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RFI - Journal en français facile 2017 - 2020, Journal en français facile 03 juin 2019

Journal en français facile 03 juin 2019

Loïc Buissières : 22h à Paris, 2h de moins temps universel. Bonsoir et bienvenue si vous nous rejoignez pour cette nouvelle édition de votre journal en français facile, journal que je vous présente en compagnie de Zéphyrin Kouadio. Bonsoir Zéphyrin.

Zéphyrin Kouadio : Bonsoir Loïc, bonsoir à toutes et à tous.

LB : À la Une ce soir : Donald Trump à Londres pour trois jours. Une visite d'État sur fond de Brexit et de succession de Theresa May. Deux sujets que le président américain ne se prive pas de commenter.

ZK : C'était il y a 30 ans, la répression de la place Tiananmen à Pékin. Des chars mettaient fin à sept semaines de protestations étudiantes. On y revient dans ce journal.

LB : Et puis l'actualité c'est aussi les sports et le tennis avec des Français qui quittent Roland-Garros. Le dernier représentant, Gaël Monfils, s'est incliné en trois manches face au 4ème joueur mondial, Dominic Thiem.

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ZK : Le président américain Donald Trump a entamé ce lundi une visite d'État de trois jours au Royaume-Uni.

LB : Avec, pour donner le ton, un tweet en forme d'attaque contre le maire de Londres. L'ambiance devrait être plus apaisée ce soir, puisque le couple Trump est invité à Buckingham pour un grand banquet d'État. Et malgré quelques signes de protestations devant le palais, Donald Trump a déjà estimé que tout se déroulait « à merveille ». Muriel Delcroix.

So far so good, la visite dont avait tant rêvé Donald Trump s'est jusqu'ici déroulée sans accroc majeur. La journée avait pourtant commencé avec une série de tweets rageurs du président, avant même son atterrissage, traitant de « loser » l'une de ses cibles favorites, Sadiq Khan, le maire de Londres. Une attaque frontale qui a donné des sueurs froides aux diplomates tant américains que britanniques, mais l'atmosphère s'est apaisée une fois les Trump accueillis par Elisabeth II dans les jardins de Buckingham et un déjeuner en petit comité. On attend maintenant d'écouter le discours de la reine et celui du président lors du banquet d'État en espérant que Donald Trump s'en tienne au script sans fausse note. Car ce n'est pas une visite d'État tout à fait comme les autres, d'ailleurs plusieurs traditions ont été discrètement abandonnées comme l'adresse du président aux deux chambres du Parlement. Et puis ce soir, Donald Trump ne dormira pas dans une des chambres d'invités de Buckingham, mais à la résidence de l'ambassadeur américain à Londres. Raison officielle, la réfection d'une des ailes du palais alors que Buckingham dispose en réalité de 52 chambres pour les invités de marque. Enfin, plusieurs personnalités boudent le banquet dont le chef de l'opposition Labour Jeremy Corbyn et il est clair que beaucoup verront cette visite s'achever mercredi avec soulagement. Muriel Delcroix, Londres, RFI.

ZK : En Irak, ils sont maintenant onze Français condamnés à mort pour « appartenance au groupe État islamique » après avoir été transférés en janvier de Syrie, où ils avaient été capturés par les Forces démocratiques syriennes. Tous ont maintenant 30 jours pour faire appel.

LB : L'actualité, c'est aussi la Syrie, 800 femmes et enfants ont commencé à quitter un camp connu pour accueillir des proches du groupe État islamique. Aujourd'hui, le camp d'al-Hol, dans le nord-est du pays, un camp surpeuplé, contrôlé par l'administration semi-autonome kurde. Cette dernière souhaite une réinsertion de ces familles dans la société. L'opération est une première, les initiatives de ce genre devraient se multiplier durant les prochaines semaines. Sami Boukhelifa.

