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Kaamelot, #143-La Coccinelle de Madenn

#143-La Coccinelle de Madenn

Arthur, Lancelot et Perceval sont dans un couloir. Le Roi veut savoir qui doit venir pour la prochaine doléance, Lancelot répond que c'est Guethenoc. Arthur râle, Perceval aussi : d'après lui, les paysans sont toujours en train de se plaindre ; il raconte une altercation qu'il aurait eu avec eux... GENERIQUE Arthur est assis sur son trône, Lancelot et Perceval de chaque côté. Guethenoc est devant eux, l'air énervé, il leur présente sa fille Madenn même si d'après lui le Roi la connait déjà. Madenn lui demande de se taire et lui rappelle qu'elle est enceinte. Lancelot fait apporter un siège. Guethenoc parle de déshonneur, car sa fille n'est pas mariée, et elle en est fière. Mais il ajoute qu'il n'a pas de quoi s'inquiéter car le bébé pourrait 'être de sang royal'... Arthur parait surpris. Perceval, hors-sujet, annonce qu'un siège n'est pas utile pour une fille enceinte, il lui faudrait de l'eau chaude et des linges. Lancelot n'aime pas les accusations du paysan, il lui ordonne de retirer ses paroles et de s'excuser, avant de se tourner vers Arthur l'air interrogateur. Le Roi répète qu'il ne connait absolument pas Madenn. Guethenoc le traite de menteur. Madenn s'excuse et explique que son père s'est mis dans la tête qu'Arthur était le père depuis un certain bal où ils se seraient parlé. Perceval monologue sur le fait qu'à chaque fois qu'il va à un bal, il y a toujours un type qui vient le voir quelques mois après avec sa fille enceinte. Lancelot demande à Madenn de révéler le nom du père de l'enfant, la jeune fille répond qu'elle ne veut pas qu'il ai d'ennui car c'est une personne importante. Guethenoc ironise sur la situation 'importante' d'un Roi de Bretagne. Arthur s'énerve, il ne se souviendrait pas de ce bal . Madenn corrige, ils se serait bien vus, il l'aurait draguée à l'aide d'une coccinelle... Guethenoc exige donc réparation. Sa fille proteste et persiste, il n'y a rien eu d'autre entre le Roi et elle. Lancelot tranche d'une voix forte, le paysan n'a aucune preuve et doit donc s'en aller. Madenn s'excuse de nouveau. Perceval, toujours dans son monde, raconte une de ses étranges techniques de drague... Plus tard, Arthur rejoint discrètement Madenn dans un couloir, l'air joyeux. Ils parlent à voix basse, il s'avère que le Roi est bien le père du bébé. Arthur remercie Madenn de n'avoir rien dit, ça lui évitera les reproches de sa femme, vu qu'ils sont toujours très loin de concevoir un héritier. Il veut donner un peu d'argent à Madenn, celle-ci refuse car son père en aurait déjà plein. Le Roi offre alors un poignard en cadeau, quand la voix de Guethenoc se fait entendre. Madenn embrasse Arthur et s'en va, le Roi la regarde partir en souriant, l'air satisfait. GENERIQUE Dans la chambre royale, Guenièvre fait de la broderie alors qu'Arthur affiche un large sourire. Cela étonne d'ailleurs sa femme. Les pleurs d'un bébé retentissent dans le château, la Rein râle : ce serait l'enfant d'une duchesse, qu'elle juge infernal. Elle lance à son mari qu'elle refusera de se lever en pleine nuit pour nourrir leur futur enfant. Arthur soupire. VOIX OFF : Guenièvre veut savoir pourquoi il soupire. Rédigé par Holly95 pour HypnoseriesKaamelott

Arthur, Lancelot et Perceval sont dans le couloir menant à la salle du trône.

Arthur : Qui c'est qu'on a comme doléance maintenant ? Lancelot : Le paysan Guethenoc, Sire.

Arthur : Encore ! Mais il vient deux fois par semaine maintenant celui-là !

Perceval : Ils sont toujours en train de se plaindre ces péquenots ! L'autre jour on s'entraînait dans un champ avec une catapulte, y'en a un qui arrive : "oh mes endives mes endives", on lui a mis un rocher sur la tête, pfftt (petit bruit), ça l'a calmé le bouseux. Arthur et Lancelot se regardent.

