Développement personnel : 💡 on peut toujours trouver une solution !! (1)
Voici une phrase, une croyance,
qui peut accompagner votre chemin de développement personnel, et vous aider
à faire face à n'importe quelle situation : on peut toujours trouver une solution!!
Peu importe la situation à laquelle nous devons faire face, nous disposons toujours de ce qui
est nécessaire pour la gérer, et devenir la personne que nous sommes censés être.
Croire profondément qu'il existe toujours une manière de gérer les
difficultés et les challenges qui accompagnent notre chemin,
être convaincus que nous serons capables de trouver et mettre en pratique cette solution,
nous permet d'introduire des changements positifs et profonds dans notre vie.
Il n'y aura pas de changement significatif dans le monde tant
que nous n'avons pas le courage de changer nous-mêmes. Et pour pouvoir
changer, le premier pas est d'être convaincus que cela est possible.
Mind Parachutes, à chaque idée, des nouveaux horizons
Tout est possible ! Créez la vie et le job de vos rêves de Marie Forleo
Marie Forleo est une entrepreneuse, danseuse de hip hop, coach, présentatrice américaine qui,
sans un diplôme, sans des connaissances particulières ou des connexions, a réussi à
créer à 23 ans un business qui est aujourd'hui devenu une entreprise socialement engagée qui
génère plusieurs millions de revenus. Dans son expérience professionnelle et
personnelle, très éclectique, elle a beaucoup bénéficié d'une croyance que
sa mère a toujours partagé avec elle : on peut toujours trouver une solution, dans
n'importe quelle situation nous nous trouvons. C'est ce message que Marie a décidé de partagé
dans son livre: « Tout est possible : Créez la vie et le job de vos rêves ».
Cela peut arriver de se sentir incapables ou faibles face à une situation que nous ne
savons pas comment gérer, de penser que nous ne sommes pas à la hauteur. Cela est faux : si nous
ne connaissons pas encore la solution, c'est tout simplement parce que personne ne nous a
donné un manuel qui nous explique comment gérer les situations que nous rencontrons.
C'est à nous de construire les compétences, les habitudes et l'état
d'esprit qui permettent de réussir ces défis. Et être profondément convaincus que l'on peut
toujours trouver une solution est un atout de taille, qui peut faire toute la différence.
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Notre cerveau est un outil conçu pour répondre aux questions : dès qu'une question nous traverse
l'esprit, notre cerveau se met immédiatement à la recherche de la réponse. Pour profiter pleinement
de sa puissance, quand nous sommes en train d'apprendre quelque chose de nouveau, nous devons
faire particulièrement attention à deux pensées, qui risquent de détruire cette puissance :
La première est : je le sais déjà. Dès que nous le pensons, notre cerveau se désintéresse et passe
à autre chose. Une approche beaucoup plus utile face à des nouvelles situations est de garder une
attitude ouverte, curieuse. On peut se poser la question : « qu'est-ce que je peux apprendre ? ».
A minima, nous avons la possibilité d'apprendre un nouveau point de vue depuis lequel regarder
la situation, ou plus probablement, nous pouvons nous rendre compte que nous ne
mettons en oeuvre que très partiellement tout ce que nous connaissons déjà.
La deuxième pensée destructive est : cela ne fonctionne pas pour moi. Cette pensée détruit
immédiatement toute possibilité de trouver et mettre en oeuvre une solution. A la place,
nous pouvons nous poser la question : « Comment est-ce que cela peut fonctionner pour moi ? ».
Grâce à cette question, nous permettons à notre
cerveau de se mettre à l'oeuvre et chercher des nouvelles connexions,
opportunités ou possibilités, desquelles on serait passés à côté autrement.