La situation est insoutenable à al-Hol. 74 000 déplacés s'y entassent dans des conditions déplorables alors que ce camp est conçu à l'origine pour accueillir 20 000 personnes. Face à l'urgence humanitaire, les autorités kurdes ont décidé d'agir. Certes, il y a un risque important. Parmi ces familles qui quittent al-Hol, il y a des épouses et des enfants de jihadistes, mais pas question de les relâcher dans la nature sans surveillance. Des chefs tribaux syriens donnent des garanties. Ils s'engagent à scruter leurs faits et gestes une fois conduits auprès de leurs familles dans la région de Raqa. Un responsable kurde explique : « la rééducation et la réinsertion de ces enfants et de ces femmes dans la société est de notre devoir. ». Même durant la bataille contre le groupe État islamique, les Kurdes considéraient souvent les épouses de jihadistes comme des victimes. Des femmes n'ayant pas eu le choix de suivre leur époux au sein de l'organisation terroriste. D'autres familles syriennes devraient quitter al-Hol durant les prochaines semaines. Pas d'information en revanche concernant les étrangers. Des centaines de Françaises et leurs enfants vivent dans ce camp.

ZK : Sami Boukhelifa. L'actu internationale encore et cette condamnation de Paris après la violente dispersion d'un sit-in de manifestants au Soudan.

LB : Une intervention qui a fait au moins une trentaine de morts selon le dernier bilan. Les Nations unies appellent les autorités soudanaises à « cesser leurs attaques » et déplorent un « usage excessif de la force ». Cet accès de violence survient alors que les discussions entre les manifestants, qui réclament la restitution du pouvoir aux civils, et de l'autre côté le Conseil militaire, qui dirige le pays depuis le renversement par l'armée du président Omar el-Béchir, et ces discussions donc sont dans l'impasse.

ZK : En Chine, c'était il y a 30 ans, la répression dans le sang des manifestations de la place Tiananmen à Pékin.

LB : À Pékin, il est 4h. Nous sommes déjà le 4 juin, date « anniversaire » de cette page de l'histoire contemporaine. Ce mardi soir, les Hongkongais se réuniront comme chaque année pour un rassemblement aux bougies dans un parc en hommage aux victimes. Stéphane Lagarde s'est rendu au nouveau musée du 4 juin à Hong Kong, inauguré pour ce 30ème anniversaire.

102 mètres carrés dans un immeuble commercial du quartier de Mong Kok et une affluence digne du métro aux heures de pointe. En cette veille de commémoration, étudiants, journalistes et visiteurs se bousculent dans ce nouveau lieu de mémoire consacré au mouvement du 4 juin. Le co-directeur des lieux : « Nous avons plus de 100 visiteurs par jour, et aujourd'hui probablement 200. C'est très important, car dans cette lutte entre la mémoire et l'oubli, le temps joue contre nous. Le gouvernement chinois interdit à son peuple d'en parler ou même de se renseigner. Nous devons garder la mémoire pour qu'il reconnaisse un jour sa faute. » Une mémoire aussi fragile que les quelques objets présentés. Un casque de moto très abimé d'un étudiant tué par balle, une banderole, un éditorial du quotidien du peuple appelant à prendre parti contre les « perturbateurs ». Et une histoire que les moins de vingt ans comme cette lycéenne hongkongaise n'ont heureusement pas connue : « Cela fait partie des cours d'histoire. Une fois que nous aurons notre diplôme, nous aurons peut-être des responsabilités dans la société. Nous devons connaître cette histoire pour éviter que Hong Kong ne devienne un nouveau Pékin. » Pour espérer durer encore quelques années, les locaux de ce nouveau musée inauguré en avril dernier ont été achetés grâce à un appel au don. Stéphane Lagarde, Hong Kong, RFI.

ZK : Les suites du feuilleton Julian Assange et cette décision d'un tribunal suédois qui rejette la demande d'arrestation du fondateur de WikiLeaks.

LB : Contrairement à ce que demandait le parquet qui espérait son transfèrement en Suède, le tribunal d'Uppsala juge toutefois recevables les éléments à charge pesant contre l'Australien, poursuivi pour un viol présumé commis en Suède en 2010 et détenu à Londres.

ZK : La France doit procéder à un « effort budgétaire structurel ambitieux » pour réduire sa dette publique.

