'est de Verdun. Leur mission dans le cadre d'une guerre future serait de contribuer à
percer la ligne Siegfried, mission très proche de celle pour laquelle ils avaient été créés en 1918.
Oui mais voilà, les chars 2C ne sortent plus très souvent de leur
hangar et ils ne sont clairement pas en état de faire campagne,
beaucoup ont des problèmes mécaniques ou vibrent anormalement …ce qui est moyennement rassurant…
Le 17 octobre, les hommes reçoivent l'ordre de rejoindre la position de Briey via la voie ferrée.
Le voyage est laborieux et les hommes d'équipage redoutent les pannes qui peuvent survenir à tout
instant. Arrivés à destination, le maire de Briey fait savoir qu'il ne souhaite pas voir les énormes
2C stationner dans la ville et désire qu'ils soient stockés à l'extérieur. Drôle d'accueil
en pleine guerre, mais les chars du 511e RCC s'installent dans une caserne plus loin où
ils sont réparés. Ce n'est que le 11 mai que les chars font mouvement vers la forêt pour éviter les
bombardements qui font rage dans la région. Le 17, le bataillon reçoit l'ordre de faire
route vers Landres. Au cours de ce déplacement, de nouvelles pannes surviennent, le convoi est
bombardé à plusieurs reprises. Le 14 juin, les 2C et leurs équipages sur voie ferrée font route
vers Neufchâteau. Cependant, la voie est coupée à plusieurs endroits à cause des bombardements
incessants dans la région ce qui entraîne des problèmes de logistiques. Les hommes recherchent
désespérément une solution pour débloquer la situation : le personnel ferroviaire s'est enfui,
les indications sur la position de l'ennemi sont peu claires. Le convoi de 2C est toujours bloqué
sur la voie de chemin de fer, et le terrain rend tout débarquement des chars impossible.
Et en plus, un incendie s'est déclaré dans un wagon précédant les chars. En gros,
c'est la loose sur toute la ligne, il n'y a plus d'issue pour les mastodontes et les
officiers décident de saborder les chars et de sauver les équipages. Tout ça pour ça oui...
C'est avec le cœur lourd que les hommes du 511e RCC détruisent leurs chars avant d'embarquer dans
des camions. Fin de partie pour les chars 2C et leur carrière pas très reluisante d'un point de
vue militaire. Cependant, il s'avère qu'un des chars, le « Champagne » a été récupéré par les
Allemands quasiment intact, sûrement à cause d'un dysfonctionnement au moment du sabordage.
Bah oui, déjà que le bousin il a du mal à fonctionner en temps normal,
pas étonnant qu'il y ait une merde au moment où tu cherches à ce qu'il marche plus !
Le monstre d'acier est emmené à Berlin en guise de trophée et certains affirment qu'il a été récupéré
par les Russes après la bataille de Berlin... Mystère. On notera que malgré son âge avancé,
les hommes servant sur ce tank l'appréciaient et en étaient spécialement fiers. Ils étaient
conscients de ses défauts dans le cadre d'une guerre de mouvement de grande ampleur mais ils
étaient persuadés qu'il pouvait encore jouer un rôle contre la ligne Siegfried ou dans la
défense de la France via la tactique des hérissons de la ligne Weygand,
tactique qui consiste à monter de nombreux points fortifiés sur le territoire qui s'apprête à être
envahi par l'ennemi pour mobiliser la majeure partie de ses troupes et donc ralentir l'attaque.
On aurait pu en rester là en ce qui concerne les tanks, mais après la conception du 2C,
l'idée du char très lourd va continuer d'évoluer.
Lors d'une réunion le 20 mai 1936 du conseil consultatif de l'armement et du matériel de
guerre, la commission chargée de l'établissement d'un programme de chars planche sur un nouveau
cahier des charges. Ce char devra peser moins de 45 tonnes, avoir une cuirasse en acier laminé
soudé à l'épreuve d'un canon de campagne, un moteur disposant d'un rapport poids/puissance
de 10 ch par tonne et une transmission moderne et électrique. Côté armement, ce char doit disposer
d'un canon de 75 mm et de mitrailleuses et être équipé de la TSF, c'est-à-dire de
la radio. Le but étant de concevoir « un char très lourd, très protégé et très armé, propre
en particulier à être utilisé défensivement et offensivement dans la guerre en région fortifiée.
Les industriels sont invités à présenter leur projet sur la base
de ce cahier des charges et trois firmes proposent un projet : ARL, AMX et FCM.
Et les gars se font plaisir sur les avant-projets qui dépassent déjà largement,
sur la planche à dessin, le tonnage retenu de 45 tonnes. Et pas qu'un peu !
L'ARL « char C » pèse déjà 146 tonnes, il est divisible en deux parties, et équipé d'un 90mm
raccourci et un 47 mm avec un blindage maximum à 120 mm. L'AMX « tracteur C » est lui aussi
beaucoup trop lourd avec plus de 100 tonnes, le projet est donc rapidement abandonné. Enfin,
la FCM dont la firme a déjà donné naissance au char 2C dont on a longuement parlé,
propose son modèle le FCM F1. C'est ce modèle qui est retenu pour la production en série,
un super char lourd conçu comme un char de forteresse
qui peut s'attaquer aux fortifications importantes comme la ligne Siegfried.
