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rfi journal français facile, RFI Le journal en français facile 16 mars 2023

RFI Le journal en français facile 16 mars 2023

Bonjour à toutes et à tous et ravi de vous retrouver pour une nouvelle édition du Journal en français facile. RFI à Paris. Il est 17 h.

RFI

...

Adrien Delgrange.

Accompagné de Justine Fontaine.

Bonjour Adrien, Bonjour à toutes et à tous.

Nous sommes le jeudi 16 mars.

À la une de cette édition, Adrien. Les députés français n'ont pas pu voter.

Emmanuel Macron a choisi de faire passer la loi sur la réforme des retraites sans vote, grâce à l'article 49-3. Colère des oppositions. La Marseillaise a été chantée dans l'hémicycle. Interruption de séance. Dans la rue les syndicats appellent déjà à de nouvelles mobilisations.

À la une également.

L'armée israélienne mène à l'heure actuelle une opération militaire à Jénine, dans le nord de la Palestine. Au moins quatre Palestiniens tués.

Et puis enfin, la Pologne décide de venir en aide à l'Ukraine. Varsovie va envoyer des avions de chasse à l'armée ukrainienne pour combattre l'armée russe.

Voilà pour les titres. Soyez les bienvenus.

C'était à l'Assemblée nationale, il y a un peu plus d'une heure. Les élus d'opposition qui protestent contre la décision du gouvernement.

Le gouvernement français espérait il y a encore quelques heures, réussir à faire voter la réforme des retraites par les députés. Mais l'exécutif a dû se rendre à l'évidence, le risque de voir le texte rejeté par les députés était trop important. Aurélien Devernois bonjour.

Bonjour Adrien, Bonjour à tous.

Vous êtes en direct de l'Assemblée nationale pour RFI. La Première ministre, Elisabeth Borne a donc décidé d'engager la responsabilité de son gouvernement pour faire passer la réforme en force.

Oui, et c'est dans une ambiance assez indescriptible que la chef du gouvernement est montée à la tribune. On vient de l'entendre. Un mélange d'applaudissements venus de son camp et de huées des députés de gauche qui ont donc ensuite entonné la Marseillaise en sortant des pancartes « Retraite à 64 ans, c'est non. » Le bruit était d'ailleurs tellement fort qu'une interruption de séance a dû être décrétée et le brouhaha ne s'était pas beaucoup apaisé quand Elisabeth Borne a finalement pris la parole. Un discours offensif où elle a renvoyé à ses contradictions l'opposition de droite divisée sur le texte tout en critiquant les attitudes de la gauche et de l'extrême droite, avant donc de dégainer, pour la 11ᵉ fois déjà depuis son arrivée à Matignon, l'article 49-3 de la Constitution, qui engage donc la responsabilité du Gouvernement sur le texte.

Les oppositions vont donc désormais déposer ce qu'on appelle des motions de censure, une manière, Aurélien, d'essayer de forcer le gouvernement à démissionner.

En effet, il devrait y en avoir plusieurs qui seront soumises au vote des députés dans les prochains jours. Si le gouvernement est mis en minorité, il devra en effet démissionner. Mais s'il remporte ces votes, la réforme, eh bien, elle poursuivra son cours. La gauche est en tout cas sortie galvanisée, requinquée de cette séance, promettant de nouvelles mobilisations contre la réforme, alors que l'extrême droite appelait de son côté Elisabeth Borne à la démission. Dans le camp présidentiel, on regrette surtout que ce texte majeur du deuxième mandat d'Emmanuel Macron, adopté au Sénat ce matin, n'ait pas pu être voté par les deux chambres du Parlement.

Merci Aurélien, Aurélien Devernoix en direct de l'Assemblée nationale à Paris. Emmanuel Macron, le président français, justifie son choix. « On ne pouvait pas jouer avec l'avenir du pays » justifiant le recours au 49-3. Côté syndicats, « il y aura de nouvelles mobilisations contre la réforme des retraites » déclare le secrétaire général de la CFDT, Laurent Berger. Et puis enfin, à Paris, nous apprenons que des centaines d'opposants à cette réforme des retraites sont rassemblés à l'heure actuelle place de la Concorde, pour protester contre le recours du gouvernement à l'article 49-3 de la Constitution.