LB : C'est ce que fait savoir le Fonds monétaire international qui juge cette dette « trop élevée et sujette à inquiétude » à moyen et long terme. D'autant qu'elle « a augmenté au cours des dernières années et que le pays dispose de peu de marge de manœuvre en cas de crise » ajoute le FMI à l'occasion de son évaluation annuelle de l'économie française.

ZK : L'économie en France, justement, et la visite agitée de Bruno Le Maire à Belfort.

LB : Sur le site industriel visé par les suppressions d'emplois de General Electrics qui avait racheté le pôle énergie d'Alstom, il y a quatre ans. General Electric qui a annoncé la semaine dernière qu'il prévoyait de supprimer 1 050 postes. « C'est trop », pour le ministre de l'Économie accueilli sous les sifflets de plusieurs centaines de salariés lors de son arrivée sur le site de Belfort aujourd'hui.

ZK : Le tennis à Roland-Garros avec la fin des huitièmes de finale, ce lundi. La fin, également, pour les Français engagés dans le tournoi.

LB : Puisque le dernier représentant tricolore, Gaël Monfils, s'est incliné en trois manches face à l'Autrichien Dominic Thiem. Le score : 6-4, 6-4, 6-2. Gaël Monfils, qui le reconnaît, n'est pas parvenu à inquiéter son adversaire, finaliste du tournoi l'an dernier.

Transcription non transmise.

C'était Gaël Monfils qui s'est incliné face à Dominic Thiem en trois manches et qui sort du tournoi de Roland-Garros. Propos recueillis par Frédéric Suteau. Un peu plus tôt, c'est Benoît Paire qui s'était incliné après 5 sets face à Kei Nishikori qui gagne de son côté le droit de défier Rafael Nadal en quart de finale. Et puis ce soir, c'est Karen Khachanov qui a remporté son match contre Juan Martin del Potro et qui se qualifie donc pour les quarts de finale. Tous les résultats de Roland-Garros, c'est à suivre sur rfi.fr et sur notre compte Instagram RFI sport, RFI. 22h10 à Paris.


Journal en français facile 03 juin 2019 Journal in easy French June 03, 2019

Loïc Buissières : 22h à Paris, 2h de moins temps universel. Bonsoir et bienvenue si vous nous rejoignez pour cette nouvelle édition de votre journal en français facile, journal que je vous présente en compagnie de Zéphyrin Kouadio. Good evening and welcome if you join us for this new edition of your newspaper in easy French, newspaper that I present to you in the company of Zéphyrin Kouadio. Bonsoir Zéphyrin.

Zéphyrin Kouadio : Bonsoir Loïc, bonsoir à toutes et à tous.

LB : À la Une ce soir : Donald Trump à Londres pour trois jours. Une visite d'État sur fond de Brexit et de succession de Theresa May. Deux sujets que le président américain ne se prive pas de commenter.

ZK : C'était il y a 30 ans, la répression de la place Tiananmen à Pékin. Des chars mettaient fin à sept semaines de protestations étudiantes. On y revient dans ce journal.

LB : Et puis l'actualité c'est aussi les sports et le tennis avec des Français qui quittent Roland-Garros. Le dernier représentant, Gaël Monfils, s'est incliné en trois manches face au 4ème joueur mondial, Dominic Thiem.

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ZK : Le président américain Donald Trump a entamé ce lundi une visite d'État de trois jours au Royaume-Uni.

LB : Avec, pour donner le ton, un tweet en forme d'attaque contre le maire de Londres. L'ambiance devrait être plus apaisée ce soir, puisque le couple Trump est invité à Buckingham pour un grand banquet d'État. Et malgré quelques signes de protestations devant le palais, Donald Trump a déjà estimé que tout se déroulait « à merveille ». Muriel Delcroix.