GENERIQUE

Dans la salle du trône. Guethenoc et une jeune femme enceinte sont en face d'Arthur, Lancelot et Perceval. Guethenoc (énervé) : Mon bon Roi, permettez-moi de vous présenter ma fille Madenn !

Arthur : Enchanté.

Guethenoc : Quand je dis présenter c'est manière de dire, il me semble que vous la connaissez déjà pas mal ! Madenn : Père !

Vous m'avez juré de ne pas vous montrez désobligeant ! Et sans vouloir faire mon intéressante, je vous rappelle que la position debout me fatigue.

Lancelot : Votre fille est malade ?

Madenn (enjouée) : Enceinte Seigneur Lancelot !

Guethenoc : Enceinte, enceinte jusqu'aux gencives ! Le déshonneur, la honte, l'humiliation ! Madenn : Bon quand vous serez à court de synonymes, auriez-vous l'obligeance de m'obtenir de quoi m'asseoir ? Lancelot : Bon garde, apportez un siège à madame.

Madenn : Mademoiselle !

Guethenoc : Mademoiselle ! Exactement, elle en est fière en plus !

Le garde apporte une chaise à Madenn.

Guethenoc : Remarquez, j'ai pas trop à me faire de soucis, parce que j'ai de bonnes raisons de penser que ce petitou qui va arriver est de sang royal, si vous voyez ce que je veux dire ! Arthur : Quoi ?

Madenn : Père !

Guethenoc : Parfaitement !

Perceval (à Arthur) : Ca sert à rien un siège, si elle est enceinte il faut des linges blancs et une bassine d'eau chaude. *

Plus tard...

Guethenoc : Remarquez, c'est pas que l'idée de faire partie de votre famille me dégoûte, Sire ! Lancelot : Vos insinuations sont extrèmement graves, Guethenoc ! Je vais vous demander de retirer vos propos, et de présenter vos excuses au Roi Arthur ! A moins que... enfin Sire, vous savez que vous pouvez tout me dire...

Arthur : Mais j'ai rien à vous dire ! Je la connais pas cette fille !

Guethenoc (criant) : Mensonge !

Madenn : Ah je suis désolée Sire, mon père s'est mis en tête que vous étiez le père sous prétexte que vous m'avez adressé la parole un jour à un bal de village. Guethenoc : Les premières oeillades, la flûte enchantée, et trois mois après patatrac !

Perceval : A chaque fois que je vais à un baloche, je picole, je discute, trois mois après y'a toujours un mec qui débaroule avec sa fille enceinte. Lancelot : A ce compte là mademoiselle, pourquoi ne nous dites-vous pas qui est le véritable père de l'enfant... Madenn : Mais parce que je n'ai pas envie de lui causer de soucis, c'est un homme marié avec une très bonne situation. Guethenoc : Ah bah Roi d'Bretagne c'est vrai comme situation c'est pas dégueulasse ! Arthur : Mais vous allez me lâcher oui, je vous dis que c'est pas moi ! Madenn : Je vous dis que c'est pas lui ! Guethenoc : Et les oeillades au bal !

Arthur : Mais je me souviens même pas avoir foutu les pieds dans un bal moi...

Madenn : Ah non si, si si, vous vous êtes approché de moi, vous avez délicatement saisi une coccinelle dans mes cheveux et vous m'avez demandé si c'était ma soeur... Perceval (approbateur) : Yéééé...

Lancelot : C'est vrai que c'est joli... Guethenoc : C'est nul, zéro ! Lancelot : Ah quand même, c'est plutôt élégant... Guethenoc (montrant sa fille) : Et ça c'est élégant ? Je vais vous en fournir des coccinelles moi ! J'exige réparation de l'affront qu'on m'a fait ! Madenn : Mais il n'y a pas eu d'affront ! A part la coccinelle, il n'y a rien eu entre le Roi et moi ! Lancelot (voix forte) : Guethenoc ! Vous n'avez ni preuve de ce que vous avancez, ni témoignage pour l'étayer ! Je vous demande de sortir de cette salle !

Guethenoc bougonne et sort.

Madenn : Je suis vraiment désolée du remue-ménage hein, vous savez comment c'est les paysans, mon père il est plus têtu que ses bourriques... Elle fait une petite révérence et sort.

Perceval : Une fois à une exécution je m'approche d'une fille, pour rigoler je lui fait "vous êtes de la famille du pendu ?"... c'était sa soeur. Bonjour l'approche. *

Plus tard...