Le Journal en français facile.

RFI. Il est 18 h 05 en Cisjordanie. Les forces de sécurité israéliennes sont en opération en ce moment dans le camp de réfugiés palestiniens de Jénine.

C'est par ces mots, Justine, que l'armée israélienne annonce un raid militaire dans cette ville du nord de la Palestine. Quatre Palestiniens, dont un adolescent, ont été tués par des tirs israéliens, selon le ministère de la Santé palestinien. 18 autres personnes blessées par balles ont été hospitalisées.

Pour aider l'Ukraine à combattre la Russie, la Pologne va donner à l'armée ukrainienne des avions de combat.

Et c'est le premier pays à envoyer ce type d'arme pour tenter de repousser les forces russes de son territoire. Alors, ce sont précisément des avions, quatre avions de chasse appelés Mig 29. Encore une fois, Varsovie montre son soutien sans faille à son voisin ukrainien. À Varsovie, capitale de la Pologne. Le récit de Martin Chabal.

Quatre chasseurs Mig 29 seront envoyés à Kiev dans les prochaines semaines, selon le gouvernement polonais. Ils sont en parfait état et seront directement opérationnels sur le terrain de guerre. Ces chasseurs de construction soviétiques peuvent d'ores et déjà être pilotés par les soldats ukrainiens car ce sont les avions que l'armée ukrainienne utilise déjà. Il n'y aura donc pas besoin de les former, comme c'est le cas pour les chars Leopard allemands. Pour l'Ukraine, c'est une victoire depuis de nombreux mois. Elle demande sans cesse l'envoi de nouveaux avions de chasse pour repousser les forces russes. La Pologne avait d'ailleurs déjà pensé envoyer des avions Mig 29 en Ukraine en novembre dernier, mais les États-Unis s'y étaient opposés. Cette fois, la Pologne semble avoir reçu le feu vert pour envoyer son équipement. Et d'autres pays devraient suivre. La Slovaquie, c'est notamment dite prête à envoyer dix de ses avions Mig 29. La Pologne garde tout de même en stock une dizaine d'avions pour surveiller son espace aérien, mais ils seront aussi bientôt envoyés en Ukraine. Varsovie a déjà signé des contrats pour les remplacer. Des avions de chasse, de construction américaine et coréenne vont prendre le relais d'ici la fin de l'année.

Martin Chabal, Varsovie, RFI.

Il est 18 h 07 en Grèce, où des dizaines de milliers de personnes crient à nouveau leur colère.

Plus de 40 000 personnes descendues dans les rues, dont plus de 25 000 dans la capitale Athènes. Jour de l'appel à une grève générale dans le pays. Des Grecs, toujours en colère après la catastrophe ferroviaire qui a fait au moins 57 morts. C'était fin février. Jets de pierre contre gaz lacrymogènes dans le centre d'Athènes. Des heurts ont éclaté entre manifestants et forces de l'ordre.

D'autres manifestants, cette fois-ci dans l'est du Pakistan. Ils sont mobilisés devant la résidence de l'ex-Premier ministre Imran Khan à Lahore.

Les militants du parti politique d'Imran Khan, car il y a 48h la police pakistanaise a tenté d'approcher la résidence, le lieu d'habitation de l'ex-Premier ministre pakistanais, pour procéder à son arrestation. Arrestation dans le cadre d'une affaire de corruption. Mais des centaines de manifestants ont décidé de former un bouclier humain devant son domicile. Aujourd'hui, qu'en est-il ? À Lahore, notre correspondante Sonia Ghezali.