So far so good, la visite dont avait tant rêvé Donald Trump s'est jusqu'ici déroulée sans accroc majeur. La journée avait pourtant commencé avec une série de tweets rageurs du président, avant même son atterrissage, traitant de « loser » l'une de ses cibles favorites, Sadiq Khan, le maire de Londres. Une attaque frontale qui a donné des sueurs froides aux diplomates tant américains que britanniques, mais l'atmosphère s'est apaisée une fois les Trump accueillis par Elisabeth II dans les jardins de Buckingham et un déjeuner en petit comité. On attend maintenant d'écouter le discours de la reine et celui du président lors du banquet d'État en espérant que Donald Trump s'en tienne au script sans fausse note. Car ce n'est pas une visite d'État tout à fait comme les autres, d'ailleurs plusieurs traditions ont été discrètement abandonnées comme l'adresse du président aux deux chambres du Parlement. Et puis ce soir, Donald Trump ne dormira pas dans une des chambres d'invités de Buckingham, mais à la résidence de l'ambassadeur américain à Londres. Raison officielle, la réfection d'une des ailes du palais alors que Buckingham dispose en réalité de 52 chambres pour les invités de marque. Enfin, plusieurs personnalités boudent le banquet dont le chef de l'opposition Labour Jeremy Corbyn et il est clair que beaucoup verront cette visite s'achever mercredi avec soulagement. Muriel Delcroix, Londres, RFI.

ZK : En Irak, ils sont maintenant onze Français condamnés à mort pour « appartenance au groupe État islamique » après avoir été transférés en janvier de Syrie, où ils avaient été capturés par les Forces démocratiques syriennes. Tous ont maintenant 30 jours pour faire appel.

LB : L'actualité, c'est aussi la Syrie, 800 femmes et enfants ont commencé à quitter un camp connu pour accueillir des proches du groupe État islamique. Aujourd'hui, le camp d'al-Hol, dans le nord-est du pays, un camp surpeuplé, contrôlé par l'administration semi-autonome kurde. Cette dernière souhaite une réinsertion de ces familles dans la société. L'opération est une première, les initiatives de ce genre devraient se multiplier durant les prochaines semaines. Sami Boukhelifa.

La situation est insoutenable à al-Hol. 74 000 déplacés s'y entassent dans des conditions déplorables alors que ce camp est conçu à l'origine pour accueillir 20 000 personnes. Face à l'urgence humanitaire, les autorités kurdes ont décidé d'agir. Certes, il y a un risque important. Parmi ces familles qui quittent al-Hol, il y a des épouses et des enfants de jihadistes, mais pas question de les relâcher dans la nature sans surveillance. Des chefs tribaux syriens donnent des garanties. Ils s'engagent à scruter leurs faits et gestes une fois conduits auprès de leurs familles dans la région de Raqa. Un responsable kurde explique : « la rééducation et la réinsertion de ces enfants et de ces femmes dans la société est de notre devoir. ». Même durant la bataille contre le groupe État islamique, les Kurdes considéraient souvent les épouses de jihadistes comme des victimes. Des femmes n'ayant pas eu le choix de suivre leur époux au sein de l'organisation terroriste. D'autres familles syriennes devraient quitter al-Hol durant les prochaines semaines. Pas d'information en revanche concernant les étrangers. Des centaines de Françaises et leurs enfants vivent dans ce camp.

ZK : Sami Boukhelifa. L'actu internationale encore et cette condamnation de Paris après la violente dispersion d'un sit-in de manifestants au Soudan.

LB : Une intervention qui a fait au moins une trentaine de morts selon le dernier bilan. Les Nations unies appellent les autorités soudanaises à « cesser leurs attaques » et déplorent un « usage excessif de la force ». Cet accès de violence survient alors que les discussions entre les manifestants, qui réclament la restitution du pouvoir aux civils, et de l'autre côté le Conseil militaire, qui dirige le pays depuis le renversement par l'armée du président Omar el-Béchir, et ces discussions donc sont dans l'impasse.

ZK : En Chine, c'était il y a 30 ans, la répression dans le sang des manifestations de la place Tiananmen à Pékin.

LB : À Pékin, il est 4h. Nous sommes déjà le 4 juin, date « anniversaire » de cette page de l'histoire contemporaine. Ce mardi soir, les Hongkongais se réuniront comme chaque année pour un rassemblement aux bougies dans un parc en hommage aux victimes. Stéphane Lagarde s'est rendu au nouveau musée du 4 juin à Hong Kong, inauguré pour ce 30ème anniversaire.

