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RFI - Journal en français facile 2017 - 2020, Journal en français facile 02 octobre 2019

Journal en français facile 02 octobre 2019

Loïc Bussières : 22h à Paris, 20h en temps universel. Bonsoir et bienvenue si vous nous rejoignez pour votre Journal en français facile que je vous présente en compagnie de Julien Coquelle-Roëhm. Bonsoir Julien.

Julien Coquelle-Roëhm : Bonsoir.

LB : Le compromis de la dernière chance, c'est ce que propose Boris Johnson à Bruxelles à moins d'un mois du Brexit. Le Premier ministre britannique estime avoir fait des propositions raisonnables et constructives.

JCR : L'OMC, l'organisation mondiale du commerce, qui autorise Donald Trump à sanctionner l'Europe et ceci en représailles des subventions accordées à Airbus par plusieurs pays européens, dont la France.

LB : Dans ce journal, nous reviendrons aussi sur la mort de Jamal Khashoggi, le journaliste saoudien assassiné à Istanbul. Un an après, des ONG de défense des droits de l'Homme réclament toute la lumière sur cette affaire.

-----

JCR : Tout d'abord l'actualité de Bruxelles et du Brexit. Boris Johnson présentait aujourd'hui devant le Parti Conservateur son « offre finale » selon ses propres termes.

LB : Le Premier Ministre britannique qui a surtout présenté les grandes lignes de ses propositions pour le Brexit dans une lettre envoyée à l'UE accompagnée d'une note explicative. Des propositions qui avaient suscité à l'avance le doute de l'UE. Jean-Claude Juncker a évoqué le sujet au téléphone avec Boris Johnson, et si ses impressions sont finalement moins négatives que le reste des réactions initiales, le président de la Commission européenne reste prudent. RFI Bruxelles, Pierre Benazet.

Le compte-rendu que Jean-Claude Juncker a tenu à publier de son coup de téléphone avec Boris Johnson est loin d'être une fin de non-recevoir même s'il y a des points problématiques. Le président de la Commission européenne salue par exemple la détermination du Premier ministre britannique à trouver un accord ainsi que des avancées positives comme l'extension de la zone commerciale nord-irlandaise à tous les biens et plus seulement aux produits agricoles. Mais pour le négociateur européen Michel Barnier, l'offre ne garantit pas l'absence de contrôles frontaliers en Irlande et ne protège donc pas le processus de paix. D'autres évoquent la contradiction entre la volonté de garder pour l'Irlande du Nord un espace de règles communes avec l'UE et le souhait de ne pas y appliquer l'Union douanière européenne. Les Européens et en particulier le Premier ministre irlandais critiquent aussi l'absence de garanties de durée pour ce filet de sécurité de dernière minute. Il reste que Jean-Claude Juncker ne donne pas de feu vert à cette offre finale proposée par le Royaume-Uni, il se contente de dire que les équipes de négociation européenne et britannique vont se rencontrer, et non qu'elles vont négocier.

LB : Si négociation il devait y avoir, elle devrait être bouclée en un temps record pour permettre aux Européens de statuer lors du sommet des 17-18 octobre.

JCR : Toujours concernant l'actualité européenne, la Française Sylvie Goulard en a appelé aujourd'hui à « la présomption d'innocence » face aux eurodéputés.

LB : Ils auditionnaient la candidate à la Commission européenne, visée on le rappelle par des enquêtes pour des soupçons d'emploi fictif. Plusieurs élus ont laissé entendre, à l'issue de l'audition, qu'ils réclameraient de nouvelles clarifications par écrit, comme le prévoit la procédure, avant éventuellement une nouvelle audition.

JCR : L'Union européenne qui menace par ailleurs de riposter en cas de nouveaux droits de douane américains.

LB : Réaction à l'annonce de l'OMC, l'Organisation mondiale du commerce qui autorise Washington à imposer des sanctions sur près de 7,5 milliards de dollars (6,8 milliards d'euros) de biens et services européens par an en représailles aux aides accordées à Airbus. Il s'agit de la sanction la plus lourde jamais imposée par l'OMC. Les explications de Patricia Lecompte.

