Le premier robot de l'Histoire a 3000 ans ? - Mythe de Talos
Mes chers camarades bien le bonjour ! Avant de vous laisser à votre épisode, j'aimerais
vous présenter le sponsor de cette émission : Pandacraft ! Pandacraft, c'est des expériences de
découvertes à recevoir dans sa boite aux lettres, chaque mois, pour les enfants de 3 à 12 ans.
Chaque kit est composé d'une activité manuelle et d'un magazine sur une thématique bien précise. En
ce moment, c'est la mythologie grecque et le voyage d'Ulysse qui sont mis à l'honneur mais
dans les mois qui viennent vous aurez par exemple les dinosaures ou la Chine impériale ! Je vous
en parle un peu plus en fin d'épisode et je vous mets un lien en description pour ceux qui veulent
en savoir plus ! Merci et bon visionnage ! Mes chers camarades, bien le bonjour !
Robocop, Terminator, Blade Runner, l'homme
bicentenaire ou encore I Robot... La liste de films de science-fiction hollywoodiens mettant
en scène des robots issus d'avancées technologiques spectaculaires est
longue comme le bras. Et perso...j'adore ça ! Ce que l'on sait moins, c'est que ce ne sont pas
les américains qui ont pensé en premier à un robot dégommant tout ce qui bouge pour
protéger un lieu ou une personne. Non non, les grecs de l'antiquité étaient déjà branchés
science fiction !
Le premier « robot » marchant sur terre, selon la mythologie grecque, était Talos.
Talos c'est un géant de bronze fabriqué par Héphaïstos et offert au Roi Minos, en
Crète. Ce robot avait une mission particulière : défendre l'île contre les envahisseurs.
Le colosse métallique patrouillait sur l'île de 260 km de longueur 3 fois par jour et
coulait tout navire étranger qui s'approchait de la côte en leurs balançant des gros
rochers qu'il arrachait aux falaises. Et pour faire ça, il devait voyager à une
vitesse de 240 km par heure, balèze ! Bon, un peu moins rapide qu'un TGV mais il pourrait faire
Paris-Marseille deux fois en un jour, ce qui est quand même pas mal !
Talos était-il programmé pour accomplir ces tâches ou avait-il une sorte de
conscience ? Où se trouve la ligne qui sépare l'humain de l'androïde. Pour les grecs
en tout cas, il y a une chose qui est claire, il n'est pas né, c'est un être artificiel qui a
été fabriqué. Il mesurait près de 30 mètres de haut, était fait de métal mais possédait
quelques traits humains. Pour y voir plus clair sur le mythe de Talos,
il faut s'intéresser aux sources antiques, et plus particulièrement à un épisode de l'épopée
de Jason et des Argonautes. Ce que je vous propose dans cet épisode, c'est de mener l'enquête
sur Talos, pour découvrir qui il était vraiment en commençant par sa fin,
pour remonter le fil de l'Histoire. Talos est un personnage qui apparaît dans
la littérature grecque dès le 8 ème siècle avant notre ère, mais ce qui le rend
particulièrement célèbre, c'est sa mort tragique dans l'épopée grecque du 3 ème siècle avant
notre ère d'Apollonius de Rhodes : l'Argonautica plus connue comme
Jason et les Argonautes. Une épopée immortalisée au cinéma par le film
culte Jason et les Argonautes sorti en 1963 qui nous offre probablement la première apparition du
gardien de bronze sur le grand écran.
Le poème d'Apollonius se base
certainement sur des traditions orales et écrites antérieures qui n'ont malheureusement pas
survécu. Et dans le récit, on comprend assez vite que l'auteur s'adresse à un public
qui connaît déjà bien les mythes sur Jason, Médée et Talos.
Apollonius nous présente Talos comme un survivant ou une relique de l'âge de Bronze. Il
serait un produit technologique, un automate, qu'aurait créé le dieu Héphaïstos, placé en
Crète pour accomplir une tâche spécifique, celle de protéger l'île.
