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français avec Pierre, Améliore Ton Français! 5 Erreurs de Grammaire à Éviter

Améliore Ton Français! 5 Erreurs de Grammaire à Éviter

Bonjour les super étudiants, comment ça va ?

Alors, aujourd'hui nous allons voir cinq erreurs de grammaire en français. Il s'agit de cinq erreurs, évidemment, très courantes. Donc si vous corrigez ces cinq erreurs, vous allez, évidemment, progresser. N'oubliez pas de vous abonner à la chaîne, d'activer la petite cloche, comme ça, vous serez au courant à chaque fois qu'on sort une vidéo, s'il y a une offre, s'il y a des nouveautés, etc.

Allez, vous êtes prêts ? On commence.

Alors, première erreur que nous allons voir,

il s'agit de se confondre entre le passé composé et l'imparfait. J'ai fait une vidéo déjà, qui concerne le passé composé et l'imparfait, mais aujourd'hui je voudrais le traiter d'une manière assez courte, très pragmatique et focalisée sur l'erreur que vous faites.

Rappel rapide : le passé composé, on l'utilise en français pour une action qui est généralement bornée dans le temps, on a la sensation qu'elle est terminée.

Il s'agit généralement d'une action assez courte et ponctuelle. Et il s'agit généralement, quand il y a plusieurs verbes dans la même phrase, de l'action principale de ma phrase.

Alors, l'imparfait maintenant va servir davantage à décrire la situation, le décor dans le passé.

L'action n'est pas bornée dans le temps, on ne sait pas si elle est finie, et de toute manière en général, ça nous est égal.

Et donc, il s'agit plutôt de quelque chose de général. Mais comme toujours, le mieux c'est de voir un ou plusieurs exemples. Alors, une phrase typique avec deux verbes, ça pourrait être par exemple : Il pleuvait, alors nous nous sommes abrités.

Alors, qu'est-ce qu'on voit dans cette phrase ? On voit que « il pleuvait », ça va décrire la situation. On s'en fiche de savoir si c'est fini ou pas, on décrit quelque chose. Et « nous nous sommes abrités », c'est vraiment l'action principale, d'accord ? Et on voit très bien là, la différence.

Une petite remarque avant de passer à l'erreur numéro 2. On peut avoir la même phrase, mais avec un temps verbal différent. Par exemple, je peux très bien dire : Hier, il a plu.

Je peux dire aussi : Hier, il pleuvait.

Alors, quelle est la différence ? En fait, on a une sensation un petit peu différente. Grosso modo ça signifie la même chose, mais quand je dis « il pleuvait », on a l'impression que ça s'étale plus dans le temps, tout le long de la journée, d'accord ? Alors que « il a plu »,

on a la sensation que c'est quelque chose de plus ponctuel et que c'est terminé. Mais finalement dans une phrase comme ça, sans un autre verbe, finalement la phrase a plus ou moins le même sens.

Alors, ensuite deuxième erreur, j'en ai déjà parlé aussi spécifiquement dans une vidéo, mais aujourd'hui on va le voir de manière un peu plus courte et pragmatique, c'est le problème entre « c'est » et « il est ».

Je vous le répète : « c'est », peut être suivi d'un adjectif, c'est possible, et aussi d'un déterminant, par exemple d'un article. Je peux très bien dire : C'est un professeur, c'est une belle maison. Mais je peux dire aussi : C'est agréable ici.

D'accord ? Donc par exemple dans cette ambiance, dans ce décor, on se sent bien : C'est agréable ici. Mais retenez surtout qu'après « il est », on ne va pas mettre de déterminant. On dira par exemple : Il est sympa, il est grand. Donc un adjectif. Mais on peut aussi mettre le nom d'une profession. Par exemple : Il est professeur.

On peut aussi dire : Il est Français.

Alors, oui, il peut y avoir, je sais, quelques cas exceptionnels, dans lesquels on va voir un déterminant après « il est », mais peu importe. Retenez qu'après « il est », le mieux c'est de ne pas mettre de déterminant, comme ça, vous n'allez pas vous tromper.