La situation est calme. Près de 200 policiers anti-émeutes sont postés à 500 mètres de la résidence de l'ex-Premier ministre. Bouclier et bâton à la main. Mais aucune intervention n'est prévue aujourd'hui. Des centaines de militants du PTI sont, eux, toujours mobilisés devant le domicile d'Imran Kahn, drapeaux du parti dans les mains. Plusieurs sont armés d'épées, bâtons et de lance pierres, prêts à en découdre avec la police si celle-ci tente une nouvelle arrestation. Certains d'entre eux, venus de très loin, nous ont confié être sur place depuis plusieurs jours et n'avoir aucune intention de quitter les lieux. « Nous n'avons pas confiance en ce gouvernement », nous a dit un militant venu de l'ouest du pays pour protéger Imran Khan, selon ses mots. À l'intérieur de son domicile, l'ex-Premier ministre a reçu des journalistes toute la journée. L'air détendu et serein nous a fait savoir qu'il ne se rendrait pas aux forces de l'ordre. « Ils veulent m'arrêter pour m'empêcher de faire campagne, car ils savent que je gagnerais les élections qui doivent avoir lieu en octobre », a-t-il dit. Reste à savoir si la police tentera d'Imran Khan demain ou si la justice suspendra à nouveau l'opération des forces de l'ordre.

Sonia Ghazali, Lahore, RFI.

Il est 17 h 09 à Paris et au Gabon, où la démission du ministre des Transports fait réagir. Exactement Justine...

Brice Paillat quitte le gouvernement gabonais. Il est contraint de partir une semaine après le naufrage d'un ferry qui a fait au moins 21 morts et seize disparus, selon un bilan encore provisoire. Le navire qui les transportait a coulé le 9 mars dernier en pleine nuit, à environ dix kilomètres des côtes gabonaises.

Et puis, c'est un auteur prolifique malgré son âge.

Le philosophe français Edgar Morin, 101 ans, va publier en juin prochain son deuxième livre de l'année, intitulé: « Encore un moment ». Un texte politique, sociologique et philosophique. Ainsi se referme ce journal international. Merci de l'avoir écouté.

RFI Le journal en français facile 16 mars 2023 RFI Le journal en français facile 16 mars 2023 RFI Le journal en français facile March 16, 2023 RFI Le journal en français facile 16 de marzo de 2023 RFI Le journal en français facile 16 maart 2023 RFI Le journal en français facile 16 de março de 2023 RFI Le journal en français facile 16 марта 2023 г.

Bonjour à toutes et à tous et ravi de vous retrouver pour une nouvelle édition du Journal en français facile. RFI à Paris. Il est 17 h.

RFI

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Adrien Delgrange.

Accompagné de Justine Fontaine.

Bonjour Adrien, Bonjour à toutes et à tous.

Nous sommes le jeudi 16 mars.

À la une de cette édition, Adrien. Les députés français n'ont pas pu voter.

Emmanuel Macron a choisi de faire passer la loi sur la réforme des retraites sans vote, grâce à l'article 49-3. Colère des oppositions. La Marseillaise a été chantée dans l'hémicycle. Interruption de séance. Dans la rue les syndicats appellent déjà à de nouvelles mobilisations.

À la une également.

L'armée israélienne mène à l'heure actuelle une opération militaire à Jénine, dans le nord de la Palestine. Au moins quatre Palestiniens tués.

Et puis enfin, la Pologne décide de venir en aide à l'Ukraine. Varsovie va envoyer des avions de chasse à l'armée ukrainienne pour combattre l'armée russe.

Voilà pour les titres. Soyez les bienvenus.

C'était à l'Assemblée nationale, il y a un peu plus d'une heure. Les élus d'opposition qui protestent contre la décision du gouvernement.

Le gouvernement français espérait il y a encore quelques heures, réussir à faire voter la réforme des retraites par les députés. Mais l'exécutif a dû se rendre à l'évidence, le risque de voir le texte rejeté par les députés était trop important. Aurélien Devernois bonjour.

Bonjour Adrien, Bonjour à tous.

Vous êtes en direct de l'Assemblée nationale pour RFI. La Première ministre, Elisabeth Borne a donc décidé d'engager la responsabilité de son gouvernement pour faire passer la réforme en force.