Dans le dernier livre-chapitre de l'Argonautica, Jason et les Argonautes sont sur le
chemin de retour avec la toison d'or. Mais par malheur leur navire, l'Argo, est
immobilisé à cause des conditions météo. Les marins, sans vent et épuisés après
avoir ramés pendant des jours, mouillent leur navire dans une baie entre deux
collines en Crète. Talos les repère immédiatement et le géant guerrier de bronze
commence à balancer sur leur navire des blocs de pierre. Les argonautes, tremblant
de peur essayent désespérément de fuir le colosse. Médée, princesse du royaume de
Colchide, est également une sorcière redoutable qui accompagne Jason et ses
hommes. Elle remarque qu'un clou est fiché dans la cheville du géant. Talos a en effet
été fabriqué avec une artère à travers laquelle coulait l'ichor de vie divine des dieux.
Un fluide qui anime le géant est qui est scellé par ce fameux clou à la cheville. Médée le
comprend et rassure les argonautes en décidant de l'affronter.
Apollonius nous fait part d'un combat aux proportions épiques entre la belle et
redoutable sorcière Médée contre Talos. Les marins ne peuvent qu'observer avec
terreur la scène alors qu'elle marmonne des incantations, invoque des esprits et fixe
du regard avec fureur Talos. Le géant, déstabilisé, se coupe alors la cheville sur des
rochers. Le liquide servant à le maintenir en vie s'écoule de la plaie et notre doux
robot meurt en s'écrasant lourdement sur la plage.
Qui était vraiment Talos ? Un homme de bronze ? Ou une simple machine dont l'apparence
humaine et l'intelligence artificielle nous trompent en le faisant se rapprocher d'un
humanoïde particulièrement convaincant ? Et bien dans les mythes grecs, la frontière entre
la magie divine et l'artisanat suprême est assez mince. Et pour ne rien arranger, nous
n'avons que des fragments d'histoires et plusieurs versions qui se côtoient à propos du robot
Crétois. Selon certaines versions, il serait
le dernier descendant de la race des Hommes de Bronze. Mais l'origine la plus répandue,
nous l'avons vu, est qu'il était une création du Dieu Héphaïstos. Il pouvait se déplacer,
arracher et jeter des rochers, communiquer, reconnaître des ennemis et
des alliés, et pouvait tuer ses ennemis dans une embrassade brûlante.
On ne sait pas trop ce que c'est, mais on peut aussi traduire ça par “un câlin mortel”. Quoi
que ça soit, c'est pas ouf… Ce robot est alimenté par un
système interne d'ichor divin. L'ichor divin, c'est le sang
des dieux, qui leur donnent l'immortalité. L'ichor ne coulant que dans les veines de
dieux, nous ne pouvons qu'imaginer comment Héphaïstos s'en est procuré.
Je penche pour une soirée un peu arrosée à la suite de laquelle le dieu forgeron en aurait
profité pour saigner discrétos quelques malheureux.
Talos est à ce
stade un automate. C'est-à-dire, une chose qui se « meut » lui-même,
qui se déplace de son plein gré. Il est animé grâce à un mécanisme interne et alimenté
par l'ichor. Dès l'antiquité, il est perçu comme un objet construit qui, dans ses
mouvements automatiques, imite la vie, une définition qui se rapproche de la
définition moderne du robot.
En ce qui concerne sa condition physique, talos, fait de bronze et d'ichor, serait donc
immortel. En tout cas, il résiste au temps qui passe mais il n'est pas invincible pour autant.
Mais la question de son esprit est-elle encore ambigüe. Le géant de bronze était-il dépourvu
de sentiments et de volonté ? Bien qu'il soit fabriqué au lieu de naître, la description de sa
mort nous le fait paraître très humain. Mais la question qu'on peut se poser c'est est ce que
c'est vraiment le cas ou est ce qu'on projette sur lui une image humaine ou un
comportement humain comme on le fait quand on parle à notre ordinateur ou à notre
télévision ?
