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RFI - Journal en français facile 2017 - 2020, Journal en français facile 10 janvier 2018

Journal en français facile 10 janvier 2018

21 h Paris

20 h TU

Gilles Moreau : Bonsoir à toutes et tous. Bienvenue dans votre Journal en français facile, présenté ce soir avec Sylvie Berruet. Bonsoir !

Dans l'actualité

Les bombardements de l'armée syrienne dans la province d'Idleb. La Turquie redoute une nouvelle catastrophe humanitaire. Elle demande à la Russie et à l'Iran d'intervenir auprès des autorités de Damas.

SB : Nouvelle manifestations ce soir en Tunisie. Les manifestants protestent contre la vie chère et la politique d'austérité. La nuit dernière, 200 personnes ont été arrêtées et des dizaines de policiers blessés.

GM : Donald Trump n'exclut pas d'ouvrir des pourparlers directs avec la Corée du Nord. Le président américain l'a dit lors d'une conversation avec son homologue Moon Jae In, le président sud-coréen.

SB : En Syrie, la situation humanitaire s'aggrave dans la province d'Idleb où le régime mène une offensive contre les jihadistes.

GM : Située dans le nord-ouest du pays, c'est la dernière province du pays qui échappe entièrement au pouvoir. D'après l'ONU, près de 100.000 personnes ont fui depuis début décembre les combats dans cette province. La Turquie, qui se trouve à proximité, redoute une nouvelle catastrophe humanitaire. Son gouvernement a demandé à la Russie et à l'Iran d'"assumer leurs responsabilités" en stoppant cette offensive du régime syrien.

Sami Boukhelifa :

« L'armée de Bachar Al Assad, s'est fixée un objectif : reprendre coûte que coûte la province d'Idlib, l'une des dernières régions qui échappent encore à son contrôle, en Syrie. Dans son offensive, elle est soutenue par ses alliés russes et iraniens. Depuis le 25 décembre, la bataille est engagée et les troupes gagnent du terrain. Mais pour la Turquie, trop c'est trop, cette bataille ne peut plus durer. Plusieurs raisons à cela selon son ministre des Affaires étrangères : la province d'Idleb est frontalière de son pays. Si les combats se poursuivent, il redoute un afflux massif de réfugiés syriens. La Turquie en accueille déjà plus de trois millions. Autre raison : Ankara soutient les rebelles qui contrôlent Idleb, et craint de voir ses protégés laminés par la force de frappe des armées syrienne, russe et iranienne. Celles-ci affirment combattre des djihadistes à Idleb. Mais la Turquie, leur demande d'identifier et de localiser avec précision ces groupes terroristes avant de passer à l'action. Ankara rappelle que les rebelles sont à la table des négociations de Sotchi. Parrainés par la Russie, l'Iran et la Turquie ces pourparlers ont pour objectif de mettre un terme au conflit syrien. » SB : L'armée israélienne a déployé ses forces aujourd'hui autour de la ville de Naplouse en Cisjordanie occupée. GM : Elle est à la recherche des meurtriers d'un colon tué par balles mardi soir alors qu'il circulait dans sa voiture près de la colonie de Havat Gilad où il vivait. Des responsables israéliens ont dénoncé un acte commis par des Palestiniens dans un contexte de fortes tensions entre les deux camps.

SB : La coalition conduite par l'Arabie saoudite annonce avoir déjoué une attaque des rebelles Houthis contre un tanker (un navire pétrolier), le week-end dernier en mer Rouge.

GM : Ces rebelles ont menacé de bloquer la circulation sur la mer Rouge si le blocus imposé au Yémen n'était pas levé.

