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Livres utiles - Livre Audio - Channe Youtube, Le facteur latté. David Bach, John David Mann. Livre audio (1)

Le facteur latté. David Bach, John David Mann. Livre audio (1)

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et lippi édition présente le facteur

lattes et pourquoi il n'est pas

nécessaire d'être riche pour avoir une

vie riche de david backes et john david

mann ce livre est accompagné d'une

annexe lui paraît me wibaut bonne écoute

[Musique]

à oprah winfrey qui m'a donné l'occasion

de présenter le facteur là tu es sur le

plateau de son émission si influente et

ainsi de rejoindre des dizaines de

millions de personnes à paulo coelho tes

paroles david tu dois écrire ce livre

m'ont poussé à écrire le facteur là tu

es à al attiah bradley bac qui m'a

écouté parler de la rédaction de ce

livre pendant dix ans sans jamais douter

que je le ferai je suis plus que

reconnaissant envers vous

chapitre 1 l'oculus

[Musique]

montant dans un wagon du métro de la

ligne aile en ce lundi matin pour se

rendre à son travail comme elle le fait

chaque jour zoé prend une gorgée de son

double latter et pense à la photographie

la lippe ans pendant les quarante

minutes que dure le trajet vers l'ouest

et ensuite vers le sud de brooklyn à son

dernier arrêt dans le quartier de lower

manhattan

et elle y pense encore alors qu'elle se

lève pour descendre en même temps qu'un

millier d'autres passagers qu'a donc de

si particulier cette photographie les

porte du wagon s'ouvre et zoé devient

une goutte dans la mer de banlieusards

qui s'engouffre dans folle tonnes center

le coeur vers lequel convergent presque

toutes les lignes de métro dans lower

manhattan

la vague humaine la transporte le long

d'un couloir au sol couvert de tuiles

grises qui aboutit dans un vaste espace

ouvert sous le world trade center ouzou

et s'immobilise cloué sur place les gens

là qu'on tourne alors qu'elle lève les

yeux vers le haut plafond voûté on

dirait les côtes dernier normes oiseaux

d'acier blanc un phénix renaissant des

cendres du 11 septembre

elle se remet en mouvement habité par la

grandeur des lieux plus de 180 m de

marbre italien blanc c'est comme de se

trouver à l'intérieur d'une gigantesque

cathédrale

l'oculus l'entrée de l'un des plus

célèbres monuments du monde est l'une

des destinations touristiques les plus

fréquentés

zoé y passent chaque jour deux fois par

jour en fait la première en se rendant

au travail et la seconde lorsqu'elle

rentre chez elle et pourtant elle ne

s'est encore jamais arrêté pour

l'admirer elles pénètrent dans

l'enceinte recouverte de marbre blanc et

s'engage dans le couloir ouest concourse

où se trouve à sa gauche un immense

tableau d'affichage lumineux presque

aussi grand qu'un terrain de football en

temps normal elles ignorent l'incessante

succession de publicité est d'avis émis

par les services publics pressé de se

rendre à l'escalier roulant mais

aujourd'hui les image que renvoient

l'immense écran arezzo et dans son élan

et elle reste une fois de plus chloé sur

place elles gardent les yeux rivés sur

l'image d'un bateau de pêche de son

équipage et de ses fils est un bateau

très semblable à l'embarcation qui

figurent sur cette photographie qui la

hante seulement au lieu de se laisser

bercer par là haut le long d'un quai

celui ci est échoué au milieu d'un

désert