Vous dites : Il est idiot. Et vous dites : C'est un idiot. D'accord ? Allez, troisième erreur maintenant,

c'est vraiment une erreur très très courante de grammaire en français. Après les expressions comme : « j'espère que »,

« lorsque »,

« quand »

Lorsque et quand, c'est plus ou moins similaire, d'accord ? « Dès que »,

on va mettre l'indicatif.

Surtout quand vous allez parler de quelque chose dans le futur, vous allez donc utiliser le futur de l'indicatif.

On va dire par exemple : J'espère que tu viendras à la fête. Dès que tu rentreras, appelle-moi.

Quand tu iras mieux, on partira en vacances.

Et en fait, le problème c'est que vous avez tendance, après ces expressions, à mettre le subjonctif.

Eh bien, non. Dans ces cas-là, on ne met pas le subjonctif. On met l'indicatif, et en général le futur de l'indicatif. Allez, quatrième erreur. Donc ça, c'est un classique de chez classique. Donc aujourd'hui, on est vraiment dans les erreurs de grammaire en français, vraiment classiques.

Après « si », mettre un conditionnel.

En français, après « si », on ne met pas le conditionnel. Alors, il y a un moyen mnémotechnique pour s'en souvenir, c'est de dire qu'après le « si », il n'y a pas de « -rais », puisque le conditionnel termine en -rais.

Donc ça fait : Do, Ré, Mi, Fa, Sol, La, Si, Do. Le Ré ne va pas avec le Si. D'accord ? Vous retenez ? Donc qu'est-ce qu'on va trouver après « si » ? Eh bien, si on est dans le cas de l'hypothèse,

on va utiliser soit l'imparfait, soit le plus-que-parfait. Exemple : Si j'avais du temps, j'irais aux États-Unis.

Si j'avais étudié ce dossier plus tôt, je n'aurais pas fait ces erreurs pendant la réunion. Alors, après le « si », on peut mettre aussi le présent de l'indicatif, et là, on est dans le cas de la condition. Je pourrais dire par exemple :

Si tu réussis cet examen, nous partirons aux États-Unis en vacances. Alors, je pourrais dire par exemple : S'il pleut, nous nous abriterons. Donc voilà : après le « si », on peut mettre le présent, l'imparfait, le plus-que-parfait. Mais ne mettez pas de conditionnel.

Et finalement, cinquième erreur, et ce sera la dernière pour aujourd'hui, c'est une erreur que j'entends énormément, surtout à l'oral. Bah, évidemment, quand on parle, on a moins de temps pour réfléchir. Et très souvent, les élèves en fait le savent, ils me disent : « Ah, mais je le sais Pierre, je le sais, mais je ne peux pas m'en empêcher ! » Il s'agit des contractions.

Donc n'oubliez pas que « DE », la préposition « DE » plus l'article « LE » ou l'article « LES », ça, ça va faire des contractions. Donc il s'agit de « DU » pour « DE LE » ; et « DES » pour « DE » plus « LES ». D'accord ?

Il y a aussi la contraction avec la préposition « À ». Donc « À » plus « LE », ça fait « AU ».

Et « À » plus « LES », ça fait « AUX », avec un X.

Donc voyons des exemples, donc je peux dire par exemple : Je parle du livre de Victor Hugo. Ou par exemple : Je parle aux élèves.

Bien, s'il y a d'autres erreurs qui vous semblent très importantes, si vous voulez que je les traite dans une vidéo par exemple, bah, n'hésitez pas à me le dire dans les commentaires, n'oubliez pas de mettre un petit pouce vers le haut, c'est très bien pour nous. Si vous avez aimé la vidéo, n'hésitez pas.

N'oubliez pas de vous abonner à la chaîne si ce n'est pas encore fait, et d'activer la petite cloche.

Voilà, je vous embrasse très fort

et on se retrouve dans une prochaine vidéo, si vous le voulez bien. Au revoir !

