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Journal en français facile RFI, Journal en français facile 01/10/2021 20h00 GMT

Journal en français facile 01/10/2021 20h00 GMT

Merci d'écouter Radio France Internationale en direct de Paris où il est 22 heures.

François Bernard : Bonsoir, il est l'heure de votre Journal en français facile et c'est Sébastien Duhamel qui le présente avec moi ce soir, bonsoir Sébastien.

Sébastien Duhamel : Bonsoir à tous.

FB : Dans l'actualité de ce vendredi 1er octobre, l'ex-président géorgien Mikhaïl Saakachvili a été arrêté à son retour d'exil.

SD : L'Autriche n'accueillera pas davantage de réfugiés afghans, malgré le retour des talibans au pouvoir.

FB : Le Venezuela réforme à nouveau sa monnaie pour rendre plus facile les transactions quotidiennes.

SD : Une coupe du monde masculine tous les deux ans au lieu de tous les quatre ans : le président de la Fédération française de football n'est pas contre.

-----

FB : En Géorgie, l'ex-Président Mikhail Saakachvili a été arrêté en début de soirée. Il était rentré clandestinement dans son pays la nuit précédente, après 8 ans d'exil.

SD : Le parti au pouvoir a lancé ces dernières années plusieurs mandats d'arrêt contre lui. M. Saakachvili est revenu en Géorgie pour mobiliser l'électorat, à la veille d'élections municipales.

FB : Des élections perçues par les opposants comme une dernière chance de sauver la démocratie dans cette ancienne république soviétique. Les explications de Régis Gente.

C'est un Mikhaïl Saakachvili souriant, entre deux policiers, que l'on a pu voir ce soir, en guise de première preuve de son arrestation. Celle-ci n'a pas été voulue de la part du 3e Président de la Géorgie, même s'il a expliqué son retour, qu'il savait risquer, pour inciter ses compatriotes à voter lors du scrutin local de ce samedi pour renverser par les urnes le parti de l'oligarque Bidzina Ivanichvhili, son ennemi juré. Dans un message sur Facebook posté quelques minutes avant d'être appréhendé, Mikhaïl Saakachvili, 53 ans, disait, je cite : « Je suis revenu pour vous aider. Nous n'avons pas d'autre choix. Je n'ai peur de rien et vous n'ayez pas peur ». Un message qui se veut dramatique alors que le paysage politique est extrêmement polarisé depuis plus de 2 ans en Géorgie, et que la quasi-totalité des formations d'opposition dénoncent la dérive non-démocratique du parti au pouvoir. Tôt ce vendredi matin, M. Saakachvili avait publié deux vidéos filmées de nuit, au téléphone, où il disait être à Batoumi, sur les bords de la mer Noire. Les responsables du pays ont d'abord nié sa présence sur le territoire national jusqu'à ce qu'en début de soirée le Premier Ministre Irakli Garibachvili ne confirme la détention de l'ancien Président. Régis Genté, Tbilissi, RFI.

FB : En Autriche, le chancelier conservateur Sébastian Kurz l'a répété ces dernières semaines : son pays n'accueillera pas davantage de réfugiés afghans, malgré le retour des talibans au pouvoir.

SD : Un discours dur qui inquiète les demandeurs d'asile afghans présents en Autriche.

FB : Reportage sur place d'Isaure Hiace.