étrange pense au zoo est étrange et

étrangement troublant alors qu'elle fixe

l'image des lettres géantes défilent sur

l'écran des chiffons un message

si vous ne savez pas où aller vous

risquez de ne pas aimer votre point

d'arrivée

un instant plus tard l'image s'estompe

remplacés par d'autres publicités zoé se

remet en mouvement arrivé au bout du

couloir elle s'engage sur l'escalier

roulant mondes deux étages pour se

retrouver dans un atrium inondé de

soleil elle sort et marche vers west

street

le soleil dans les yeux jusqu en face de

l'édifice où elle travaille one world

trade center le plus haut gratte ciel de

l'hémisphère occidental

c'est sa routine quotidienne

elle adore se tenir là la tête penchée

en arrière et regarder tout en haut

tentant d'apercevoir le sommet de

l'énorme tour qui s'élance vers le ciel

aujourd'hui toutefois elle a l'esprit

ailleurs

si vous ne savez pas où aller vous

risquez de ne pas aimer votre point

d'arrivée c'était une publicité

quelconque pour une compagnie

d'assurance un fabricant d'automobiles

une application de voyage elle n'arrive

pas à s'en rappeler

jessica at elle quelque chose à voir

avec ce slogan il lui semble que

l'annonceur fait partie des comptes

clients de jesse pourtant ce matin elle

a le sentiment qu'il s'agit d'un message

qui lui est personnellement adressés et

cela la ronge tout comme cette

photographie celle qu'elle ne parvient

pas à oublier elle se rappelle soudain

le la têt qu'elle tient à la main et en

prend une gorgée et la refroidit en

temps normal elle traverserait la rue

entrerait dans l'édifice et prendre l

ascenseur jusqu'à son bureau aux

trembles troisième étage aujourd'hui

elle emprunte un autre chemin après

avoir traversé wall street elle tourne à

droite et se dirige vers les bassins

miroitant vers les deux grandes

fontaines carrés construite exactement

là où se trouvaient les tours jumelles

et bordée de murs de marbre noir sur

lesquelles est gravé une liste

interminable de nom le mémorial du

11-septembre

elle s'immobilise à côté du bassin nord

et regarde l'eau frémissante en

contrebas elle glisse la main le long de

la surface de marbre elie la première

douzaine de noms il y en a tant des

milliers de personnes sont mortes ici en

ce jour sombre de septembre 2001 zoé

fréquenté l'école primaire à cette

époque elle lève les yeux vers les

grandes ailes nervuré de l'oculus

dressées vers le ciel parmi les

gratte-ciel à un coin de rue de là

pourquoi tout lui par est il si

différent aujourd'hui si vous ne savez

pas où aller vous risquez de ne pas

aimer votre point d'arrivée où zoé

va-t-elle exactement où prévoit-elle

arrivé exactement y at elle jamais

réfléchi auparavant un homme s'arrête

pendant une fraction de seconde afin de

consulter son bracelet montre et repart

en toute hâte zoé est agitée elle sera

en retard au travail elle s'apprête à

faire demi tour et a regagné le one

world trade center mais quelque chose la

retient elle se dirige plutôt vers un

banc de béton situé non loin et elle

s'assoit sont là tu es froid à la main

entourée de touristes de banlieusards et

d'habitants du quartier

elle parle doucement à nulle autre

qu'elle même

qu'est ce que je suis en train de faire

de ma vie

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chapitre 2 la photographie

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la journée de zoé commence en lion dès