Arthur rejoint discrètement Madenn dans un couloir.

Arthur (souriant) : Alors, c'est le mien ? Madenn : Ben évidemment que c'est le votre ! Arthur (frappe ses mains) : J'en étais sûr ! Madenn : J'ai rien dit j'avais pas envie de vous embêter... Arthur : Nan vous avez bien fait, ma femme aurait encore trouvé le moyen de me faire chier... jamais contente celle-là !

Madenn : Et elle, toujours rien en route ?

Arthur : Nan... nan mais c'est moi, faudrait que je m'y mette mais j'ai pas le courage. Bon (sourit, l'air gaga) ptet que ce sera une fille ! Madenn : Ben je sais pas, j'ai plutôt l'impression qu'il part vers l'avant... Arthur : Ah ouais... Je vais vous donner un peu de pognon.

Madenn : Ah bah nan ça va mon père il en a jusqu'au nez du pognon ! Arthur : Alors un petit cadeau pour le bébé, (sortant une dague) vous le mettrez dans le berceau, regardez... un petit souvenir de son papa, j'ai égorgé un chef Ostroghoth avec. Madenn rit, on entend la voix de Guethenoc l'appeler. Madenn : Bon faut que je file, à bientôt.

Arthur : A bientôt.

Ils s'embrassent rapidement et Madenn s'en va. Arthur la regarde partir, l'air satisfait, puis s'en va lui aussi. GENERIQUE

Dans la chambre royale. Guenièvre fait de la broderie et Arthur sourit jusqu'aux oreilles. Guenièvre : Mais qu'est-ce que vous avez à sourire ? Arthur : Rien, rien.

Les pleurs d'un bébé se font entendre. Guenièvre : Oh... c'est encore le petit de la duchesse de Winchester, il est infernal ce gosse. Quand on en aura un, j'aime autant vous dire qu'il est hors de question que je donne la tétée à une heure du matin hein... je suis pas une vache moi ! Arthur soupire, son sourire s'est effacé. Guenièvre Voix Off : Qu'est-ce que vous avez à souffler ? Rédigé par Holly95 pour HypnoseriesKaamelott

#143-La Coccinelle de Madenn

Arthur, Lancelot et Perceval sont dans un couloir. Le Roi veut savoir qui doit venir pour la prochaine doléance, Lancelot répond que c'est Guethenoc. Arthur râle, Perceval aussi : d'après lui, les paysans sont toujours en train de se plaindre ; il raconte une altercation qu'il aurait eu avec eux... GENERIQUE Arthur est assis sur son trône, Lancelot et Perceval de chaque côté. Guethenoc est devant eux, l'air énervé, il leur présente sa fille Madenn même si d'après lui le Roi la connait déjà. Madenn lui demande de se taire et lui rappelle qu'elle est enceinte. Lancelot fait apporter un siège. Guethenoc parle de déshonneur, car sa fille n'est pas mariée, et elle en est fière. Mais il ajoute qu'il n'a pas de quoi s'inquiéter car le bébé pourrait 'être de sang royal'... Arthur parait surpris. Perceval, hors-sujet, annonce qu'un siège n'est pas utile pour une fille enceinte, il lui faudrait de l'eau chaude et des linges. Lancelot n'aime pas les accusations du paysan, il lui ordonne de retirer ses paroles et de s'excuser, avant de se tourner vers Arthur l'air interrogateur. Le Roi répète qu'il ne connait absolument pas Madenn. Guethenoc le traite de menteur. Madenn s'excuse et explique que son père s'est mis dans la tête qu'Arthur était le père depuis un certain bal où ils se seraient parlé. Perceval monologue sur le fait qu'à chaque fois qu'il va à un bal, il y a toujours un type qui vient le voir quelques mois après avec sa fille enceinte. Lancelot demande à Madenn de révéler le nom du père de l'enfant, la jeune fille répond qu'elle ne veut pas qu'il ai d'ennui car c'est une personne importante. Guethenoc ironise sur la situation 'importante' d'un Roi de Bretagne. Arthur s'énerve, il ne se souviendrait pas de ce bal . Madenn corrige, ils se serait bien vus, il l'aurait draguée à l'aide d'une coccinelle... Guethenoc exige donc réparation. Sa fille proteste et persiste, il n'y a rien eu d'autre entre le Roi et elle. Lancelot tranche d'une voix forte, le paysan n'a aucune preuve et doit donc s'en aller. Madenn s'excuse de nouveau. Perceval, toujours dans son monde, raconte une de ses étranges techniques de drague... Plus tard, Arthur rejoint discrètement Madenn dans un couloir, l'air joyeux. Ils parlent à voix basse, il s'avère que le Roi est bien le père du bébé. Arthur remercie Madenn de n'avoir rien dit, ça lui évitera les reproches de sa femme, vu qu'ils sont toujours très loin de concevoir un héritier. Il veut donner un peu d'argent à Madenn, celle-ci refuse car son père en aurait déjà plein. Le Roi offre alors un poignard en cadeau, quand la voix de Guethenoc se fait entendre. Madenn embrasse Arthur et s'en va, le Roi la regarde partir en souriant, l'air satisfait. GENERIQUE Dans la chambre royale, Guenièvre fait de la broderie alors qu'Arthur affiche un large sourire. Cela étonne d'ailleurs sa femme. Les pleurs d'un bébé retentissent dans le château, la Rein râle : ce serait l'enfant d'une duchesse, qu'elle juge infernal. Elle lance à son mari qu'elle refusera de se lever en pleine nuit pour nourrir leur futur enfant. Arthur soupire. VOIX OFF : Guenièvre veut savoir pourquoi il soupire. Rédigé par Holly95 pour HypnoseriesKaamelott