Sébastian Kurz le répète : l'Autriche n'accueillera pas, sous son mandat, davantage de réfugiés afghans car 40 000 ont déjà été accueillis, un effort qu'il juge « disproportionné ». Ce discours ferme inquiète les demandeurs d'asile afghans qui attendent en Autriche une réponse. C'est le cas de ce jeune homme de 21 ans, arrivé en 2015, qui préfère rester anonyme. « J'ai vraiment peur d'être expulsé vers un pays voisin comme l'Iran ou le Pakistan. Il est clair qu'ils ne veulent pas d'Afghans et qu'ils nous expulseront vers l'Afghanistan. Je préférerais mettre fin à mes jours que d'y retourner. Moi je suis athée et si en tant que musulman, tu abandonnes ta religion, alors c'est la peine de mort là-bas. » Pour justifier sa position, Sébastian Kurz insiste sur l'intégration « difficile » selon lui des afghans en Autriche. Un argument très critiquable selon Erich Fenninger, de l'ONG Volkshilfe. « En même temps qu'on demande à ces personnes de s'intégrer, on leur dit : « nous ne voulons pas de toi », c'est donc difficile pour elles d'arriver à réellement s'intégrer. D'autant que de nombreuses barrières ont été dressées, leur accès au marché du travail est, par exemple, très compliqué aujourd'hui. » Les Verts plaident eux pour un accueil humanitaire des réfugiés afghans mais sont minoritaires au sein du gouvernement. IH, Vienne, RFI.

FB : En Italie, les Romains votent ce dimanche et lundi pour élire leur nouveau maire. Il devra s'attaquer à deux problèmes dans la capitale italienne : des transports publics défaillants et une gestion désastreuse des ordures. Direction le Venezuela qui vient de dévaluer sa monnaie pour la troisième fois en 13 ans. Un million de bolivars ne vaut plus qu'un bolivar.

SD : Six zéro ont été retirés à la monnaie nationale. L'objectif est de faciliter les transactions financières. Achim Lippold.

Les Vénézuéliens sont habitués à voir leur monnaie nationale perdre des zéros. Dans un pays ou l'inflation devrait atteindre plus de 1600 pour cent cette année, l'accumulation de zéro rend les paiements quotidiens compliqués. Avant la réforme, il fallait débourser sept millions de bolivar pour acheter une baguette. Raison pour laquelle la plupart des transactions se font par carte bancaire ou en dollars. La « monnaie gringro », comme la surnomme la presse vénézuélienne, est devenue un moyen de paiement de plus en plus populaire, une pratique tolérée par le gouvernement chaviste pour lequel les Etats-Unis restent pourtant l'ennemie numéro 1. La question est maintenant de savoir quel impact la dévaluation aura sur la situation sociale et économique d'un pays où 3 habitants sur 4 vivent dans la pauvreté extrême. Les autorités se veulent optimistes et parlent d'un moyen de - je cite – « récupérer l'économie ». Mais selon les observateurs, il s'agit d'une mesure cosmétique qui n'apportera aucun changement concret. Et si certains Vénézuéliens se réjouissent que les paiements deviennent plus simples, d'autres craignent que la nouvelle réforme ne réduise encore plus leur pouvoir d'achat.

FB : La Cour suprême du Brésil a rétabli l'exigence de la passe sanitaire pour entrer dans certains lieux publics et touristiques à Rio de Janeiro, un sésame à nouveau en vigueur vendredi, après avoir été suspendu mercredi par un juge.

SD : La situation sanitaire s'étant améliorée sur l'île française de la Réunion, le couvre-feu sera levé et les discothèques rouvertes à compter de lundi. FB : L'île Maurice a rouvert complètement ses frontières aux voyageurs internationaux, espérant relancer son secteur du tourisme durement touché par des mois d'isolement.

SD : Pour le quatrième jour d'affilée, la Russie a enregistré un record de décès quotidiens avec 887 morts liées au virus lors des dernières 24 heures.

FB : En Syrie le nombre de cas de Covid a explosé ces dernières semaines dans le nord du pays. Dans certaines des zones les plus touchées par le conflit, les infrastructures sanitaires sont insuffisantes, et les doses de vaccin manquent. Et puis cette nouvelle du laboratoire américain Merck. Il va commercialiser une pilule qui, selon un essai clinique, réduit par deux les risques d'hospitalisation et de décès des patients atteints du Covid.

FB : Une coupe du monde masculine tous les deux ans au lieu de tous les quatre ans : le projet est dans tous les esprits depuis l'annonce d'Arsène Wenger le 3 septembre dernier.

