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Kaamelot, #194-L'Eclaireur

#194-L'Eclaireur

Les chevaliers sont dans un campement militaire en forêt. Ils sont en armure et on des bleus sur le visage. Ils n'ont plus d'éclaireurs, ce qui agace le Roi, Léodagan propose d'envoyer Perceval. Arthur lui demande s'il n'a rien de 'plus furtif', parce qu'il pense qu'envoyer un orchestre prendrait moins de risques. GENERIQUE Perceval est là et se demande pourquoi on lui demande de faire ça, le Roi explique qu'il n'y a personne d'autre. Perceval ne sait même pas ce qu'est un éclaireur. Léodagan lui explique, Arthur ajoute qu'ils auront de la chance s'il ne se perd pas en route. Perceval rappelle qu'il ne sait pas se repérer, et demande ce qu'il fait quand il tombe sur les ennemis. Arthur lui dit qu'il ne faut surtout pas se faire repérer par les Vandales. Le chevalier ne sait pas qui sont les Vandales, alors que ça fait un mois et demi qu'ils sont en guerre contre eux. Arthur est découragé. Plus tard... Arthur et Perceval marchent dans la forêt. Arthur est énervé car il a autre chose à faire que de donner des leçons de pistage, et que ça fait une heure et demi que Perceval lui dit de faire encore un bout de chemin avec lui. Il ajoute que s'il avait su, il ne serait pas venu en armure. Perceval lui fait remarquer qu'il porte la sienne, Arthur lui dit que c'est un débile car il lui a dit plusieurs fois qu'il risquait de se faire repérer avec le bruit. Mais Perceval rétorque que comme de toute façon il se fera repérer, il préfère être en armure. Le Roi lui dit qu'il en a marre et veut rentrer. Il donne un truc d'éclaireur, celui de chercher une odeur de feu de bois, mais le chevalier dit qu'il n'a pas un bon odorat. Le Roi s'énerve et lui lance que s'il ne sait rien faire, il devrait rester à 'peler des châtaignes'. Puis il s'en va. Plus tard... Perceval est de retour au camp, Karadoc est là. Perceval explique au Roi qu'il a fait comme il a dit, qu'il a cherché la fumée d'un feu, mais qu'il est tombé sur leur camp à eux. Le Roi s'en étonne et lance, en regardant Karadoc, qu'il avait interdit les feux justement pour ne pas se faire repérer. Le chevalier se justifie en disant qu'il n'a fait qu'un tout petit feu pour faire cuire à manger. Perceval répête donc qu'il suit la fumée et tombe sur Karadoc en train de faire cuire de la viande. Léodagan se dit que du coup, ils n'ont pas repéré les Vandales. Perceval est tout de même content d'avoir repéré leur camp, car ça lui évitera de se perdre en revenant des toilettes. GENERIQUE Dans la forêt, on voit Perceval qui revient apparemment du petit coin. Il tourne et retourne, l'air perdu. Perceval Voix Off : Il crie à ses camarades de se montrer. Rédigé par Holly95 pour HypnoseriesKaamelott

Arthur et Léodagan sont dans un campement militaire en forêt. Ils sont en armure et ont des bleus sur le visage.

Arthur : Donc on a plus aucun éclaireur, ils sont tous morts ?

Léodagan : Tous morts ou alors ils se sont fait des copains dans le camp ennemi mais en tout cas ils sont pas revenus.

Arthur : Bon alors qu'est-ce qu'on fait ? Léodagan : Beh, on pourrait envoyer le seigneur... Perceval.

Arthur lui lance un regard lourd de sens.

Arthur : Vous avez rien de plus furtif ? Dans le genre discret...

Léodagan : Ben non !

Arthur : Parce que là, quitte à se faire repérer, on prendrait moins de risque à faire venir un orchestre hein...

GENERIQUE

Perceval : Mais pourquoi vous me demandez ça à moi ?