Oui, et c'est dans une ambiance assez indescriptible que la chef du gouvernement est montée à la tribune. On vient de l'entendre. Un mélange d'applaudissements venus de son camp et de huées des députés de gauche qui ont donc ensuite entonné la Marseillaise en sortant des pancartes « Retraite à 64 ans, c'est non. » Le bruit était d'ailleurs tellement fort qu'une interruption de séance a dû être décrétée et le brouhaha ne s'était pas beaucoup apaisé quand Elisabeth Borne a finalement pris la parole. Un discours offensif où elle a renvoyé à ses contradictions l'opposition de droite divisée sur le texte tout en critiquant les attitudes de la gauche et de l'extrême droite, avant donc de dégainer, pour la 11ᵉ fois déjà depuis son arrivée à Matignon, l'article 49-3 de la Constitution, qui engage donc la responsabilité du Gouvernement sur le texte.

Les oppositions vont donc désormais déposer ce qu'on appelle des motions de censure, une manière, Aurélien, d'essayer de forcer le gouvernement à démissionner.

En effet, il devrait y en avoir plusieurs qui seront soumises au vote des députés dans les prochains jours. Si le gouvernement est mis en minorité, il devra en effet démissionner. Mais s'il remporte ces votes, la réforme, eh bien, elle poursuivra son cours. La gauche est en tout cas sortie galvanisée, requinquée de cette séance, promettant de nouvelles mobilisations contre la réforme, alors que l'extrême droite appelait de son côté Elisabeth Borne à la démission. Dans le camp présidentiel, on regrette surtout que ce texte majeur du deuxième mandat d'Emmanuel Macron, adopté au Sénat ce matin, n'ait pas pu être voté par les deux chambres du Parlement.

Merci Aurélien, Aurélien Devernoix en direct de l'Assemblée nationale à Paris. Emmanuel Macron, le président français, justifie son choix. « On ne pouvait pas jouer avec l'avenir du pays » justifiant le recours au 49-3. Côté syndicats, « il y aura de nouvelles mobilisations contre la réforme des retraites » déclare le secrétaire général de la CFDT, Laurent Berger. Et puis enfin, à Paris, nous apprenons que des centaines d'opposants à cette réforme des retraites sont rassemblés à l'heure actuelle place de la Concorde, pour protester contre le recours du gouvernement à l'article 49-3 de la Constitution.

Le Journal en français facile.

RFI. Il est 18 h 05 en Cisjordanie. Les forces de sécurité israéliennes sont en opération en ce moment dans le camp de réfugiés palestiniens de Jénine.

C'est par ces mots, Justine, que l'armée israélienne annonce un raid militaire dans cette ville du nord de la Palestine. Quatre Palestiniens, dont un adolescent, ont été tués par des tirs israéliens, selon le ministère de la Santé palestinien. 18 autres personnes blessées par balles ont été hospitalisées.

Pour aider l'Ukraine à combattre la Russie, la Pologne va donner à l'armée ukrainienne des avions de combat.

Et c'est le premier pays à envoyer ce type d'arme pour tenter de repousser les forces russes de son territoire. Alors, ce sont précisément des avions, quatre avions de chasse appelés Mig 29. Encore une fois, Varsovie montre son soutien sans faille à son voisin ukrainien. À Varsovie, capitale de la Pologne. Le récit de Martin Chabal.

