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Actualité du jour, Taxi volant : Dubaï va-t-il doubler Airbus ?

Taxi volant : Dubaï va-t-il doubler Airbus ?

Sur le créneau des taxis volants électriques c'est la course contre la montre. Alors qu'Airbus a annoncé que son projet baptisé «Vahana» volerait sous forme de protoype pour la première fois en 2017, un concurrent s'est quant à lui déjà envolé. Ce rival est chinois et s'appelle Ehang jusque-là spécialisé dans la construction de drones. La société chinoise s'est associée avec l'autorité des transports de Dubaï (RTA) pour faire voler dès cet été un exemplaire dans le ciel dubaïote. Baptisé EHang 184, l'appareil prend la forme d'un engin volant monoplace entièrement électrique. Il sera capable de transporter de manière autonome un passager à 300 mètres d'altitude grâce à quatre rotors lui permettant d'atteindre une honorable vitesse de 100 km/h. Toutefois, l'aéronef fait face à deux contraintes. Le poids tout d'abord. Son emport total ne pourra pas dépasser le quintal, passager et bagages compris. L'autonomie ensuite. Elle sera limitée à trente minutes de vol soit une distance franchissable de 50 kilomètres. Le constructeur chinois ne précise pas s'il sera nécessaire de recharger la batterie après chaque utilisation, ce qui pourrait compliquer son exploitation. Mais la course est bel et bien lancée. Des essais en vol du EHang 184 ont déjà été réalisés mais sans passager à bord. Ce taxi est encore loin d'être certifié et le survol de Dubaï où il doit être déployé cet été apparaît encore hypothétique. Le client commandera son taxi depuis son smartphone. Airbus de son côté a averti que dans un premier temps, un pilote serait présent à bord pour conduire le client.


Taxi volant : Dubaï va-t-il doubler Airbus ? Flying cab: Will Dubai overtake Airbus? Vliegende taxi : Haalt Dubai Airbus in? Táxi voador: Irá o Dubai ultrapassar o Airbus? Uçan taksi: Dubai Airbus'ı geçecek mi?

Sur le créneau des taxis volants électriques c'est la course contre la montre. Alors qu'Airbus a annoncé que son projet baptisé «Vahana» volerait sous forme de protoype pour la première fois en 2017, un concurrent s'est quant à lui déjà envolé. Ce rival est chinois et s'appelle Ehang jusque-là spécialisé dans la construction de drones. La société chinoise s'est associée avec l'autorité des transports de Dubaï (RTA) pour faire voler dès cet été un exemplaire dans le ciel dubaïote. Baptisé EHang 184, l'appareil prend la forme d'un engin volant monoplace entièrement électrique. Il sera capable de transporter de manière autonome un passager à 300 mètres d'altitude grâce à quatre rotors lui permettant d'atteindre une honorable vitesse de 100 km/h. Toutefois, l'aéronef fait face à deux contraintes. Le poids tout d'abord. Son emport total ne pourra pas dépasser le quintal, passager et bagages compris. L'autonomie ensuite. Elle sera limitée à trente minutes de vol soit une distance franchissable de 50 kilomètres. Le constructeur chinois ne précise pas s'il sera nécessaire de recharger la batterie après chaque utilisation, ce qui pourrait compliquer son exploitation. Mais la course est bel et bien lancée. Des essais en vol du EHang 184 ont déjà été réalisés mais sans passager à bord. Ce taxi est encore loin d'être certifié et le survol de Dubaï où il doit être déployé cet été apparaît encore hypothétique. Le client commandera son taxi depuis son smartphone. Airbus de son côté a averti que dans un premier temps, un pilote serait présent à bord pour conduire le client.