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Actualité du jour, Crash du vol d'EgyptAir : la question de la négligence apparaît

Crash du vol d'EgyptAir : la question de la négligence apparaît

Après 12 jours de recherches, la Marine française a enfin détecté ce mercredi le signal d'une des boîtes noires du vol Paris-Le Caire d'EgyptAir. Les informations qu'elle contient seront cruciales pour connaître les causes du crash de l'Airbus A320, surtout à l'heure où de nouvelles révélations sèment le trouble : selon France 3, l'avion a été contraint de faire demi-tour et de se poser en urgence à au moins trois reprises au cours des 24 heures précédant le crash. Des informations que le secrétaire d'Etat aux Transports Alain Vidalies a refusé de commenter, ce jeudi sur France Info. La chaîne précise en outre, ce mercredi soir, que l'Airbus venait d'effectuer six rotations avant de disparaître des écrans-radars. Les villes desservies ? Asmara, en Erythrée, Le Caire, en Egypte, Tunis, en Tunisie et Paris. Or il se trouve que, entre le 18 et le 19 mai, le système Acars – qui enregistre durant le vol les messages codés entre un avion et le sol – aurait détecté plusieurs incidents techniques. Des anomalies qui se seraient toutes déclarées peu après le décollage des trois aéroports.

La piste de l'incident technique privilégiée A chaque alerte, une vérification technique a été effectuée après l'atterrissage, selon France 3. En vain, puisque aucun problème n'aurait finalement été détecté, permettant ainsi à l'Airbus de redécoller après avoir atterri en urgence. Quarante Egyptiens, dont l'équipage, et 15 Français se trouvaient à bord du vol MS804 d'EgyptAir. Parmi les victimes figurent aussi deux Irakiens, deux Canadiens ainsi que des ressortissants d'Algérie, de Belgique, de Grande-Bretagne, du Tchad, du Portugal, d'Arabie saoudite et du Soudan. L'hypothèse de l'attentat, initialement mise en avant par l'Egypte, a cédé du terrain au profit de celle de l'incident technique : des alertes automatiques avaient en effet été émises par l'appareil deux minutes avant sa chute, signalant de la fumée dans le cockpit et une défaillance de l'ordinateur gérant les commandes.

Crash du vol d'EgyptAir : la question de la négligence apparaît EgyptAir crash: the question of negligence arises

Après 12 jours de recherches, la Marine française a enfin détecté ce mercredi le signal d'une des boîtes noires du vol Paris-Le Caire d'EgyptAir. After 12 days of research, the French Navy finally detected this Wednesday the signal of one of the black boxes of EgyptAir flight Paris-Cairo. Les informations qu'elle contient seront cruciales pour connaître les causes du crash de l'Airbus A320, surtout à l'heure où de nouvelles révélations sèment le trouble : selon France 3, l'avion a été contraint de faire demi-tour et de se poser en urgence à au moins trois reprises au cours des 24 heures précédant le crash. Des informations que le secrétaire d'Etat aux Transports Alain Vidalies a refusé de commenter, ce jeudi sur France Info. La chaîne précise en outre, ce mercredi soir, que l'Airbus venait d'effectuer six rotations avant de disparaître des écrans-radars. Les villes desservies ? Asmara, en Erythrée, Le Caire, en Egypte, Tunis, en Tunisie et Paris. Or il se trouve que, entre le 18 et le 19 mai, le système Acars – qui enregistre durant le vol les messages codés entre un avion et le sol – aurait détecté plusieurs incidents techniques. Des anomalies qui se seraient toutes déclarées peu après le décollage des trois aéroports.

La piste de l'incident technique privilégiée  A chaque alerte, une vérification technique a été effectuée après l'atterrissage, selon France 3. En vain, puisque aucun problème n'aurait finalement été détecté, permettant ainsi à l'Airbus de redécoller après avoir atterri en urgence. Quarante Egyptiens, dont l'équipage, et 15 Français se trouvaient à bord du vol MS804 d'EgyptAir. Parmi les victimes figurent aussi deux Irakiens, deux Canadiens ainsi que des ressortissants d'Algérie, de Belgique, de Grande-Bretagne, du Tchad, du Portugal, d'Arabie saoudite et du Soudan. L'hypothèse de l'attentat, initialement mise en avant par l'Egypte, a cédé du terrain au profit de celle de l'incident technique : des alertes automatiques avaient en effet été émises par l'appareil deux minutes avant sa chute, signalant de la fumée dans le cockpit et une défaillance de l'ordinateur gérant les commandes.