Arthur : Parce que là, y a que vous ! Vous vous doutez bien que si on pouvait faire autrement...

Perceval : Je sais même pas ce que c'est qu'un éclaireur, moi. Léodagan : L'éclaireur, c'est la pauvre pomme qui part avant tout le monde pour vérifier que la route est sûre ou que les ennemis sont bien là où on croit qu'ils sont. Perceval : C'est ça que vous voulez que je fasse ? Léodagan : Voilà. Mais on se fait pas d'illusions hein, vous inquiétez pas. Arthur : Non, on aura déjà du bol si vous vous paumez pas en route...

Perceval : Je sais pas me repérer.

Arthur : Non, mais on le sait ça, on le sait.

Perceval : Bon, mais une fois que je tombe sur les ennemis, qu'est-ce que je leur dis ? Léodagan : Ah non, mais le but du jeu c'est justement de pas tomber dessus, hein ! Arthur : Heu si, si enfin, si, il faut qu'il tombe dessus mais sans qu'ils le sachent quoi. Parce que si vous vous faites repérer alors là, hein...

Léodagan : Attention ! Les Vandales, c'est pas des calins hein. Perceval : Les Vandales ? Mais qu'est-ce que c'est que ça les Vandales ? Arthur et Léodagan n'en reviennent pas. Léodagan : C'est les envahisseurs les Vandales, hein, ça fait juste un mois et demi qu'on est en guerre contre eux ! Arthur : Mais rassurez-moi, vous en avez déjà vu quand même, je veux dire, vous savez les reconnaître ?

Perceval : Ben... comme mon poste c'est plutôt de sécuriser l'arrière du terrain... Chaque fois qu'il y a de la filoche, je suis trop loin, je vois rien ! *

Plus tard...

Arthur et Perceval marchent dans la forêt.

Perceval : C'est gentil de m'avoir accompagé, Sire ! Arthur : Taisez-vous ! J'en reviens pas d'être obligé de donner des leçons de pistage avec tout le boulot qui me reste à faire au camp ! Perceval : Non, mais moi, vous me mettez sur la bonne voie et après je me débrouille !

Arthur : Mais ça fait une heure et demi que vous me dites ça ! A chaque fois que je vous demande si c'est bon, vous me dites : "non, encore un bout de chemin" ! Perceval : Mais c'est pour être sûr ! Arthur : En plus, je suis en armure complète. Si j'avais su qu'on était parti pour quatre lieues j'aurais enfilé autre chose, je vous jure ! Perceval : Mais moi j'ai bien gardé la mienne. Arthur : Mais vous, vous êtes un débile ! Cinquante fois on vous a dit : "laissez votre armure au camp, ça va vous crever, vous allez vous faire repérer à cause du bruit" ! Perceval : Vous avez dit que moi de toute façon, je me ferai repérer, alors...

Arthur : Ouais, ça il y a des chances, oui.

Perceval : Du coup, quitte à me faire repérer, j'aime autant être en armure ! Arthur : Oui, ça se défend...

Perceval : Bon alors, qu'est-ce qu'on fait maintenant ? Arthur : Ah, mais moi je fais rien du tout, moi je rentre au camp, j'en ai marre, ça va bien maintenant ! Perceval : Mais je vais par où alors ?

Arthur : Mais j'en sais rien, démerdez-vous, vous trouvez le camp ennemi et vous revenez ! Perceval : Mais par où, par là ?

Arthur : Mais on en vient de là ! C'est notre camp là, ils sont pas là ! Perceval : J'ai pas le sens de l'orientation... Arthur : Tenez, un bon truc d'éclaireur, vous essayez de renifler une odeur de feu de bois. Ça, ça peut être leur camp.

Perceval : Moi j'ai pas bien d'odorat, hein... Arthur : Sinon, il y a le bruit des chevaux, ça peut indiquer...

Perceval : Pareil, je suis pas bien fortiche des étagères...