Il y a 3 règles du jeu qui peuvent nous aider à garder la bonne perspective :
Règle n° 1 : tout problème (ou rêve) a une solution
Règle n° 2 : s'il n'y a pas de solution, c'est qu'il ne s'agit pas d'un problème,
mais d'un fait de la vie ou une loi de la nature (comme la loi de la gravité ou la mort)
Règle n°3 : il est possible que nous ne sommes pas suffisamment intéressés à résoudre un problème ou
réaliser un rêve particulier. Aucun problème : dans ce cas, il suffit de trouver un problème ou
un rêve qui nous tient particulièrement à coeur, et revenir à la règle n°1.
Les règles, les croyances que nous avons cumulé de manière consciente ou (le plus souvent)
inconsciente au cours de notre vie jouent un rôle essentiel dans les résultats que nous obtenons.
Chacune de nos croyances influence nos actions et notre comportement. Elle peut nous soutenir, ou au
contraire nous empêcher d'atteindre nos objectifs. Comme l'a dit Henry Ford : « que vous pensiez
que vous pouvez, ou que vous ne pouvez pas, vous avez raison ».
Prendre conscience des croyances qui influencent nos comportements permet
de choisir lesquelles nous souhaitons garder et lesquelles nous voulons changer. En effet,
toutes nos croyances sont des choix, que nous pouvons faire évoluer à tout moment.
Cela peut prendre du temps, et nécessite de plusieurs itérations,
mais une fois que nos croyances sont bien alignées avec nos objectifs,
nous finissons par réaliser des actions qui nous en rapprochent de manière habituelle, automatique.
Et une croyance très puissante qui va soutenir vos objectifs et vos rêves,
peu importe leur nature est : on peut toujours trouver une solution !!
Parmi les obstacles principaux qui nous empêchent d'avancer il y a les excuses.
Nous sommes toujours 100% responsables de notre vie. Cela ne veut pas dire que nous
avons la possibilité de choisir ce qui nous arrive (notre emprise sur ce qui
nous arrive est finalement assez limitée). Par contre, nous sommes toujours pleinement
responsables de la manière que nous décidons de réagir à ce qui nous arrive.
Une manière très efficace pour récupérer notre responsabilité,
et réduire la tendance à trouver des excuses, est de changer notre manière de parler.
A chaque fois que dans une situation nous disons « je ne peux pas », nous assumons le
rôle de victimes. Quand nous disons : « Je ne peux pas demander une promotion », « je ne peux pas
trouver plus de temps », « je ne peux pas lancer ce projet », nous nous mettons dans la condition
de ne pas avoir de marge de manoeuvre, de ne pas avoir le choix sur ce que nous pouvons faire.
« Je ne peux pas » est une croyance limitante des plus dangereuses. A chaque fois que nous
nous rendons compte d'avoir dit, ou d'avoir pensé : « je ne peux pas », nous pouvons
changer notre attitude et reprendre un rôle d'acteurs simplement en changeant cette phrase
par la phrase « je ne vais pas ». « Je ne vais pas demander une promotion », « je ne vais pas
trouver plus de temps », « je ne vais pas lancer ce projet ». Ce simple changement de phrase
change complétement notre attitude. Elle nous permet de retrouver le contrôle de nos choix.
Exprimé de cette manière, la situation peut nous paraître difficile à accepter,
et nous pousser à chercher des solutions pour réaliser ce qui
nous tient à coeur. Mais même dans le cas ou rien ne change dans le résultat final,
cette phrase nous met dans la situation d'assumer complétement la responsabilité de nos actions.
Voilà les excuses les plus courantes : Je n'ai pas le temps ! En réalité,
c'est qu'il ne s'agit pas de quelque chose d'assez important. Par exemple,
si on devait s'occuper d'un problème de santé pour nos enfants ou nous-mêmes, nous trouverions
le temps. En effet, il ne s'agit pas d'avoir le temps, mais de le créer pour ce qui est important.
Je n'ai pas d'argent ! Si nous ne disposons pas de ressources, rien ne nous empêche d'utiliser notre
créativité et débrouillardise pour trouver les ressources dont nous avons besoin. Si
nous avons besoin d'argent pour un projet, nous pouvons décider de faire des économies ailleurs,
démarrer un deuxième boulot, trouver des investisseurs ou de partenaires.