Quatre chasseurs Mig 29 seront envoyés à Kiev dans les prochaines semaines, selon le gouvernement polonais. Ils sont en parfait état et seront directement opérationnels sur le terrain de guerre. Ces chasseurs de construction soviétiques peuvent d'ores et déjà être pilotés par les soldats ukrainiens car ce sont les avions que l'armée ukrainienne utilise déjà. Il n'y aura donc pas besoin de les former, comme c'est le cas pour les chars Leopard allemands. Pour l'Ukraine, c'est une victoire depuis de nombreux mois. Elle demande sans cesse l'envoi de nouveaux avions de chasse pour repousser les forces russes. La Pologne avait d'ailleurs déjà pensé envoyer des avions Mig 29 en Ukraine en novembre dernier, mais les États-Unis s'y étaient opposés. Cette fois, la Pologne semble avoir reçu le feu vert pour envoyer son équipement. Et d'autres pays devraient suivre. La Slovaquie, c'est notamment dite prête à envoyer dix de ses avions Mig 29. La Pologne garde tout de même en stock une dizaine d'avions pour surveiller son espace aérien, mais ils seront aussi bientôt envoyés en Ukraine. Varsovie a déjà signé des contrats pour les remplacer. Des avions de chasse, de construction américaine et coréenne vont prendre le relais d'ici la fin de l'année.

Martin Chabal, Varsovie, RFI.

Il est 18 h 07 en Grèce, où des dizaines de milliers de personnes crient à nouveau leur colère.

Plus de 40 000 personnes descendues dans les rues, dont plus de 25 000 dans la capitale Athènes. Jour de l'appel à une grève générale dans le pays. Des Grecs, toujours en colère après la catastrophe ferroviaire qui a fait au moins 57 morts. C'était fin février. Jets de pierre contre gaz lacrymogènes dans le centre d'Athènes. Des heurts ont éclaté entre manifestants et forces de l'ordre.

D'autres manifestants, cette fois-ci dans l'est du Pakistan. Ils sont mobilisés devant la résidence de l'ex-Premier ministre Imran Khan à Lahore.

Les militants du parti politique d'Imran Khan, car il y a 48h la police pakistanaise a tenté d'approcher la résidence, le lieu d'habitation de l'ex-Premier ministre pakistanais, pour procéder à son arrestation. Arrestation dans le cadre d'une affaire de corruption. Mais des centaines de manifestants ont décidé de former un bouclier humain devant son domicile. Aujourd'hui, qu'en est-il ? À Lahore, notre correspondante Sonia Ghezali.

La situation est calme. Près de 200 policiers anti-émeutes sont postés à 500 mètres de la résidence de l'ex-Premier ministre. Bouclier et bâton à la main. Mais aucune intervention n'est prévue aujourd'hui. Des centaines de militants du PTI sont, eux, toujours mobilisés devant le domicile d'Imran Kahn, drapeaux du parti dans les mains. Plusieurs sont armés d'épées, bâtons et de lance pierres, prêts à en découdre avec la police si celle-ci tente une nouvelle arrestation. Certains d'entre eux, venus de très loin, nous ont confié être sur place depuis plusieurs jours et n'avoir aucune intention de quitter les lieux. « Nous n'avons pas confiance en ce gouvernement », nous a dit un militant venu de l'ouest du pays pour protéger Imran Khan, selon ses mots. À l'intérieur de son domicile, l'ex-Premier ministre a reçu des journalistes toute la journée. L'air détendu et serein nous a fait savoir qu'il ne se rendrait pas aux forces de l'ordre. « Ils veulent m'arrêter pour m'empêcher de faire campagne, car ils savent que je gagnerais les élections qui doivent avoir lieu en octobre », a-t-il dit. Reste à savoir si la police tentera d'Imran Khan demain ou si la justice suspendra à nouveau l'opération des forces de l'ordre.

Sonia Ghazali, Lahore, RFI.

Il est 17 h 09 à Paris et au Gabon, où la démission du ministre des Transports fait réagir. Exactement Justine...

Brice Paillat quitte le gouvernement gabonais. Il est contraint de partir une semaine après le naufrage d'un ferry qui a fait au moins 21 morts et seize disparus, selon un bilan encore provisoire. Le navire qui les transportait a coulé le 9 mars dernier en pleine nuit, à environ dix kilomètres des côtes gabonaises.

Et puis, c'est un auteur prolifique malgré son âge.

Le philosophe français Edgar Morin, 101 ans, va publier en juin prochain son deuxième livre de l'année, intitulé: « Encore un moment ». Un texte politique, sociologique et philosophique. Ainsi se referme ce journal international. Merci de l'avoir écouté.