Arthur : Ecoutez, si vous n'êtes pas capable de faire le moindre truc, vous n'avez qu'à passer le restant de vos jours dans une chaise à côté de la cheminé à peler des châtaignes ! Ah, et puis je me casse, j'en ai ras le pif ! Arthur s'en va. *

Plus tard...

Perceval est de retour au camp, Karadoc est là.

Perceval (à Arthur) : J'ai fait pile comme vous avez dit, tout au feu de bois. Léodagan : Tout au feu de bois ?

Arthur : Non, non, non, attendez, c'est compliqué. Perceval : J'arrive à repérer le sens de la fumée, je marche, je marche, je marche et boum ! Léodagan : Boum, quoi ?

Perceval : Boum, je tombe sur notre camp.

Léodagan : Bah... notre camp à nous ?

Perceval : Ben oui, la fumée venait de chez nous !

Arthur : Ce qui est très étonnant d'ailleurs, (regardant Karadoc) vu que j'avais formellement interdit qu'on fasse le moindre feu justement pour ne pas qu'on se fasse repérer. Karadoc : Non, mais j'ai fait juste un tout petit feu pour faire cuire un truc... je comptais l'éteindre toute suite après... Perceval : Alors moi, je repère la fumée, je me dis : "je suis sur la bonne voie" et boum. Léodagan : Boum, quoi ?

Perceval : Boum, je tombe sur le seigneur Karadoc en train de faire griller un bout de viande.

Léodagan : Donc, vous avez pas du tout repéré où étaient les Vandales ?

Perceval : Ben non. Par contre j'ai bien repéré où on était nous. Ca m'évitera de me paumer à chaque fois que je vais pisser. GENERIQUE

Dans la forêt, on voit Perceval qui revient apparemment du petit coin. Il se tourne et se retourne, l'air perdu. Perceval (Voix off) : Eh, les gars ! Où vous êtes ? Faites pas les cons !

Rédigé par Holly95 pour HypnoseriesKaamelott


#194-L'Eclaireur

Les chevaliers sont dans un campement militaire en forêt. Ils sont en armure et on des bleus sur le visage. Ils n'ont plus d'éclaireurs, ce qui agace le Roi, Léodagan propose d'envoyer Perceval. Arthur lui demande s'il n'a rien de 'plus furtif', parce qu'il pense qu'envoyer un orchestre prendrait moins de risques. GENERIQUE Perceval est là et se demande pourquoi on lui demande de faire ça, le Roi explique qu'il n'y a personne d'autre. Perceval ne sait même pas ce qu'est un éclaireur. Léodagan lui explique, Arthur ajoute qu'ils auront de la chance s'il ne se perd pas en route. Perceval rappelle qu'il ne sait pas se repérer, et demande ce qu'il fait quand il tombe sur les ennemis. Arthur lui dit qu'il ne faut surtout pas se faire repérer par les Vandales. Le chevalier ne sait pas qui sont les Vandales, alors que ça fait un mois et demi qu'ils sont en guerre contre eux. Arthur est découragé. Plus tard... Arthur et Perceval marchent dans la forêt. Arthur est énervé car il a autre chose à faire que de donner des leçons de pistage, et que ça fait une heure et demi que Perceval lui dit de faire encore un bout de chemin avec lui. Il ajoute que s'il avait su, il ne serait pas venu en armure. Perceval lui fait remarquer qu'il porte la sienne, Arthur lui dit que c'est un débile car il lui a dit plusieurs fois qu'il risquait de se faire repérer avec le bruit. Mais Perceval rétorque que comme de toute façon il se fera repérer, il préfère être en armure. Le Roi lui dit qu'il en a marre et veut rentrer. Il donne un truc d'éclaireur, celui de chercher une odeur de feu de bois, mais le chevalier dit qu'il n'a pas un bon odorat. Le Roi s'énerve et lui lance que s'il ne sait rien faire, il devrait rester à 'peler des châtaignes'. Puis il s'en va. Plus tard... Perceval est de retour au camp, Karadoc est là. Perceval explique au Roi qu'il a fait comme il a dit, qu'il a cherché la fumée d'un feu, mais qu'il est tombé sur leur camp à eux. Le Roi s'en étonne et lance, en regardant Karadoc, qu'il avait interdit les feux justement pour ne pas se faire repérer. Le chevalier se justifie en disant qu'il n'a fait qu'un tout petit feu pour faire cuire à manger. Perceval répête donc qu'il suit la fumée et tombe sur Karadoc en train de faire cuire de la viande. Léodagan se dit que du coup, ils n'ont pas repéré les Vandales. Perceval est tout de même content d'avoir repéré leur camp, car ça lui évitera de se perdre en revenant des toilettes. GENERIQUE Dans la forêt, on voit Perceval qui revient apparemment du petit coin. Il tourne et retourne, l'air perdu. Perceval Voix Off : Il crie à ses camarades de se montrer. Rédigé par Holly95 pour HypnoseriesKaamelott