qu'elle sort de l'ascenseur aux trente

troisième étage comme c'est le cas

chaque lundi matin la date de tombée du

numéro de printemps et dans quelques

jours vendredi et tout le monde au

bureau est en mode production intensif

une foule d'articles de biographies et

d'illustrations réclame l'attention de

zoé vélo de montagne en équateur

dégustation de vin dans les balkans

photo reportage avec le nom de célèbre

voyageur dans la légende et c'est son

travail de remanier et de peaufiner des

gribouillages pour en faire une prose

parfaite et pétillante zoé travaille

pour une grande maison d'édition ayant

ses bureaux au one world trade center la

tour de la liberté comme on l'appelle ce

que zoé a toujours trouvé ironique c'est

que même si elle aime le tourbillon que

son travail représente elle pourrait

difficilement qualifiés de libres le

temps qu'elles passent entre ses murs

elle est heureuse d'occuper ce poste

mais son horaire est éreintant et le

salaire est loin d'être aussi élevé que

ce que pensent probablement les lecteurs

du magazine et parlant d'ironie la voilà

âgé de 27 ans co rédactrice d'un

magazine de voyage mondialement réputé

et elle n'est jamais sortie des états

unis ou à l'est à l'ouest du mississippi

d'ailleurs elle n'a même pas de

passeport une rédactrice de magazine de

voyage qui n'a jamais voyagé elle dépose

son portable sur son bureau louvre se

connecte au réseau du personnel et se

met au boulot ses doigts volant sur le

clavier zoé m la fièvre de son travail

les échéances démentent les changements

de dernière minute dans le contenu le

défi consistant à créer un texte de

qualité en partant d'un style d'écriture

descend à médiocre elle repousse le

vague sentiment de malaise qu'elle a

ressenti plus tôt et se penche sur son

clavier plongeant dans le rythme du lieu

avons-nous fin zoé se redresse sur sa

chaise a effectué une rotation du coup

pour en dissiper la raideur est il

vraiment plus de 13 heures elle se

tourner pour trouver sa patronne qui

l'observent de derrière la demie

cloisons qui délimite son poste de

travail

même les globe trotters virtuels doivent

parfois manger ajoute sa patronne

le style vestimentaire de barbara n'est

pas très tendance contrairement à celui

de la plupart des membres du personnel

dans le cadre très haut de gamme de

lower manhattan zoé a parfois

l'impression que barbara est originaire

d'une petite ville et qu'elle ne s'est

jamais vraiment adapté à son nouvel

environnement plus ou moins le contraire

de jesse cas autrement dit mais elle est

exceptionnellement brillante et

naturellement empathique

elle semble sentir ce qui se passe sous

la surface des choses zoé suppose que

c'est ce qui fait d'elle une excellente

directrice de la rédaction lorsque zoé a

commencé à travailler il ya six ans

c'est barbara qui s'était chargé du

processus d'embauché et toutes deux

s'étaient immédiatement découvert des

atomes crochus barbara des attentes

élevées et elle est très exigeante

c'est une patronne intransigeante en ce

sens mais elle ne pousse personne elle

les tire plutôt ses subordonnés n'ont

pas peur d'elle ils ne veulent tout

simplement pas la décevoir et zoé ne l'a

jamais déçu elle est une redoutable

rédactrice et elle excelle dans son

travail affamé disent haut et elle met

son portable en veille et suit barbara

jusqu'à l'ascenseur pour aller dîner à

un étage supérieur la cafétéria de

l'entreprise offre une vue spectaculaire

sur le centre ville de manhattan la

rivière hudson et la statue de la

liberté avec ses espaces ouverts et son

décor austère le lieu ressemble à

n'importe quel resto branché de

manhattan

lorsque zoé a commencé à travailler au

magazine elle a dû s'habituer à y

croiser parfois des célébrités barbara a

apporté sa boîte repas lac et quel vide

avec beaucoup de soin pendant que zoé

s'engage dans la file elle opte pour une

salade composée de poulet de kinois

d'amande marc ona et de jeunes pousses

biologique tout en entamant sa salade

elle fait un effort pour parler de

l'article sur lequel elle travaille mais

ce genre de bavardages n'est pas son

point fort et elle se tait après deux

phrases dans le bref silence qui suit

barbara prend quelques bouchées de son

sandwich et observe the est bon dit elle

finalement tu ne semble pas être dans

ton assiette aujourd'hui tout va bien

une autre preuve de la grande

perspicacité de barbara zoé a tenté

d'oublier l'étrange état d'esprit dans

lequel elle s'est trouvée ce matin mais

sa patronne la quand même senti elle

inspire et expire lentement elle ne sait

pas par où commencer

car elle ne comprend pas très bien ce

qui lui arrive tu trouveras ça bizarre

comment zoé

barbara prend une autre boucher et hoche

la tête comme pour dire continue en

allant prendre le métro le matin je

m'arrête dans un café de williamsburg

elle décrit où il est situé et barbara

auch encore une fois la tête

le café et les nains tu le connais

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Le facteur latté. David Bach, John David Mann. Livre audio (1) Der Latte-Faktor. David Bach, John David Mann. Hörbuch (1) The latte factor. David Bach, John David Mann. Audio book (1)