Explications de Toufic Benaïchouche :

« La menace a été proférée ce mardi par un chef des rebelles houthis. L'Arabie saoudite et la coalition qu'elle dirige a décrété un blocus quasi hermétique du Yémen. Un blocus terrestre, aérien et maritime. Le Yémen en temps normal est déjà un des pays les plus pauvres de la planète. Avec la guerre interne, les conditions se sont aggravées, mais le blocus rend les choses encore plus tragiques. L'ONU réclame inlassablement la levée du blocus, en vigueur depuis mars 2015. Rien n'y fait. Les Nations-Unies parlent de la pire crise humanitaire de la planète. Des millions de personnes souffrent de malnutrition et de choléra. Trop c'est trop, pour le chef politique des rebelles, Saleh al-Samad. Il a menacé de couper la circulation sur la mer Rouge, à moins que le blocus portuaire et aéroportuaire imposé par l'Arabie saoudite et ses alliés ne soit levé. C'est par la mer Rouge que transite l'essentiel de l'approvisionnement en pétrole de l'occident. "Ils traversent nos eaux avec leurs navires alors que notre peuple meurt de faim", a dénoncé Saleh el Samad dans un communiqué publié par la télévision rebelle Al-Masirah. » SB : En Tunisie, après une journée plutôt calme, des manifestants sont à nouveau descendus dans la soirée dans les rues de Tebourba, localité située à 30 km à l'ouest de la capitale Tunis. GM : C'est là qu'un manifestant a été tué en début de semaine. Dans l'ensemble du pays, le bilan des troubles de la nuit dernière est lourd : environ 200 personnes ont été arrêtés et des dizaines de policiers blessés. Dans ce pays qui a vu naître le Printemps arabe, en 2010, les premières manifestations, pacifiques, ont éclaté la semaine dernière, contre la hausse des prix et contre un budget d'austérité.

SB : En Côte d'Ivoire, le porte-parole du gouvernement annonce le retour au calme à Bouaké, après les incidents d'hier soir.

GM : Le camp d'une unité d'élite de la police et de la gendarmerie a été attaqué et vandalisé par des soldats ivoiriens. Les hommes de ce camp ( le CCDO) ont maintenant repris le contrôle de la situation. Le bilan serait d'une personne blessée, toujours selon le porte-parole du gouvernement ivoirien. L'année dernière, d'anciens rebelles intégrés dans l'armée s'étaient mutinés dans ce même camp de Bouaké.

SB : Donald Trump n'est pas hostile ( n' est pas opposé ) à l'ouverture de pourparlers directs entre les Etats-Unis et la Corée du Nord.

GM : ... mais à certaines conditions, précise le président américain. ll l'a dit lors d'une conversation téléphonique avec son homologue sud-coréen, le président Moon Jae-In. Après des mois de vives tensions, le ton a sensiblement changé au cours des dernières semaines entre Washington et Pyongyang. Donald Trump n' a pas exclu, à priori, la possibilité d'un échange téléphonique avec Kim Jong Un, le dirigeant de la Corée du Nord.

SB : Direction la Colombie. Les rebelles de l'Armée de libération nationale ont repris leurs attaques quelques heures après la fin d'un accord de cessez-le-feu, et alors que la reprise des négociations était programmée.

GM : Ecoutons la réaction du Président colombien Juan Manuel Santos. Il évoque des " attaques terroristes inexplicables" :

"D'une façon inexplicable l'ELN a non seulement refusé de revenir à la table de négociations mais en plus l'ELN a repris les attaques terroristes le jour même où devait débuter le nouveau cycle des négociations. Face à cette situation, j'ai parlé avec le négociateur en chef du gouvernement à Quito, Gustavo Bell, afin qu'il revienne immédiatement à Bogota pour évaluer l'avenir du processus. Parallèlement, j'ai réitéré à nos forces armées l'ordre de répondre avec force à cette agression et pour protéger la vie et l'honneur des Colombiens, car c'est leur devoir constitutionnel".

GM : le président colombien Juan Manuel Santos.

SB : Emmanuel Macron a terminé sa première visite en Chine.

GM : Visite de trois jours largement dominée par le projet chinois des "Nouvelles routes de la soie", vaste projet d'investissements dans les infrastructures à destination de l'Europe. Quant aux accords commerciaux conclus entre Français et Chinois, le plus spectaculaire concerne Areva qui a décroché la construction d'une usine de retraitement de déchets nucléaires. Projet d'au moins 10 milliards d'euros.