Arthur et Léodagan sont dans un campement militaire en forêt. Ils sont en armure et ont des bleus sur le visage.

Arthur : Donc on a plus aucun éclaireur, ils sont tous morts ?

Léodagan : Tous morts ou alors ils se sont fait des copains dans le camp ennemi mais en tout cas ils sont pas revenus.

Arthur : Bon alors qu'est-ce qu'on fait ? Léodagan : Beh, on pourrait envoyer le seigneur... Perceval.

Arthur lui lance un regard lourd de sens.

Arthur : Vous avez rien de plus furtif ? Dans le genre discret...

Léodagan : Ben non !

Arthur : Parce que là, quitte à se faire repérer, on prendrait moins de risque à faire venir un orchestre hein...

GENERIQUE

Perceval : Mais pourquoi vous me demandez ça à moi ?

Arthur : Parce que là, y a que vous ! Vous vous doutez bien que si on pouvait faire autrement...

Perceval : Je sais même pas ce que c'est qu'un éclaireur, moi. Léodagan : L'éclaireur, c'est la pauvre pomme qui part avant tout le monde pour vérifier que la route est sûre ou que les ennemis sont bien là où on croit qu'ils sont. Perceval : C'est ça que vous voulez que je fasse ? Léodagan : Voilà. Mais on se fait pas d'illusions hein, vous inquiétez pas. Arthur : Non, on aura déjà du bol si vous vous paumez pas en route...

Perceval : Je sais pas me repérer.

Arthur : Non, mais on le sait ça, on le sait.

Perceval : Bon, mais une fois que je tombe sur les ennemis, qu'est-ce que je leur dis ? Léodagan : Ah non, mais le but du jeu c'est justement de pas tomber dessus, hein ! Arthur : Heu si, si enfin, si, il faut qu'il tombe dessus mais sans qu'ils le sachent quoi. Parce que si vous vous faites repérer alors là, hein...

Léodagan : Attention ! Les Vandales, c'est pas des calins hein. Perceval : Les Vandales ? Mais qu'est-ce que c'est que ça les Vandales ? Arthur et Léodagan n'en reviennent pas. Léodagan : C'est les envahisseurs les Vandales, hein, ça fait juste un mois et demi qu'on est en guerre contre eux ! Arthur : Mais rassurez-moi, vous en avez déjà vu quand même, je veux dire, vous savez les reconnaître ?

Perceval : Ben... comme mon poste c'est plutôt de sécuriser l'arrière du terrain... Chaque fois qu'il y a de la filoche, je suis trop loin, je vois rien ! ***

Plus tard...

Arthur et Perceval marchent dans la forêt.

Perceval : C'est gentil de m'avoir accompagé, Sire ! Arthur : Taisez-vous ! J'en reviens pas d'être obligé de donner des leçons de pistage avec tout le boulot qui me reste à faire au camp ! Perceval : Non, mais moi, vous me mettez sur la bonne voie et après je me débrouille !