Arthur, Lancelot et Perceval sont dans le couloir menant à la salle du trône.

Arthur : Qui c'est qu'on a comme doléance maintenant ? Lancelot : Le paysan Guethenoc, Sire.

Arthur : Encore ! Mais il vient deux fois par semaine maintenant celui-là !

Perceval : Ils sont toujours en train de se plaindre ces péquenots ! L'autre jour on s'entraînait dans un champ avec une catapulte, y'en a un qui arrive : "oh mes endives mes endives",  on lui a mis un rocher sur la tête, pfftt (petit bruit), ça l'a calmé le bouseux. Arthur et Lancelot se regardent.

GENERIQUE

Dans la salle du trône. Guethenoc et une jeune femme enceinte sont en face d'Arthur, Lancelot et Perceval. Guethenoc (énervé) : Mon bon Roi, permettez-moi de vous présenter ma fille Madenn !

Arthur : Enchanté.

Guethenoc : Quand je dis présenter c'est manière de dire, il me semble que vous la connaissez déjà pas mal ! Madenn : Père !

Vous m'avez juré de ne pas vous montrez désobligeant ! Et sans vouloir faire mon intéressante, je vous rappelle que la position debout me fatigue.

Lancelot : Votre fille est malade ?

Madenn (enjouée) : Enceinte Seigneur Lancelot !

Guethenoc : Enceinte, enceinte jusqu'aux gencives ! Le déshonneur, la honte, l'humiliation ! Madenn : Bon quand vous serez à court de synonymes, auriez-vous l'obligeance de m'obtenir de quoi m'asseoir ? Lancelot : Bon garde, apportez un siège à madame.

Madenn : Mademoiselle !

Guethenoc : Mademoiselle ! Exactement, elle en est fière en plus !

Le garde apporte une chaise à Madenn.

Guethenoc : Remarquez, j'ai pas trop à me faire de soucis, parce que j'ai de bonnes raisons de penser que ce petitou qui va arriver est de sang royal, si vous voyez ce que je veux dire ! Arthur : Quoi ?

Madenn : Père !

Guethenoc : Parfaitement !

Perceval (à Arthur) : Ca sert à rien un siège, si elle est enceinte il faut des linges blancs et une bassine d'eau chaude. ***

Plus tard...

Guethenoc : Remarquez, c'est pas que l'idée de faire partie de votre famille me dégoûte, Sire ! Lancelot : Vos insinuations sont extrèmement graves, Guethenoc ! Je vais vous demander de retirer vos propos, et de présenter vos excuses au Roi Arthur ! A moins que... enfin Sire, vous savez que vous pouvez tout me dire...

Arthur : Mais j'ai rien à vous dire ! Je la connais pas cette fille !

Guethenoc (criant) : Mensonge !

Madenn : Ah je suis désolée Sire, mon père s'est mis en tête que vous étiez le père sous prétexte que vous m'avez adressé la parole un jour à un bal de village. Guethenoc : Les premières oeillades, la flûte enchantée, et trois mois après patatrac !