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Bonjour les super étudiants, comment ça va ?

Alors, aujourd'hui nous allons voir cinq erreurs de grammaire en français. Il s'agit de cinq erreurs, évidemment, très courantes. Donc si vous corrigez ces cinq erreurs, vous allez, évidemment, progresser. N'oubliez pas de vous abonner à la chaîne, d'activer la petite cloche, comme ça, vous serez au courant à chaque fois qu'on sort une vidéo, s'il y a une offre, s'il y a des nouveautés, etc.

Allez, vous êtes prêts ? On commence.

Alors, première erreur que nous allons voir,

il s'agit de se confondre entre le passé composé et l'imparfait. J'ai fait une vidéo déjà, qui concerne le passé composé et l'imparfait, mais aujourd'hui je voudrais le traiter d'une manière assez courte, très pragmatique et focalisée sur l'erreur que vous faites. |focused|||||

Rappel rapide : le passé composé, on l'utilise en français pour une action qui est généralement bornée dans le temps, ||||||bounded||| on a la sensation qu'elle est terminée.

Il s'agit généralement d'une action assez courte et ponctuelle. Et il s'agit généralement, quand il y a plusieurs verbes dans la même phrase, de l'action principale de ma phrase.

Alors, l'imparfait maintenant va servir davantage à décrire la situation, le décor dans le passé.

L'action n'est pas bornée dans le temps, on ne sait pas si elle est finie, et de toute manière en général, ça nous est égal.

Et donc, il s'agit plutôt de quelque chose de général. Mais comme toujours, le mieux c'est de voir un ou plusieurs exemples. Alors, une phrase typique avec deux verbes, ça pourrait être par exemple : Il pleuvait, alors nous nous sommes abrités. ||||||sheltered

Alors, qu'est-ce qu'on voit dans cette phrase ? On voit que « il pleuvait », ça va décrire la situation. On s'en fiche de savoir si c'est fini ou pas, on décrit quelque chose. We|care|don't care||||||||||| Et « nous nous sommes abrités », c'est vraiment l'action principale, d'accord ? Et on voit très bien là, la différence.

Une petite remarque avant de passer à l'erreur numéro 2. On peut avoir la même phrase, mais avec un temps verbal différent. Par exemple, je peux très bien dire : Hier, il a plu.

Je peux dire aussi : Hier, il pleuvait.

Alors, quelle est la différence ? En fait, on a une sensation un petit peu différente. Grosso modo ça signifie la même chose, mais quand je dis « il pleuvait », on a l'impression que ça s'étale plus dans le temps, tout le long de la journée, d'accord ? |||||spreads||||||||||| Alors que « il a plu »,

on a la sensation que c'est quelque chose de plus ponctuel et que c'est terminé. Mais finalement dans une phrase comme ça, sans un autre verbe, finalement la phrase a plus ou moins le même sens.

Alors, ensuite deuxième erreur, j'en ai déjà parlé aussi spécifiquement dans une vidéo, mais aujourd'hui on va le voir de manière un peu plus courte et pragmatique, c'est le problème entre « c'est » et « il est ».

Je vous le répète : « c'est », peut être suivi d'un adjectif, c'est possible, et aussi d'un déterminant, par exemple d'un article. Je peux très bien dire : C'est un professeur, c'est une belle maison. Mais je peux dire aussi : C'est agréable ici.

D'accord ? Donc par exemple dans cette ambiance, dans ce décor, on se sent bien : C'est agréable ici. Mais retenez surtout qu'après « il est », on ne va pas mettre de déterminant. On dira par exemple : Il est sympa, il est grand. Donc un adjectif. Mais on peut aussi mettre le nom d'une profession. Par exemple : Il est professeur.

On peut aussi dire : Il est Français.

Alors, oui, il peut y avoir, je sais, quelques cas exceptionnels, dans lesquels on va voir un déterminant après « il est », mais peu importe. Retenez qu'après « il est », le mieux c'est de ne pas mettre de déterminant, comme ça, vous n'allez pas vous tromper.