Le conflit qui oppose les deux géants de l'aéronautique est un serpent de mer. Depuis 15 ans les États-Unis reprochent à l'Union européenne de subventionner illégalement son champion européen Airbus, faussant la concurrence avec son rival américain Boeing. Déjà en 2004 les États-Unis remettent en cause l'accord régissant les subventions dans le secteur hautement stratégique de l'aérien. Un an plus tard, l'Union européenne riposte et dénonce les aides américaines accordées à Boeing. Dès lors les deux protagonistes se livrent une guerre sans merci jusqu'à ce mercredi où l'organisation mondiale du commerce vient de rendre une première décision. L'OMC autorise Washington à imposer des taxes douanières sur des produits européens à hauteur de 7 milliards et demi de dollars par an. Une décision que Bruno Le Maire qualifie d'erreur économique et politique. Le ministre des Finances souhaite une résolution à l'amiable... et rappelle que la Chine développe à grands pas son industrie aéronautique, dans ce contexte, des sanctions tarifaires entre l'Union européenne et les États-Unis ne pourraient que nuire aux deux économies. Bruno Le Maire prévient Washington, si les États-Unis appliquent les sanctions, l'Union européenne ripostera dès l'année prochaine et réclamera 12 milliards de dollars à titre de sanction.

LB : Ce soir, Donald Trump qualifie de « grande victoire pour les États-Unis » ce feu vert donné à Washington par l'OMC. Il n'a rien dit de ses intentions : imposer ou non les sanctions autorisées, en totalité ou en partie, sous la forme de tarifs punitifs.

JCR : Avant cela, il s'était exprimé sur l'affaire ukrainienne à l'origine d'une procédure de destitution qu'il qualifie désormais de « coup d'État ».

LB : Sans revenir sur le fond du dossier -à savoir la demande faite, par téléphone, à son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky d'enquêter sur Joe Biden, qui pourrait être son adversaire en 2020. « Les démocrates-qui-ne-font-rien devraient se concentrer sur notre pays, plutôt que de faire perdre à tout le monde du temps et de l'énergie sur des CONNERIES » a-t-il dit sur tweeter.

JCR : À la une également ce mercredi, la mort de Jamal Khashoggi. C'était il y a tout juste un an, le journaliste saoudien, qui collaborait notamment avec le quotidien américain The Washington Post, était assassiné à Istanbul.

LB : Assassiné dans le consulat de son pays. Depuis le début de l'affaire, les autorités turques dénoncent un crime prémédité, mais le pouvoir de Riyad nie avoir donné l'ordre d'assassiner le journaliste. Ce mercredi, des proches de Jamal Khashoggi et des représentants d'ONG de défense des droits de l'homme se sont rassemblés devant le consulat pour réclamer justice. À Istanbul, Anne Andlauer.

« Un moment de non-silence pour Jamal Khashoggi » – lui que ses meurtriers ont fait taire. C'est l'intitulé de cette cérémonie organisée à moins de vingt mètres du consulat d'Arabie saoudite à Istanbul. Sur la petite scène blanche, les orateurs se succèdent pour rendre hommage au journaliste. Parmi eux, Agnès Callamard, rapporteure spéciale des Nations Unies sur les exécutions extrajudiciaires. Elle a enquêté pendant des mois sur l'affaire et a mis en cause la responsabilité individuelle de hauts responsables saoudiens, y compris du prince héritier Mohammed ben Salmane : « Personne ne devrait s'en sortir ainsi après un tel meurtre, peu importe qui ils sont... aussi haut placés soient-ils… Peu importe qu'ils aient porté le coup fatal ou qu'ils aient ordonné ce coup... Nous ne renoncerons pas tant que justice n'aura pas été rendue. » Jeff Bezos, le milliardaire américain propriétaire du Washington Post, dans lequel écrivait Jamal Khashoggi, assiste à la cérémonie. À ses côtés, Hatice Cengiz, la fiancée du journaliste : « Jamal réclamait la liberté d'expression et plus de transparence dans son pays… Ce qu'il n'a pas réussi de son vivant, il y parvient dans sa mort. Les yeux du monde entier sont braqués sur le royaume. » À la fin de la cérémonie, les participants inaugurent une pierre à la mémoire du journaliste. On y lit son nom, sa date de naissance et de mort… comme sur une pierre tombale. Les restes de Jamal Khashoggi n'ont toujours pas été retrouvés. Anne Andlauer, Istanbul, RFI.