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lattes et pourquoi il n'est pas slats|||||

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mann ce livre est accompagné d'une

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[Musique]

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de présenter le facteur là tu es sur le

plateau de son émission si influente et

ainsi de rejoindre des dizaines de

millions de personnes à paulo coelho tes

paroles david tu dois écrire ce livre

m'ont poussé à écrire le facteur là tu

es à al attiah bradley bac qui m'a

écouté parler de la rédaction de ce

livre pendant dix ans sans jamais douter

que je le ferai je suis plus que

reconnaissant envers vous

chapitre 1 l'oculus |the oculus

[Musique]

montant dans un wagon du métro de la

ligne aile en ce lundi matin pour se

rendre à son travail comme elle le fait

chaque jour zoé prend une gorgée de son

double latter et pense à la photographie |latter|||||

la lippe ans pendant les quarante |lip||||

minutes que dure le trajet vers l'ouest

et ensuite vers le sud de brooklyn à son

dernier arrêt dans le quartier de lower

manhattan

et elle y pense encore alors qu'elle se

lève pour descendre en même temps qu'un

millier d'autres passagers qu'a donc de

si particulier cette photographie les

porte du wagon s'ouvre et zoé devient

une goutte dans la mer de banlieusards

qui s'engouffre dans folle tonnes center

le coeur vers lequel convergent presque

toutes les lignes de métro dans lower

manhattan

la vague humaine la transporte le long

d'un couloir au sol couvert de tuiles

grises qui aboutit dans un vaste espace

ouvert sous le world trade center ouzou

et s'immobilise cloué sur place les gens |stops|||||

là qu'on tourne alors qu'elle lève les

yeux vers le haut plafond voûté on

dirait les côtes dernier normes oiseaux

d'acier blanc un phénix renaissant des ||||reigning|

cendres du 11 septembre

elle se remet en mouvement habité par la

grandeur des lieux plus de 180 m de

marbre italien blanc c'est comme de se

trouver à l'intérieur d'une gigantesque

cathédrale

l'oculus l'entrée de l'un des plus

célèbres monuments du monde est l'une

des destinations touristiques les plus

fréquentés

zoé y passent chaque jour deux fois par

jour en fait la première en se rendant

au travail et la seconde lorsqu'elle

rentre chez elle et pourtant elle ne

s'est encore jamais arrêté pour

l'admirer elles pénètrent dans

l'enceinte recouverte de marbre blanc et

s'engage dans le couloir ouest concourse |||||concourse

où se trouve à sa gauche un immense

tableau d'affichage lumineux presque

aussi grand qu'un terrain de football en

temps normal elles ignorent l'incessante ||||the incessant

succession de publicité est d'avis émis

par les services publics pressé de se

rendre à l'escalier roulant mais

aujourd'hui les image que renvoient

l'immense écran arezzo et dans son élan ||Arezzo||||

et elle reste une fois de plus chloé sur

place elles gardent les yeux rivés sur

l'image d'un bateau de pêche de son

équipage et de ses fils est un bateau

très semblable à l'embarcation qui

figurent sur cette photographie qui la

hante seulement au lieu de se laisser

bercer par là haut le long d'un quai rock|||||||

celui ci est échoué au milieu d'un