Lors de sa rencontre fatale avec Jason, Médée et les Argonautes, une des versions
les plus connues nous expose que la sorcière utilise la ruse et des ensorcellements
afin de provoquer une hallucination cauchemardesque à Talos. En jouant alors sur
ces émotions, elle va le convaincre qu'elle peut lui offrir l'immortalité en lui enlevant
le clou de sa cheville. Talos, apeuré, va naïvement accepter qu'ils lui ôtent de sa
cheville le clou, ce qui entraîne sa mort.
Mais, même si dans la mythologie la différence entre la technologie et le pouvoir divin est
parfois brouillée, il y a une grande différence entre un dieu qui par sa volonté donné vie à un
objet inerte comme dans l'histoire de Pygmalion et un dieu forgeron qui par sa technologie
supérieure construit lui-même un objet qui imite la vie. Donc, c'est compliqué !
Afin de dénouer ce sac de nœuds, je vous propose de revenir au début de l'histoire !
Selon
les traditions historiques de l'époque classique, le Roi Minos de Crète est
considéré comme un personnage historique réel et les évènements qui l'entourent se
déroulent 3 générations avant la guerre de Troie. Les archéologues nomment la
civilisation de l'Âge de Bronze en Crète la civilisation Minoenne, d'après le roi Minos.
Cette culture Crétoise de l'Âge du Bronze, les Minoens, produit des sceaux, comme
des talismans, représentant diverses créatures fantastiques gardiennes de cités. Le
minotaure apparaît sur certains sceaux par exemple. Un sceau de la période
Minoenne tardive vers. 1450 avant notre ère, contient la représentation d'une ville
fortifiée. Du point le plus haut de cette ville un homme gigantesque sans visage
surveille la ville. On ne sait pas si c'est une représentation de Talos. Mais, comme le
roi Minos est souvent associé aux récits technologiques de la Grèce et aux
personnages de Dédale ou d'Héphaïstos, il se peut que plusieurs récits et images se
mélangent au cours du temps.
Mais Talos aurait-il pu faire sa première apparition dans les traditions archaïques et
orales de la Grèce du 8 ème siècle avant notre ère ? Dans l'Iliade de Homère on y trouve
une référence à des statues automates - notamment les servantes en or du dieu
forgeron. Hors l'Iliade,
c'est je vous rappelle une épopée qui narre la guerre de Troie, un évènement
qui daterait probablement du 12 eme siècle avant notre ère,
c'est-à-dire vers la fin de l'Âge de Bronze et de la civilisation Mycénienne.
Certains pensent même que les récits sur les voyages du navire Argo sont plus anciens que
ceux de la Guerre de Troie.
La Sardaigne avait des liens avec la Crète et les Étrusques depuis au moins le 9 ème
siècle avant notre ère. Cette grande île à l'ouest de
l'Italie était riche en cuivre, plomb et bronze, elle est le berceau de la
civilisation Nuragique qui façonnait avec la technique de la cire perdue des statues de
bronze. Ces Nuragiens ont sculptés plus d'une quarantaine de statues en pierre de 2
mètres qui montaient la garde sur l'île et qui sont après l'Égypte les exemples les plus
anciens de statues anthropomorphes en Méditerranée.
D'ailleurs, ils ont souvent été comparés avec beaucoup de second degré à C3-PO. La
question que l'on se pose alors : est-ce que ces gardiens de pierre, immortels et immobiles,
auraient-ils eu le même devoir que Talos ? Pindare, un poète grec, nous raconte que
Talos aurait auparavant été le défenseur de la Sardaigne avant d'être reaffecté à la Crète.
On est en plein entre la mythologie et l'archéologie. C'est ouf quand on y pense,
mais il ne faut surtout pas se laisser emporter ! Faisons un petit point sur les découvertes
archéologiques à ce propos d'ailleurs. Le nom et l'image de Talos n'apparaissent
qu'à partir du 5 ème siècle avant notre ère. L'automate géant de bronze de Crète était bien
connu dans les cercles artistique et littéraires bien avant Apollonius de
Rhodes. Il apparaît sur plusieurs exemples de poterie datant du 5 ème siècle avant notre
ère. Mais, malgré sa notoriété nous n'avons que des fragments de récits sur le colosse
d'airain.