Perceval : A chaque fois que je vais à un baloche, je picole, je discute, trois mois après y'a toujours un mec qui débaroule avec sa fille enceinte. Lancelot : A ce compte là mademoiselle, pourquoi ne nous dites-vous pas qui est le véritable père de l'enfant... Madenn : Mais parce que je n'ai pas envie de lui causer de soucis, c'est un homme marié avec une très bonne situation. Guethenoc : Ah bah Roi d'Bretagne c'est vrai comme situation c'est pas dégueulasse ! Arthur : Mais vous allez me lâcher oui, je vous dis que c'est pas moi ! Madenn : Je vous dis que c'est pas lui ! Guethenoc : Et les oeillades au bal !

Arthur : Mais je me souviens même pas avoir foutu les pieds dans un bal moi...

Madenn : Ah non si, si si, vous vous êtes approché de moi, vous avez délicatement saisi une coccinelle dans mes cheveux et vous m'avez demandé si c'était ma soeur... Perceval (approbateur) : Yéééé...

Lancelot : C'est vrai que c'est joli... Guethenoc : C'est nul, zéro ! Lancelot : Ah quand même, c'est plutôt élégant... Guethenoc (montrant sa fille) : Et ça c'est élégant ? Je vais vous en fournir des coccinelles moi ! J'exige réparation de l'affront qu'on m'a fait ! Madenn : Mais il n'y a pas eu  d'affront ! A part  la coccinelle, il n'y a rien eu entre le Roi et moi ! Lancelot (voix forte) : Guethenoc ! Vous n'avez ni preuve de ce que vous avancez, ni témoignage pour l'étayer ! Je vous demande de sortir de cette salle !

Guethenoc bougonne et sort.

Madenn : Je suis vraiment désolée du remue-ménage hein, vous savez comment c'est les paysans, mon père il est plus têtu que ses bourriques... Elle fait une petite révérence et sort.

Perceval : Une fois à une exécution je m'approche d'une fille, pour rigoler je lui fait "vous êtes de la famille du pendu ?"... c'était sa soeur. Bonjour l'approche. ***

Plus tard...

Arthur rejoint discrètement Madenn dans un couloir.

Arthur (souriant) : Alors, c'est le mien ? Madenn : Ben évidemment que c'est le votre ! Arthur (frappe ses mains) : J'en étais sûr ! Madenn : J'ai rien dit j'avais pas envie de vous embêter... Arthur : Nan vous avez bien fait, ma femme aurait encore trouvé le moyen de me faire chier... jamais contente celle-là !

Madenn : Et elle, toujours rien en route ?

Arthur : Nan... nan mais c'est moi, faudrait que je m'y mette mais j'ai pas le courage. Bon (sourit, l'air gaga) ptet que ce sera une fille ! Madenn : Ben je sais pas, j'ai plutôt l'impression qu'il part vers l'avant... Arthur : Ah ouais... Je vais vous donner un peu de pognon.

Madenn : Ah bah nan ça va mon père il en a jusqu'au nez du pognon ! Arthur : Alors un petit cadeau pour le bébé, (sortant une dague) vous le mettrez dans le berceau, regardez... un petit souvenir de son papa, j'ai égorgé un chef Ostroghoth avec. Madenn rit, on entend la voix de Guethenoc l'appeler. Madenn : Bon faut que je file, à bientôt.

Arthur : A bientôt.

Ils s'embrassent rapidement et Madenn s'en va. Arthur la regarde partir, l'air satisfait, puis s'en va lui aussi. GENERIQUE

Dans la chambre royale. Guenièvre fait de la broderie et Arthur sourit jusqu'aux oreilles. Guenièvre : Mais qu'est-ce que vous avez à sourire ? Arthur : Rien, rien.

Les pleurs d'un bébé se font entendre. Guenièvre : Oh... c'est encore le petit de la duchesse de Winchester, il est infernal ce gosse. Quand on en aura un, j'aime autant vous dire qu'il est hors de question que je donne la tétée à une heure du matin hein... je suis pas une vache moi ! Arthur soupire, son sourire s'est effacé. Guenièvre Voix Off : Qu'est-ce que vous avez à souffler ? Rédigé par Holly95 pour HypnoseriesKaamelott