SD : La Fédération internationale de football (FIFA) a organisé une consultation en ligne hier pour évoquer « l'avenir » du foot et ce dossier.

FB : L'Afrique notamment a affiché son soutien de principe au projet et l'Europe son opposition. Alors qu'en France, la question divise. Noel le Graet, le président de la Fédération Française de Football s'est prononcé aujourd'hui. Sarah-Lou Bakouche.

C'est la question qui divise la planète football. Et le président de la fédération française a donné sa réponse, Noël Le Graët n'est pas contre. Sous certaines conditions, l'une étant de savoir si le projet sera ou non source de revenus pour sa fédération. Une déclaration opposée à la position du sélectionneur tricolore Didier Deschamps qui a exprimé sa réserve. De son côté, le principal groupe de supporters des Bleus lui, ne veut pas en entendre parler. À l'échelle européenne, la proposition avait suscité une opposition farouche de la part de la confédération, l'UEFA. Même son de cloche du côté de la confédération sud-américaine. Mais la proposition est largement soutenue du côté de la zone Afrique. Selon Le Graet. De nombreux pays, à l'image du Maroc et l'Afrique du Sud, se sentent lésés, car il est très difficile d'organiser des rencontres face à des pays européens tant les dates sont bloquées. Et ce d'autant plus depuis la création de la Ligue des Nations, la question devrait rapidement être tranchée. Gianni Infantino, le patron de la FIFA a promis un vote en décembre pour régler ce dossier définitivement épineux.

FB : Voilà c'est la fin de ce Journal en en français facile. Merci à tous d'être fidèle à ce rendez-vous. Merci à vous Sébastien Duhamel.

SD : Et merci à Fabrice Viollet qui réalise ce journal.

FB : Bonsoir, à demain pour une nouvelle édition de votre Journal en français facile sur Radio France Internationale.

Journal en français facile 01/10/2021 20h00 GMT

Merci d'écouter Radio France Internationale en direct de Paris où il est 22 heures.

François Bernard : Bonsoir, il est l'heure de votre Journal en français facile et c'est Sébastien Duhamel qui le présente avec moi ce soir, bonsoir Sébastien.

Sébastien Duhamel : Bonsoir à tous.

FB : Dans l'actualité de ce vendredi 1er octobre, l'ex-président géorgien Mikhaïl Saakachvili a été arrêté à son retour d'exil.

SD : L'Autriche n'accueillera pas davantage de réfugiés afghans, malgré le retour des talibans au pouvoir.

FB : Le Venezuela réforme à nouveau sa monnaie pour rendre plus facile les transactions quotidiennes.

SD : Une coupe du monde masculine tous les deux ans au lieu de tous les quatre ans : le président de la Fédération française de football n'est pas contre.

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FB : En Géorgie, l'ex-Président Mikhail Saakachvili a été arrêté en début de soirée. Il était rentré clandestinement dans son pays la nuit précédente, après 8 ans d'exil.

SD : Le parti au pouvoir a lancé ces dernières années plusieurs mandats d'arrêt contre lui. M. Saakachvili est revenu en Géorgie pour mobiliser l'électorat, à la veille d'élections municipales.

FB : Des élections perçues par les opposants comme une dernière chance de sauver la démocratie dans cette ancienne république soviétique. Les explications de Régis Gente.