Je ne sais pas comment faire / par où commencer : dans l'ère internet,
cette excuse est devenue particulièrement faible. Beaucoup de ressources sont désormais
disponibles en ligne, souvent gratuitement, sur n'importe quel sujet qui nous intéresse.
Prendre la responsabilité de ses propres actions peut être extrêmement difficile. Comme l'a dit
Erica Jong : « on reprend notre vie en main et qu'est-ce qui se passe ? Quelque chose de terrible
: il n'y a personne à qui donner la faute. » Nous devons choisir un camps : soit nous
décidons de garder nos excuses de pourquoi nous n'y arrivons
pas (personne ne viendra nous les enlever), soit nous décidons d'atteindre nos objectifs.
Un deuxième obstacle à dépasser est la peur. Le problème avec ce sentiment est que nous
l'approchons d'une manière erronée. Nous pensons que ressentir de la peur est un problème en soi,
qu'il est la preuve qu'il y a quelque chose qui ne va pas, souvent à l'intérieur de nous.
En réalité, la peur est un sentiment très utile.
Il a la remarquable capacité de nous indiquer le chemin à suivre,
à condition de l'écouter et l'apprécier, de l'utiliser comme une inspiration à agir.
Tant que nous essayons d'éliminer ou combattre la peur, nous faisons du sur
place. Le meilleur antidote à la peur est l'action. En faisant ce que nous craignons,
et en observant ses conséquences, nous réalisons souvent que c'est bien plus
facile que les scénarios terribles que nous avons imaginé dans notre tête.
Comment notre vie pourrait être plus facile et plus enthousiasmante si,
au lieu d'interpréter la peur comme un message qui nous dit : « attention,
danger ! ne pas continuer », nous l'interprétons comme « oui,
oui : il s'agit de quelque chose d'important ! c'est vers là qu'il faut avancer !! ».
Pour dépasser l'immobilisme, nous pouvons commencer par articuler, expliciter ce de
quoi exactement nous avons peur. Décrire nos peurs avec des mots permet souvent de leur donner une
dimension beaucoup moins imposante que quand elles restent des entités vagues à l'intérieur de nous.
Nous pouvons ensuite décrire quelle est la pire des situations possibles dont nous avons
peur. Nous pouvons alors réaliser que les conséquences ne sont pas si catastrophiques,
que la probabilité qu'elle se produise est très faible,
et nous pouvons aussi anticiper ce que nous pouvons faire pour réduire
encore plus le risque qu'elle se produise et l'ampleur de ses éventuelles conséquences.
Et même si les choses ne se passent pas comme nous l'espérons, il y a toujours du positif que
nous pouvons en tirer. Une citation de Nelson Mandela que j'aime particulièrement est : « Je
ne perds jamais. Soit je gagne, soit j'apprends ». Et il ne faut pas oublier que l'échec n'est qu'un
évènement, et non pas une caractéristique personnelle. Nous pouvons rencontrer un
échec sur notre chemin, mais nous ne pouvons jamais être un échec.
Une dernière barrière à passer pour mettre en pratique la croyance que l'on peut toujours
trouver une solution, est de commencer avant d'être prêt. Dans le cas contraire, nous risquons
d'atteindre pour toujours les conditions idéales, qui ne vont jamais se présenter.
Voici une question qui peut grandement nous aider à faire des choix même quand nous
ne nous sentons pas prêts sur l'instant : « Est-ce que dans 10 ans je vais regretter
de ne pas l'avoir fait ? » Tant que la réponse est OUI,
autant avancer malgré ses doutes. De toute manière, nous ne serons jamais prêts pour
les choses importantes que nous sommes censés faire dans notre vie. Il y aura toujours besoin
d'un acte de foi, de réaliser le premier pas dans la direction que nous souhaitons suivre.
C'est en avançant que nous pouvons continuer à apprendre des nouvelles connaissances, cumuler
plus d'expérience qui nous permet d'arriver à nos objectifs. Tant que nous restons à l'intérieur de