désert

étrange pense au zoo est étrange et

étrangement troublant alors qu'elle fixe

l'image des lettres géantes défilent sur

l'écran des chiffons un message

si vous ne savez pas où aller vous

risquez de ne pas aimer votre point

d'arrivée

un instant plus tard l'image s'estompe |||||fades

remplacés par d'autres publicités zoé se

remet en mouvement arrivé au bout du

couloir elle s'engage sur l'escalier

roulant mondes deux étages pour se

retrouver dans un atrium inondé de |||atrium||

soleil elle sort et marche vers west

street

le soleil dans les yeux jusqu en face de

l'édifice où elle travaille one world

trade center le plus haut gratte ciel de

l'hémisphère occidental

c'est sa routine quotidienne

elle adore se tenir là la tête penchée

en arrière et regarder tout en haut

tentant d'apercevoir le sommet de

l'énorme tour qui s'élance vers le ciel

aujourd'hui toutefois elle a l'esprit

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a le sentiment qu'il s'agit d'un message

qui lui est personnellement adressés et

cela la ronge tout comme cette

photographie celle qu'elle ne parvient

pas à oublier elle se rappelle soudain

le la têt qu'elle tient à la main et en

prend une gorgée et la refroidit en |||||cools|

temps normal elle traverserait la rue

entrerait dans l'édifice et prendre l

ascenseur jusqu'à son bureau aux

trembles troisième étage aujourd'hui

elle emprunte un autre chemin après

avoir traversé wall street elle tourne à

droite et se dirige vers les bassins

miroitant vers les deux grandes mirroring||||

fontaines carrés construite exactement

là où se trouvaient les tours jumelles

et bordée de murs de marbre noir sur

lesquelles est gravé une liste

interminable de nom le mémorial du

11-septembre

elle s'immobilise à côté du bassin nord

et regarde l'eau frémissante en |||trembling|

contrebas elle glisse la main le long de against|||||||

la surface de marbre elie la première

douzaine de noms il y en a tant des

milliers de personnes sont mortes ici en

ce jour sombre de septembre 2001 zoé

fréquenté l'école primaire à cette

époque elle lève les yeux vers les

grandes ailes nervuré de l'oculus

dressées vers le ciel parmi les

gratte-ciel à un coin de rue de là

pourquoi tout lui par est il si

différent aujourd'hui si vous ne savez

pas où aller vous risquez de ne pas

aimer votre point d'arrivée où zoé

va-t-elle exactement où prévoit-elle

arrivé exactement y at elle jamais

réfléchi auparavant un homme s'arrête

pendant une fraction de seconde afin de

consulter son bracelet montre et repart

en toute hâte zoé est agitée elle sera

en retard au travail elle s'apprête à |||||is getting|

faire demi tour et a regagné le one

world trade center mais quelque chose la

retient elle se dirige plutôt vers un

banc de béton situé non loin et elle

s'assoit sont là tu es froid à la main

entourée de touristes de banlieusards et

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la journée de zoé commence en lion dès

qu'elle sort de l'ascenseur aux trente

troisième étage comme c'est le cas

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jours vendredi et tout le monde au

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une foule d'articles de biographies et