C'est un Mikhaïl Saakachvili souriant, entre deux policiers, que l'on a pu voir ce soir, en guise de première preuve de son arrestation. Celle-ci n'a pas été voulue de la part du 3e Président de la Géorgie, même s'il a expliqué son retour, qu'il savait risquer, pour inciter ses compatriotes à voter lors du scrutin local de ce samedi pour renverser par les urnes le parti de l'oligarque Bidzina Ivanichvhili, son ennemi juré. Dans un message sur Facebook posté quelques minutes avant d'être appréhendé, Mikhaïl Saakachvili, 53 ans, disait, je cite : « Je suis revenu pour vous aider. In a message on Facebook posted a few minutes before being apprehended, Mikhail Saakashvili, 53, said, I quote: “I came back to help you. Nous n'avons pas d'autre choix. Je n'ai peur de rien et vous n'ayez pas peur ». I am not afraid of anything and you are not afraid ”. Un message qui se veut dramatique alors que le paysage politique est extrêmement polarisé depuis plus de 2 ans en Géorgie, et que la quasi-totalité des formations d'opposition dénoncent la dérive non-démocratique du parti au pouvoir. Tôt ce vendredi matin, M. Saakachvili avait publié deux vidéos filmées de nuit, au téléphone, où il disait être à Batoumi, sur les bords de la mer Noire. Les responsables du pays ont d'abord nié sa présence sur le territoire national jusqu'à ce qu'en début de soirée le Premier Ministre Irakli Garibachvili ne confirme la détention de l'ancien Président. Régis Genté, Tbilissi, RFI.

FB : En Autriche, le chancelier conservateur Sébastian Kurz l'a répété ces dernières semaines : son pays n'accueillera pas davantage de réfugiés afghans, malgré le retour des talibans au pouvoir.

SD : Un discours dur qui inquiète les demandeurs d'asile afghans présents en Autriche.

FB : Reportage sur place d'Isaure Hiace.

Sébastian Kurz le répète : l'Autriche n'accueillera pas, sous son mandat, davantage de réfugiés afghans car 40 000 ont déjà été accueillis, un effort qu'il juge « disproportionné ». Ce discours ferme inquiète les demandeurs d'asile afghans qui attendent en Autriche une réponse. C'est le cas de ce jeune homme de 21 ans, arrivé en 2015, qui préfère rester anonyme. « J'ai vraiment peur d'être expulsé vers un pays voisin comme l'Iran ou le Pakistan. “I'm really afraid of being deported to a neighboring country like Iran or Pakistan. Il est clair qu'ils ne veulent pas d'Afghans et qu'ils nous expulseront vers l'Afghanistan. Je préférerais mettre fin à mes jours que d'y retourner. Moi je suis athée et si en tant que musulman, tu abandonnes ta religion, alors c'est la peine de mort là-bas. I am an atheist and if, as a Muslim, you abandon your religion, then it is the death penalty there. » Pour justifier sa position, Sébastian Kurz insiste sur l'intégration « difficile » selon lui des afghans en Autriche. Un argument très critiquable selon Erich Fenninger, de l'ONG Volkshilfe. « En même temps qu'on demande à ces personnes de s'intégrer, on leur dit : « nous ne voulons pas de toi », c'est donc difficile pour elles d'arriver à réellement s'intégrer. “At the same time that we ask these people to integrate, we tell them: 'we don't want you', so it's difficult for them to really integrate. D'autant que de nombreuses barrières ont été dressées, leur accès au marché du travail est, par exemple, très compliqué aujourd'hui. » Les Verts plaident eux pour un accueil humanitaire des réfugiés afghans mais sont minoritaires au sein du gouvernement. IH, Vienne, RFI.

FB : En Italie, les Romains votent ce dimanche et lundi pour élire leur nouveau maire. Il devra s'attaquer à deux problèmes dans la capitale italienne :  des transports publics défaillants et une gestion désastreuse des ordures. Direction le Venezuela qui vient de dévaluer sa monnaie pour la troisième fois en 13 ans. Un million de bolivars ne vaut plus qu'un bolivar.

SD : Six zéro ont été retirés à la monnaie nationale. L'objectif est de faciliter les transactions financières. Achim Lippold.