Talos serait aussi apparu dans la tragédie disparue de Sophocle, Dédale, au 5 ème siècle
avant notre ère. Nous avons aussi le fragment d'un poème de Simonides (556-568 BC)
décrivant Talos comme un ‘gardien animé' (Phylax Empsychos) fabriqué par
Héphaïstos. Il nous raconte que Talos, avant d'être taché avec la protection de l'île de
Crète aurait été en Sardaigne le fléau de beaucoup d'hommes qui auraient perdu la
vie à cause de son embrassade/câlin brûlant.
Talos apparaît également sur des vases à figures rouges datant entre 430 et 400 avant
notre ère où son système d'alimentation par l'ichor scellée par un clou à sa cheville
est très clairement représenté. Le style des peintures sur les vases suggère aussi que
ces images sont des facsímiles de muraux du 5 ème siècle qui font références à Jason et
aux Argonautes. Sur ces représentations, on voit clairement
la condition mi-homme mi-machine de Talos, une sorte de Cyborg ! Le truc, c'est que ces
images cherchent aussi à nous susciter une émotion, un pathos, sur la mort du vénérable
colosse de bronze.
Les Grecs étaient très fans des histoires de Jason et des Argonautes. Leurs périples
étaient le sujet de plusieurs métiers d'arts. Le colosse d'airain éternel, fabriqué par
Héphaïstos, était un sujet de grand intérêt philosophique. La victoire de simples
mortels sur Talos devait être aussi emblématique pour les Grecs.
Pour
les Crétois par contre, et le roi Minos, c'est un drame. Ils se trouvent démunis de
leur première ligne de défense pour leur île. Pour les Crétois, Talos est un véritable
héros. Il figure sur la monnaie Crétoise de la cité de Phaistos entre 350 et 280 avant
notre ère. On a vu que Talos a laissé des traces
archéologiques, mais il est aussi intéressant de comprendre comment Apollonius de Rhodes aurait
pu être inspiré pour décrire le talos qu'il évoque dans Jason et les argonautes. Et oui
car Apollonius de Rhodes, a vécu un certain temps... à Rhodes ! Et qu'est-ce qu'on trouve
à Rhodes ? Le fameux colosse de Rhodes ! Une statue recouverte de bronze de près
de 30m de haut, une des 7 merveilles du monde antique détruite par un séisme en 226 avant notre
ère ! Une description qui ressemble “un peu” à Talos !
Talos inspire en tout cas depuis 2500 ans des artistes, des poètes et des philosophes et
provoque encore aujourd'hui des questionnements.
Si vous n'y avez pas joué, je vous le recommande le jeu The Talos Principle sorti en
2014, où vous incarnez un androïde doté d'une IA qui semble avoir une conscience et
une autonomie comparable à un humain. Vous progressez à travers des ruines et
reliques de temps perdus et parmi les puzzles à résoudre, ce robot vous invite à
répondre à des dilemmes métaphysiques sur l'intelligence artificielle
et le libre arbitre.
Le mythe de Talos, qui a été imaginé il y a plus
de 25 siècles, suscite des questions difficiles sur la nature même de Talos, sa conscience,
son esprit, son humanité. Les robots peuvent- ils faire des choix éthiques ? Pouvons-nous
en quelque sorte automatiser nos valeurs morales, nos choix, ou encore la justice ? Est-ce
que nous pouvons programmer des agents moraux artificiellement ? Si aujourd'hui on se
pose toutes ces questions urgentes, en fait c'est des questionnements qui sont
plutôt anciens !