JCR : En France, une semaine après l'incendie dans l'usine Lubrizol à Rouen, le Gouvernement tente de répondre aux critiques sur sa communication.

LB : Pour ce faire il multiplie les prises de parole pour tenter de rassurer les habitants de la ville normande et tous ceux qui auraient pu être touchés par la catastrophe de l'usine. Un numéro vert a été mis en place. Les parlementaires eux aussi se saisissent de la question : l'Assemblée nationale va ouvrir une mission d'information. Anthony Lattier.

[Transcription manquante]

JCR : L'actualité des sports avec la 2e journée de la phase de poules de la Ligue des Champions, c'est du football. À suivre notamment ce soir : Lyon- Leipzig et Lille - Chelsea.

LB : La suite des championnats du monde d'athlétisme à Doha au Qatar avec à l'instant, la victoire de la Britannique Dina Asher-Smith dans l'épreuve du 200 m féminin. Victoire également pour Pawel Fajdek au lancer de marteau, c'est le 4e titre mondial consécutif pour le Polonais.

LB : Le rugby avec la Coupe du Monde au Japon et la large victoire de la France sur les Américains 33-9. L'autre rencontre du jour oppose les Néo-zélandais, champions en titre, au Canada, le score 63-0, donne une idée du rapport de forces.


Journal en français facile 02 octobre 2019 Journal in easy French October 02, 2019 Jornal em francês fácil 02 de Outubro de 2019

Loïc Bussières : 22h à Paris, 20h en temps universel. Bonsoir et bienvenue si vous nous rejoignez pour votre Journal en français facile que je vous présente en compagnie de Julien Coquelle-Roëhm. Bonsoir Julien.

Julien Coquelle-Roëhm : Bonsoir.

LB : Le compromis de la dernière chance, c'est ce que propose Boris Johnson à Bruxelles à moins d'un mois du Brexit. Le Premier ministre britannique estime avoir fait des propositions raisonnables et constructives.

JCR : L'OMC, l'organisation mondiale du commerce, qui autorise Donald Trump à sanctionner l'Europe et ceci en représailles des subventions accordées à Airbus par plusieurs pays européens, dont la France.

LB : Dans ce journal, nous reviendrons aussi sur la mort de Jamal Khashoggi, le journaliste saoudien assassiné à Istanbul. Un an après, des ONG de défense des droits de l'Homme réclament toute la lumière sur cette affaire.

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JCR : Tout d'abord l'actualité de Bruxelles et du Brexit. Boris Johnson présentait aujourd'hui devant le Parti Conservateur son « offre finale » selon ses propres termes.

LB : Le Premier Ministre britannique qui a surtout présenté les grandes lignes de ses propositions pour le Brexit dans une lettre envoyée à l'UE accompagnée d'une note explicative. Des propositions qui avaient suscité à l'avance le doute de l'UE. Jean-Claude Juncker a évoqué le sujet au téléphone avec Boris Johnson, et si ses impressions sont finalement moins négatives que le reste des réactions initiales, le président de la Commission européenne reste prudent. RFI Bruxelles, Pierre Benazet.