d'illustrations réclame l'attention de

zoé vélo de montagne en équateur

dégustation de vin dans les balkans

photo reportage avec le nom de célèbre

voyageur dans la légende et c'est son

travail de remanier et de peaufiner des ||rework||||

gribouillages pour en faire une prose scribbles|||||

parfaite et pétillante zoé travaille

pour une grande maison d'édition ayant

ses bureaux au one world trade center la

tour de la liberté comme on l'appelle ce

que zoé a toujours trouvé ironique c'est

que même si elle aime le tourbillon que

son travail représente elle pourrait

difficilement qualifiés de libres le

temps qu'elles passent entre ses murs

elle est heureuse d'occuper ce poste

mais son horaire est éreintant et le ||||grueling||

salaire est loin d'être aussi élevé que

ce que pensent probablement les lecteurs

du magazine et parlant d'ironie la voilà

âgé de 27 ans co rédactrice d'un

magazine de voyage mondialement réputé

et elle n'est jamais sortie des états

unis ou à l'est à l'ouest du mississippi

d'ailleurs elle n'a même pas de

passeport une rédactrice de magazine de

voyage qui n'a jamais voyagé elle dépose

son portable sur son bureau louvre se

connecte au réseau du personnel et se

met au boulot ses doigts volant sur le

clavier zoé m la fièvre de son travail

les échéances démentent les changements

de dernière minute dans le contenu le

défi consistant à créer un texte de

qualité en partant d'un style d'écriture

descend à médiocre elle repousse le

vague sentiment de malaise qu'elle a

ressenti plus tôt et se penche sur son

clavier plongeant dans le rythme du lieu

avons-nous fin zoé se redresse sur sa |||||rises||

chaise a effectué une rotation du coup

pour en dissiper la raideur est il

vraiment plus de 13 heures elle se

tourner pour trouver sa patronne qui

l'observent de derrière la demie observe||||

cloisons qui délimite son poste de

travail

même les globe trotters virtuels doivent |||trotters||

parfois manger ajoute sa patronne

le style vestimentaire de barbara n'est

pas très tendance contrairement à celui

de la plupart des membres du personnel

dans le cadre très haut de gamme de

lower manhattan zoé a parfois

l'impression que barbara est originaire

d'une petite ville et qu'elle ne s'est

jamais vraiment adapté à son nouvel

environnement plus ou moins le contraire

de jesse cas autrement dit mais elle est

exceptionnellement brillante et

naturellement empathique

elle semble sentir ce qui se passe sous

la surface des choses zoé suppose que

c'est ce qui fait d'elle une excellente

directrice de la rédaction lorsque zoé a

commencé à travailler il ya six ans

c'est barbara qui s'était chargé du

processus d'embauché et toutes deux

s'étaient immédiatement découvert des

atomes crochus barbara des attentes |hooked|||

élevées et elle est très exigeante

c'est une patronne intransigeante en ce

sens mais elle ne pousse personne elle

les tire plutôt ses subordonnés n'ont

pas peur d'elle ils ne veulent tout

simplement pas la décevoir et zoé ne l'a

jamais déçu elle est une redoutable

rédactrice et elle excelle dans son

travail affamé disent haut et elle met

son portable en veille et suit barbara

jusqu'à l'ascenseur pour aller dîner à

un étage supérieur la cafétéria de

l'entreprise offre une vue spectaculaire

sur le centre ville de manhattan la

rivière hudson et la statue de la |hudson|||||

liberté avec ses espaces ouverts et son

décor austère le lieu ressemble à

n'importe quel resto branché de

manhattan

lorsque zoé a commencé à travailler au

magazine elle a dû s'habituer à y

croiser parfois des célébrités barbara a

apporté sa boîte repas lac et quel vide

avec beaucoup de soin pendant que zoé

s'engage dans la file elle opte pour une

salade composée de poulet de kinois

d'amande marc ona et de jeunes pousses

biologique tout en entamant sa salade

elle fait un effort pour parler de

l'article sur lequel elle travaille mais

ce genre de bavardages n'est pas son

point fort et elle se tait après deux

phrases dans le bref silence qui suit

barbara prend quelques bouchées de son

sandwich et observe the est bon dit elle

finalement tu ne semble pas être dans

ton assiette aujourd'hui tout va bien

une autre preuve de la grande

perspicacité de barbara zoé a tenté

d'oublier l'étrange état d'esprit dans

lequel elle s'est trouvée ce matin mais

sa patronne la quand même senti elle

inspire et expire lentement elle ne sait

pas par où commencer

car elle ne comprend pas très bien ce

qui lui arrive tu trouveras ça bizarre

comment zoé

barbara prend une autre boucher et hoche ||||||nod

la tête comme pour dire continue en

allant prendre le métro le matin je

m'arrête dans un café de williamsburg |||||williamsburg

elle décrit où il est situé et barbara

auch encore une fois la tête

le café et les nains tu le connais