On pourrait même pousser le raisonnement plus loin. Était-il souhaitable d'avoir un
robot géant qui patrouille une île pour défoncer tous les navires étrangers avec des
rochers en guise de missiles balistiques ? Cette machine énorme, une relique d'un
âge révolu, a accompli son devoir sans faille pendant des siècles avant d'être abattu
par Médée. Talos continuait ses rondes avec fidélité au-delà de son temps. Est-ce
qu'il n'est pas alors le symbole des technologies qui deviennent obsolètes dans un
monde humain qui change ? C'est peut-être parce qu'il était presque invincible et
dangereux qu'il méritait d'être désactivé de cette façon.
Depuis très longtemps, les humains
peuvent imaginer des êtres mouvants en bronze pouvant accomplir des tâches prédestinées.
Aujourd'hui nous parlerions plutôt d'androïde pouvant accomplir des
taches programmées. Héphaïstos offre à ses automates la voix, la pensée et l'animation
comme nous espérons pouvoir un jour créer un robot avec une IA développée.
Depuis les premiers forgerons, ingénieurs mécaniques, informaticiens, nous avons imaginé
leur potentiel, leurs dangers, leurs risques et leurs contributions à notre
condition humaine. Nous les avons humanisés et déshumanisés et ils ont été pour nous une
source d'inspiration philosophique. Une occasion de se poser une question
centrale : qu'est-ce c'est d'être humain et non- humain.
Merci à tous d'avoir suivi cet épisode écrit avec Alexander Westra, on espère vraiment qu'il
vous a plu ! N'hésitez pas à me suivre sur ma chaîne Bonus, “Nota Bonus”, vous y
retrouverez plein de contenus supplémentaires : de l'Histoire mais pas que ! On se retrouve
très bientôt sur Nota Bene pour de nouvelles vidéos. Ciao !
Merci à Pandacraft, le sponsor de cette émission ! Pandacraft, c'est le cadeau de noël idéal si
vous avez des enfants parce que non seulement c'est intelligent mais en plus ça vous fait
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les vikings dont on a fait la promotion l'an dernier, bref...vous avez compris le concept ! Il
y a un côté très ludique parce qu'il faut monter des petites maquettes comme
quand on était gamin sauf que maintenant c'est pour nos enfants et pas pour nous...enfin en
principe...vous avez le droit de leur piquer ! Et à côté de cette activité manuelle, il y a
le magazine pour en apprendre un peu plus sur la thématique du mois. Il y a deux formules adaptées
à deux âges différents : la gamme Explore pour les 3/7 ans et la gamme Makers pour les 8/12 ans. Pour
les plus jeunes, le thème du mois de décembre est dédié au voyage d'Ulysse, pour en apprendre plus
sur son périple et l'aider à rentrer chez lui. L'activité est de construire un jeu de société
qui vous permettra au passage de tester en famille vos connaissances sur Ulysse et ses périples, qui
sont narrés dans le magazine entièrement illustré et adapté pour les enfants. Pour les plus grands
de la gamme Makers, le kitt est axé plus largement sur la mythologie grecque. On retrouve dans le
magazine un bestiaire qui sont présentées un peu comme dans un jeu de rôle avec des caractéstiques
et le panthéon des dieux grecs et le kit nous propose de construire là aussi notre propre jeu
de société qui nous mènera à travers les enfers d'Hadès, l'océan de Poséidon et la terre de Zeus !
Je l'avais déjà dit par le passé mais si je bosse avec Pandacraft c'est parce que je trouve
que c'est vraiment bien, c'est ludique, ça permet de découvrir un peu le monde,
les enfants kiffent les kits créatifs et en plus vous partagez des moments avec
les enfants. Testé et approuvé de mon côté en tout cas ! Si vous êtes intéressé par les kits
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par exemple les dinosaures ou la Chine impériale pour les prochains numéros. Pour ceux qui ont
déjà testé, n'hésitez pas à me donner votre avis en commentaire sur Pandacraft d'ailleurs ! Merci
encore d'avoir suivi cette émission et à très bientôt sur Nota Bene ! Ciao !