Le compte-rendu que Jean-Claude Juncker a tenu à publier de son coup de téléphone avec Boris Johnson est loin d'être une fin de non-recevoir même s'il y a des points problématiques. Le président de la Commission européenne salue par exemple la détermination du Premier ministre britannique à trouver un accord ainsi que des avancées positives comme l'extension de la zone commerciale nord-irlandaise à tous les biens et plus seulement aux produits agricoles. Mais pour le négociateur européen Michel Barnier, l'offre ne garantit pas l'absence de contrôles frontaliers en Irlande et ne protège donc pas le processus de paix. D'autres évoquent la contradiction entre la volonté de garder pour l'Irlande du Nord un espace de règles communes avec l'UE et le souhait de ne pas y appliquer l'Union douanière européenne. Les Européens et en particulier le Premier ministre irlandais critiquent aussi l'absence de garanties de durée pour ce filet de sécurité de dernière minute. Il reste que Jean-Claude Juncker ne donne pas de feu vert à cette offre finale proposée par le Royaume-Uni, il se contente de dire que les équipes de négociation européenne et britannique vont se rencontrer, et non qu'elles vont négocier.

LB : Si négociation il devait y avoir, elle devrait être bouclée en un temps record pour permettre aux Européens de statuer lors du sommet des 17-18 octobre.

JCR : Toujours concernant l'actualité européenne, la Française Sylvie Goulard en a appelé aujourd'hui à « la présomption d'innocence » face aux eurodéputés.

LB : Ils auditionnaient la candidate à la Commission européenne, visée on le rappelle par des enquêtes pour des soupçons d'emploi fictif. Plusieurs élus ont laissé entendre, à l'issue de l'audition, qu'ils réclameraient de nouvelles clarifications par écrit, comme le prévoit la procédure, avant éventuellement une nouvelle audition.

JCR : L'Union européenne qui menace par ailleurs de riposter en cas de nouveaux droits de douane américains.

LB : Réaction à l'annonce de l'OMC, l'Organisation mondiale du commerce qui autorise Washington à imposer des sanctions sur près de 7,5 milliards de dollars (6,8 milliards d'euros) de biens et services européens par an en représailles aux aides accordées à Airbus. Il s'agit de la sanction la plus lourde jamais imposée par l'OMC. Les explications de Patricia Lecompte.

Le conflit qui oppose les deux géants de l'aéronautique est un serpent de mer. Depuis 15 ans les États-Unis reprochent à l'Union européenne de subventionner illégalement son champion européen Airbus, faussant la concurrence avec son rival américain Boeing. Déjà en 2004 les États-Unis remettent en cause l'accord régissant les subventions dans le secteur hautement stratégique de l'aérien. Un an plus tard, l'Union européenne riposte et dénonce les aides américaines accordées à Boeing. Dès lors les deux protagonistes se livrent une guerre sans merci jusqu'à ce mercredi où l'organisation mondiale du commerce vient de rendre une première décision. L'OMC autorise Washington à imposer des taxes douanières sur des produits européens à hauteur de 7 milliards et demi de dollars par an. Une décision que Bruno Le Maire qualifie d'erreur économique et politique. Le ministre des Finances souhaite une résolution à l'amiable... et rappelle que la Chine développe à grands pas son industrie aéronautique, dans ce contexte, des sanctions tarifaires entre l'Union européenne et les États-Unis ne pourraient que nuire aux deux économies. Bruno Le Maire prévient Washington, si les États-Unis appliquent les sanctions, l'Union européenne ripostera dès l'année prochaine et réclamera 12 milliards de dollars à titre de sanction.

LB : Ce soir, Donald Trump qualifie de « grande victoire pour les États-Unis » ce feu vert donné à Washington par l'OMC. Il n'a rien dit de ses intentions : imposer ou non les sanctions autorisées, en totalité ou en partie, sous la forme de tarifs punitifs.

JCR : Avant cela, il s'était exprimé sur l'affaire ukrainienne à l'origine d'une procédure de destitution qu'il qualifie désormais de « coup d'État ».