102 mètres carrés dans un immeuble commercial du quartier de Mong Kok et une affluence digne du métro aux heures de pointe. En cette veille de commémoration, étudiants, journalistes et visiteurs se bousculent dans ce nouveau lieu de mémoire consacré au mouvement du 4 juin. Le co-directeur des lieux : « Nous avons plus de 100 visiteurs par jour, et aujourd'hui probablement 200. C'est très important, car dans cette lutte entre la mémoire et l'oubli, le temps joue contre nous. Le gouvernement chinois interdit à son peuple d'en parler ou même de se renseigner. Nous devons garder la mémoire pour qu'il reconnaisse un jour sa faute. » Une mémoire aussi fragile que les quelques objets présentés. Un casque de moto très abimé d'un étudiant tué par balle, une banderole, un éditorial du quotidien du peuple appelant à prendre parti contre les « perturbateurs ». Et une histoire que les moins de vingt ans comme cette lycéenne hongkongaise n'ont heureusement pas connue : « Cela fait partie des cours d'histoire. Une fois que nous aurons notre diplôme, nous aurons peut-être des responsabilités dans la société. Nous devons connaître cette histoire pour éviter que Hong Kong ne devienne un nouveau Pékin. » Pour espérer durer encore quelques années, les locaux de ce nouveau musée inauguré en avril dernier ont été achetés grâce à un appel au don. Stéphane Lagarde, Hong Kong, RFI.

ZK : Les suites du feuilleton Julian Assange et cette décision d'un tribunal suédois qui rejette la demande d'arrestation du fondateur de WikiLeaks.

LB : Contrairement à ce que demandait le parquet qui espérait son transfèrement en Suède, le tribunal d'Uppsala juge toutefois recevables les éléments à charge pesant contre l'Australien, poursuivi pour un viol présumé commis en Suède en 2010 et détenu à Londres.

ZK : La France doit procéder à un « effort budgétaire structurel ambitieux » pour réduire sa dette publique.

LB : C'est ce que fait savoir le Fonds monétaire international qui juge cette dette « trop élevée et sujette à inquiétude » à moyen et long terme. D'autant qu'elle « a augmenté au cours des dernières années et que le pays dispose de peu de marge de manœuvre en cas de crise » ajoute le FMI à l'occasion de son évaluation annuelle de l'économie française.

ZK : L'économie en France, justement, et la visite agitée de Bruno Le Maire à Belfort.

LB : Sur le site industriel visé par les suppressions d'emplois de General Electrics qui avait racheté le pôle énergie d'Alstom, il y a quatre ans. General Electric qui a annoncé la semaine dernière qu'il prévoyait de supprimer 1 050 postes. « C'est trop », pour le ministre de l'Économie accueilli sous les sifflets de plusieurs centaines de salariés lors de son arrivée sur le site de Belfort aujourd'hui.

ZK : Le tennis à Roland-Garros avec la fin des huitièmes de finale, ce lundi. La fin, également, pour les Français engagés dans le tournoi.

LB : Puisque le dernier représentant tricolore, Gaël Monfils, s'est incliné en trois manches face à l'Autrichien Dominic Thiem. Le score : 6-4, 6-4, 6-2. Gaël Monfils, qui le reconnaît, n'est pas parvenu à inquiéter son adversaire, finaliste du tournoi l'an dernier.

Transcription non transmise.

C'était Gaël Monfils qui s'est incliné face à Dominic Thiem en trois manches et qui sort du tournoi de Roland-Garros. Propos recueillis par Frédéric Suteau. Un peu plus tôt, c'est Benoît Paire qui s'était incliné après 5 sets face à Kei Nishikori qui gagne de son côté le droit de défier Rafael Nadal en quart de finale. Et puis ce soir, c'est Karen Khachanov qui a remporté son match contre Juan Martin del Potro et qui se qualifie donc pour les quarts de finale. Tous les résultats de Roland-Garros, c'est à suivre sur rfi.fr et sur notre compte Instagram RFI sport, RFI. 22h10 à Paris.