Les Vénézuéliens sont habitués à voir leur monnaie nationale perdre des zéros. Dans un pays ou l'inflation devrait atteindre plus de 1600 pour cent cette année, l'accumulation de zéro rend les paiements quotidiens compliqués. Avant la réforme, il fallait débourser sept millions de bolivar pour acheter une baguette. Raison pour laquelle la plupart des transactions se font par carte bancaire ou en dollars. La « monnaie gringro », comme la surnomme la presse vénézuélienne, est devenue un moyen de paiement de plus en plus populaire, une pratique tolérée par le gouvernement chaviste pour lequel les Etats-Unis restent pourtant l'ennemie numéro 1. La question est maintenant de savoir quel impact la dévaluation aura sur la situation sociale et économique d'un pays où 3 habitants sur 4 vivent dans la pauvreté extrême. Les autorités se veulent optimistes et parlent d'un moyen de - je cite – « récupérer l'économie ». Mais selon les observateurs, il s'agit d'une mesure cosmétique qui n'apportera aucun changement concret. Et si certains Vénézuéliens se réjouissent que les paiements deviennent plus simples, d'autres craignent que la nouvelle réforme ne réduise encore plus leur pouvoir d'achat.

FB : La Cour suprême du Brésil a rétabli l'exigence de la passe sanitaire pour entrer dans certains lieux publics et touristiques à Rio de Janeiro, un sésame à nouveau en vigueur vendredi, après avoir été suspendu mercredi par un juge.

SD : La situation sanitaire s'étant améliorée sur l'île française de la Réunion, le couvre-feu sera levé et les discothèques rouvertes à compter de lundi. FB : L'île Maurice a rouvert complètement ses frontières aux voyageurs internationaux, espérant relancer son secteur du tourisme durement touché par des mois d'isolement.

SD : Pour le quatrième jour d'affilée, la Russie a enregistré un record de décès quotidiens avec 887 morts liées au virus lors des dernières 24 heures.

FB : En Syrie le nombre de cas de Covid a explosé ces dernières semaines dans le nord du pays. Dans certaines des zones les plus touchées par le conflit, les infrastructures sanitaires sont insuffisantes, et les doses de vaccin manquent. Et puis cette nouvelle du laboratoire américain Merck. Il va commercialiser une pilule qui, selon un essai clinique, réduit par deux les risques d'hospitalisation et de décès des patients atteints du Covid.

FB : Une coupe du monde masculine tous les deux ans au lieu de tous les quatre ans : le projet est dans tous les esprits depuis l'annonce d'Arsène Wenger le 3 septembre dernier.

SD : La Fédération internationale de football (FIFA) a organisé une consultation en ligne hier pour évoquer « l'avenir » du foot et ce dossier.

FB : L'Afrique notamment a affiché son soutien de principe au projet et l'Europe son opposition. Alors qu'en France, la question divise. Noel le Graet, le président de la Fédération Française de Football s'est prononcé aujourd'hui. Sarah-Lou Bakouche.

C'est la question qui divise la planète football. Et le président de la fédération française a donné sa réponse, Noël Le Graët n'est pas contre. Sous certaines conditions, l'une étant de savoir si le projet sera ou non source de revenus pour sa fédération. Une déclaration opposée à la position du sélectionneur tricolore Didier Deschamps qui a exprimé sa réserve. De son côté, le principal groupe de supporters des Bleus lui, ne veut pas en entendre parler. À l'échelle européenne, la proposition avait suscité une opposition farouche de la part de la confédération, l'UEFA. Même son de cloche du côté de la confédération sud-américaine. Mais la proposition est largement soutenue du côté de la zone Afrique. Selon Le Graet. De nombreux pays, à l'image du Maroc et l'Afrique du Sud, se sentent lésés, car il est très difficile d'organiser des rencontres face à des pays européens tant les dates sont bloquées. Et ce d'autant plus depuis la création de la Ligue des Nations, la question devrait rapidement être tranchée. Gianni Infantino, le patron de la FIFA a promis un vote en décembre pour régler ce dossier définitivement épineux.

FB : Voilà c'est la fin de ce Journal en en français facile. Merci à tous d'être fidèle à ce rendez-vous. Merci à vous Sébastien Duhamel.

SD : Et merci à Fabrice Viollet qui réalise ce journal.

FB : Bonsoir, à demain pour une nouvelle édition de votre Journal en français facile sur Radio France Internationale.