Arthur : Mais ça fait une heure et demi que vous me dites ça ! A chaque fois que je vous demande si c'est bon, vous me dites : "non, encore un bout de chemin" ! Perceval : Mais c'est pour être sûr ! Arthur : En plus, je suis en armure complète. Si j'avais su qu'on était parti pour quatre lieues j'aurais enfilé autre chose, je vous jure ! Perceval : Mais moi j'ai bien gardé la mienne. Arthur : Mais vous, vous êtes un débile ! Cinquante fois on vous a dit :  "laissez votre armure au camp, ça va vous crever, vous allez vous faire repérer à cause du bruit" ! Perceval : Vous avez dit que moi de toute façon, je me ferai repérer, alors...

Arthur : Ouais, ça il y a des chances, oui.

Perceval : Du coup, quitte à me faire repérer, j'aime autant être en armure ! Arthur : Oui, ça se défend...

Perceval : Bon alors, qu'est-ce qu'on fait maintenant ? Arthur : Ah, mais moi je fais rien du tout, moi je rentre au camp, j'en ai marre, ça va bien maintenant ! Perceval : Mais je vais par où alors ?

Arthur : Mais j'en sais rien, démerdez-vous, vous trouvez le camp ennemi et vous revenez ! Perceval : Mais par où, par là ?

Arthur : Mais on en vient de là ! C'est notre camp là, ils sont pas là ! Perceval : J'ai pas le sens de l'orientation... Arthur : Tenez, un bon truc d'éclaireur, vous essayez de renifler une odeur de feu de bois. Ça, ça peut être leur camp.

Perceval : Moi j'ai pas bien d'odorat, hein... Arthur : Sinon, il y a le bruit des chevaux, ça peut indiquer...

Perceval : Pareil, je suis pas bien fortiche des étagères...

Arthur : Ecoutez, si vous n'êtes pas capable de faire le moindre truc, vous n'avez qu'à passer le restant de vos jours dans une chaise à côté de la cheminé à peler des châtaignes ! Ah, et puis je me casse, j'en ai ras le pif ! Arthur s'en va. ***

Plus tard...

Perceval est de retour au camp, Karadoc est là.

Perceval (à Arthur) : J'ai fait pile comme vous avez dit, tout au feu de bois. Léodagan : Tout au feu de bois ?

Arthur : Non, non, non, attendez, c'est compliqué. Perceval : J'arrive à repérer le sens de la fumée, je marche, je marche, je marche et boum ! Léodagan : Boum, quoi ?

Perceval : Boum, je tombe sur notre camp.

Léodagan : Bah... notre camp à nous ?

Perceval : Ben oui, la fumée venait de chez nous !

Arthur : Ce qui est très étonnant d'ailleurs, (regardant Karadoc) vu que j'avais formellement interdit qu'on fasse le moindre feu justement pour ne pas qu'on se fasse repérer. Karadoc : Non, mais j'ai fait juste un tout petit feu pour faire cuire un truc... je comptais l'éteindre toute suite après... Perceval : Alors moi, je repère la fumée, je me dis : "je suis sur la bonne voie" et boum. Léodagan : Boum, quoi ?

Perceval : Boum, je tombe sur le seigneur Karadoc en train de faire griller un bout de viande.

Léodagan : Donc, vous avez pas du tout repéré où étaient les Vandales ?

Perceval : Ben non. Par contre j'ai bien repéré où on était nous. Ca m'évitera de me paumer à chaque fois que je vais pisser. GENERIQUE

Dans la forêt, on voit Perceval qui revient apparemment du petit coin. Il se tourne et se retourne, l'air perdu. Perceval (Voix off) : Eh, les gars ! Où vous êtes ? Faites pas les cons !

Rédigé par Holly95 pour HypnoseriesKaamelott