Le but c'est d'en faire un véritable bunker roulant, très blindé et avec une grande
puissance de feu. Il va falloir au moins ça pour franchir le fameux “Westwall” d'Hitler.
En effet, entre 1936 et 1940, Hitler a consolidé plusieurs lignes de défenses. Cette ligne
Siegfried dont nous parlons depuis tout à l'heure, regroupe une succession d'ouvrages fortifiés, de
batteries anti-aériennes, des pièges et obstacles pour les chars. Le F1, avec ses caractéristiques,
pourrait écraser les dents de dragon, franchir les fossés anti chars, prendre à partie et détruire
les nombreux blockhaus de mitrailleuse de la ligne tout en étant protégé contre les armes antichars.
Le FCM F1 retenu sur le projet d'origine pèse environ 60 tonnes mais, tenez vous bien,
le modèle final atteint les … 140 tonnes. C'est le poids de deux chars 2C qui était
déjà un mastodonte. La France est globalement en mode marseillais à cette époque quoi…
Le blindage du char atteint 120 mm sur la face frontale du véhicule et jusqu'à 100 mm sur les
côtés. Il possède deux tourelles, une à l'arrière armée d'un canon de 90mm à haute vélocité et une
plus en avant armée d'un canon de 47mm auquel on ajoute en plus 4 mitrailleuses. Le char fait plus
de 10m de long pour un peu plus de 3m de large et 4,20 de haut. Pour mouvoir une telle masse,
le FCM F1 doit être équipé de deux moteurs pétroléo-électrique développant chacun 550
ch. Le super char de forteresse est commandé à 12 exemplaires seulement en avril 1940. Si on devait
trouver un équivalent chez les allemands, on pourrait le comparer au célèbre tank
Maus même si en réalité le F1 est pensé dans le cadre d'une mission spécifique et précise
devant solutionner un problème tactique et non comme un char principal de bataille.
Pas de chance pour le FCM F1, la campagne de France ne se déroule pas exactement en faveur
des français. Sa production est donc mise en stand by en Mai 1940 et on se concentre sur la
production de chars plus légers. Résultat : Le char FCM F1 restera au stade de maquette
grandeur nature et ne verra jamais ni de près ou de loin la ligne Siegfried.
Après la Seconde Guerre mondiale, la France continue de penser,
concevoir et produire des chars lourds mais jamais aussi imposant que les 2C ou le FCM
F1. Si ces « maxi » chars avaient de l'intérêt à leur époque, c'est surtout une débauche de
moyens et d'énergie considérables pour finalement ne jamais voir le front.
Mais bon, ça fait de chouettes anecdotes à raconter et ça reste
une prouesse technique et industrielle ! Je vous rappelle que cette vidéo est
sponsorisé par Call of War, un jeu de stratégie en tant réel jouable gratuitement ! Si vous
n'apprendrez pas l'Histoire avec Call of War, vous pouvez tout de même vous plonger dans
l'ambiance de la seconde guerre mondiale avec des très jolies cartes et prêt de 120 unités
assez représentatives ce qu'on pouvait y voir. C'est totalement crossplateforme
donc les joueurs PC et Mobile peuvent s'y affronter jusqu'à 100 joueurs en même temps,
dans des batailles qui durent plusieurs semaines ! Quand j'ai posé les mains dessus, ça m'a rappelé
pas mal de jeux auxquels je jouais plus jeune, on y passe pas 10h d'affilée mais on revient
régulièrement pour voir où en est le combat, c'est le petit plaisir de suivre jour après jour
l'évolution de la partie ! Concrètement, vous allez devoir construire vos villes,
les défendre et faire grandir votre territoire comme dans n'importe quel jeu de stratégie et
puisqu'il y a du PVP il y a aussi une économie, de la diplomatie, des missions d'espionnage et tout
ce qui va avec ! Il y a également un gros arbre des technologies et il vous faudra faire des choix
sur le développement de votre armée ce qui est plutôt intéressant quand il y a autant de joueurs.
Parce que vous pouvez très bien être spécialisé dans le rush tank et en face avoir un adversaire
qui lui a développé son aviation. Qu'est ce qui se passe dans ce cas là ? Faudra jouer pour le
découvrir ! J'ai en tout cas créé une partie sur le jeu, je vous laisse les identifiants
dans la description pour me rejoindre ainsi qu'un lien vers le jeu qui vous permettra de choper un
mois premium et 13 000 gold gratuitement. Il y a 100 slots pour ma partie et puis si vous
arrivez trop tard et bien c'est pas grave, c'est gratuit donc ça ne mange pas de pain de tester
une petite partie chill avec un chocolat chaud dans une main et une armée entière dans l'autre !
Merci à tous d'avoir suivi cet épisode préparé avec Camille Harlé-Vargas qui s'y
connaît pas mal en tank et partage sa passion sur Twitter, je vous invite à aller voir son compte !