Vous dites : Il est idiot. Et vous dites : C'est un idiot. D'accord ? Allez, troisième erreur maintenant,

c'est vraiment une erreur très très courante de grammaire en français. Après les expressions comme : « j'espère que »,

« lorsque »,

« quand »

Lorsque et quand, c'est plus ou moins similaire, d'accord ? « Dès que »,

on va mettre l'indicatif.

Surtout quand vous allez parler de quelque chose dans le futur, vous allez donc utiliser le futur de l'indicatif.

On va dire par exemple : J'espère que tu viendras à la fête. Dès que tu rentreras, appelle-moi.

Quand tu iras mieux, on partira en vacances.

Et en fait, le problème c'est que vous avez tendance, après ces expressions, à mettre le subjonctif.

Eh bien, non. Dans ces cas-là, on ne met pas le subjonctif. On met l'indicatif, et en général le futur de l'indicatif. Allez, quatrième erreur. Donc ça, c'est un classique de chez classique. Donc aujourd'hui, on est vraiment dans les erreurs de grammaire en français, vraiment classiques.

Après « si », mettre un conditionnel.

En français, après « si », on ne met pas le conditionnel. Alors, il y a un moyen mnémotechnique pour s'en souvenir, c'est de dire qu'après le « si », il n'y a pas de « -rais », puisque le conditionnel termine en -rais.

Donc ça fait : Do, Ré, Mi, Fa, Sol, La, Si, Do. Le Ré ne va pas avec le Si. D'accord ? Vous retenez ? Donc qu'est-ce qu'on va trouver après « si » ? Eh bien, si on est dans le cas de l'hypothèse,

on va utiliser soit l'imparfait, soit le plus-que-parfait. we are going to use either the imperfect or the more-than-perfect. Exemple : Si j'avais du temps, j'irais aux États-Unis.

Si j'avais étudié ce dossier plus tôt, je n'aurais pas fait ces erreurs pendant la réunion. Alors, après le « si », on peut mettre aussi le présent de l'indicatif, et là, on est dans le cas de la condition. Je pourrais dire par exemple :

Si tu réussis cet examen, nous partirons aux États-Unis en vacances. Alors, je pourrais dire par exemple : S'il pleut, nous nous abriterons. Donc voilà : après le « si », on peut mettre le présent, l'imparfait, le plus-que-parfait. Mais ne mettez pas de conditionnel.

Et finalement, cinquième erreur, et ce sera la dernière pour aujourd'hui, c'est une erreur que j'entends énormément, surtout à l'oral. Bah, évidemment, quand on parle, on a moins de temps pour réfléchir. Et très souvent, les élèves en fait le savent, ils me disent : « Ah, mais je le sais Pierre, je le sais, mais je ne peux pas m'en empêcher ! » Il s'agit des contractions. |||contractions

Donc n'oubliez pas que « DE », la préposition « DE » plus l'article « LE » ou l'article « LES », So||||||||||||| ça, ça va faire des contractions. Donc il s'agit de « DU » pour « DE LE » ; et « DES » pour « DE » plus « LES ». D'accord ?

Il y a aussi la contraction avec la préposition « À ». Donc « À » plus « LE », ça fait « AU ».

Et « À » plus « LES », ça fait « AUX », avec un X.

Donc voyons des exemples, donc je peux dire par exemple : Je parle du livre de Victor Hugo. Ou par exemple : Je parle aux élèves.

Bien, s'il y a d'autres erreurs qui vous semblent très importantes, si vous voulez que je les traite dans une vidéo par exemple, bah, n'hésitez pas à me le dire dans les commentaires, n'oubliez pas de mettre un petit pouce vers le haut, c'est très bien pour nous. Si vous avez aimé la vidéo, n'hésitez pas.

N'oubliez pas de vous abonner à la chaîne si ce n'est pas encore fait, et d'activer la petite cloche.

Voilà, je vous embrasse très fort

et on se retrouve dans une prochaine vidéo, si vous le voulez bien. Au revoir !