LB : Sans revenir sur le fond du dossier -à savoir la demande faite, par téléphone, à son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky d'enquêter sur Joe Biden, qui pourrait être son adversaire en 2020. « Les démocrates-qui-ne-font-rien devraient se concentrer sur notre pays, plutôt que de faire perdre à tout le monde du temps et de l'énergie sur des CONNERIES » a-t-il dit sur tweeter.

JCR : À la une également ce mercredi, la mort de Jamal Khashoggi. C'était il y a tout juste un an, le journaliste saoudien, qui collaborait notamment avec le quotidien américain The Washington Post, était assassiné à Istanbul.

LB : Assassiné dans le consulat de son pays. Depuis le début de l'affaire, les autorités turques dénoncent un crime prémédité, mais le pouvoir de Riyad nie avoir donné l'ordre d'assassiner le journaliste. Ce mercredi, des proches de Jamal Khashoggi et des représentants d'ONG de défense des droits de l'homme se sont rassemblés devant le consulat pour réclamer justice. À Istanbul, Anne Andlauer.

« Un moment de non-silence pour Jamal Khashoggi » – lui que ses meurtriers ont fait taire. C'est l'intitulé de cette cérémonie organisée à moins de vingt mètres du consulat d'Arabie saoudite à Istanbul. Sur la petite scène blanche, les orateurs se succèdent pour rendre hommage au journaliste. Parmi eux, Agnès Callamard, rapporteure spéciale des Nations Unies sur les exécutions extrajudiciaires. Elle a enquêté pendant des mois sur l'affaire et a mis en cause la responsabilité individuelle de hauts responsables saoudiens, y compris du prince héritier Mohammed ben Salmane : « Personne ne devrait s'en sortir ainsi après un tel meurtre, peu importe qui ils sont... aussi haut placés soient-ils… Peu importe qu'ils aient porté le coup fatal ou qu'ils aient ordonné ce coup... Nous ne renoncerons pas tant que justice n'aura pas été rendue. » Jeff Bezos, le milliardaire américain propriétaire du Washington Post, dans lequel écrivait Jamal Khashoggi, assiste à la cérémonie. À ses côtés, Hatice Cengiz, la fiancée du journaliste : « Jamal réclamait la liberté d'expression et plus de transparence dans son pays… Ce qu'il n'a pas réussi de son vivant, il y parvient dans sa mort. Les yeux du monde entier sont braqués sur le royaume. » À la fin de la cérémonie, les participants inaugurent une pierre à la mémoire du journaliste. On y lit son nom, sa date de naissance et de mort… comme sur une pierre tombale. Les restes de Jamal Khashoggi n'ont toujours pas été retrouvés. Anne Andlauer, Istanbul, RFI.

JCR : En France, une semaine après l'incendie dans l'usine Lubrizol à Rouen, le Gouvernement tente de répondre aux critiques sur sa communication.

LB : Pour ce faire il multiplie les prises de parole pour tenter de rassurer les habitants de la ville normande et tous ceux qui auraient pu être touchés par la catastrophe de l'usine. Un numéro vert a été mis en place. Les parlementaires eux aussi se saisissent de la question : l'Assemblée nationale va ouvrir une mission d'information. Anthony Lattier.

[Transcription manquante]

JCR : L'actualité des sports avec la 2e journée de la phase de poules de la Ligue des Champions, c'est du football. À suivre notamment ce soir : Lyon- Leipzig et Lille - Chelsea.

LB : La suite des championnats du monde d'athlétisme à Doha au Qatar avec à l'instant, la victoire de la Britannique Dina Asher-Smith dans l'épreuve du 200 m féminin. Victoire également pour Pawel Fajdek au lancer de marteau, c'est le 4e titre mondial consécutif pour le Polonais.

LB : Le rugby avec la Coupe du Monde au Japon et la large victoire de la France sur les Américains 33-9. L'autre rencontre du jour oppose les Néo-zélandais, champions en titre, au Canada, le score 63-0, donne une idée du rapport de forces.