SB : Evoquons un Conseil scientifique pour changer l'école française.

GM : Ce Conseil a pour ambition de développer une pédagogie fondée sur les neurosciences. Présidé par un neuroscientifique, il s'est réuni pour la première fois aujourd'hui.

Laurence Théault : «Peut-on apprendre aux enfants à apprendre ? Voilà une des principales questions dont va se saisir ce conseil scientifique de l'éducation nationale. Selon son président Stanislas Dehène, spécialiste du cerveau et l'un des pontes des neurosciences, l'idée est de s'appuyer sur des études scientifiques pour optimiser l'apprentissage des enfants. Ensuite, ce sera aux enseignants de s'en emparer pour les transformer en pédagogies effectives. On entend beaucoup parler des neurosciences parfois sans bien comprendre ce qu'elles englobent. En version raccourcie, les neurosciences sont des sciences du cerveau : grâce à l'imagerie médicale, les chercheurs sont en mesure de regarder en temps réel le fonctionnement du cerveau. Appliqué en éducation, cela permet de scruter les zones du cerveau qui s'activent chez les enfants pendant les apprentissages. La nomination d'un neuroscientifique à la tête de ce conseil avait suscité une crainte : les neurosciences n'allaient-elles pas exercer une forme d'emprise sur les politiques éducatives ? Le Snuipp, principal syndicat du primaire, avait signé un appel en ce sens. L'alerte a fonctionné puisque des chercheurs en sciences cognitives, mais aussi des sociologues, philosophes et mathématiciens figurent parmi les 20 personnalités qui composent ce conseil scientifique. » GM : Cinq hommes armés ont attaqué le Ritz, le célèbre palace parisien. Après avoir brisé des vitrines, ils se sont emparés de bijoux. Trois braqueurs ont été arrêtés et deux sont toujours en fuite. Le butin est estimé à "plusieurs millions d'euros".

C'est la fin de votre Journal en français facile, à retrouver sur notre site à la page RFI Savoirs.

Bonsoir à tous !

Journal en français facile 10 janvier 2018 Journal en français facile January 10, 2018

21 h Paris

20 h TU

Gilles Moreau  : Bonsoir à toutes et tous. Bienvenue dans votre Journal en français facile, présenté ce soir avec Sylvie Berruet. Bonsoir !

Dans l’actualité

Les bombardements de l’armée syrienne dans la province d’Idleb. La Turquie redoute une nouvelle catastrophe humanitaire. Elle demande à la Russie et à l’Iran d’intervenir auprès des autorités de Damas.

SB : Nouvelle manifestations ce soir en Tunisie. Les manifestants protestent contre la vie chère et la politique d’austérité. La nuit dernière, 200 personnes ont été arrêtées et des dizaines de policiers blessés.

GM : Donald Trump n’exclut pas d’ouvrir des pourparlers directs avec la Corée du Nord. Le président américain l’a dit lors d’une conversation avec son homologue Moon Jae In, le président sud-coréen.

SB : En Syrie, la situation humanitaire s’aggrave dans la province d’Idleb où le régime mène une offensive contre les jihadistes.

GM : Située dans le nord-ouest du pays, c’est la dernière province du pays qui échappe entièrement au pouvoir. D’après l’ONU, près de 100.000 personnes ont fui depuis début décembre les combats dans cette province. La Turquie, qui se trouve à proximité, redoute une nouvelle catastrophe humanitaire. Son gouvernement a demandé à la Russie et à l’Iran d'"assumer leurs responsabilités" en stoppant cette offensive du régime syrien.

Sami Boukhelifa :

« L’armée de Bachar Al Assad, s’est fixée un objectif : reprendre coûte que coûte la province d’Idlib, l’une des dernières régions qui échappent encore à son contrôle, en Syrie. Dans son offensive,  elle est soutenue par ses alliés russes et iraniens. Depuis le 25 décembre, la bataille est engagée et les troupes gagnent du terrain. Mais pour la Turquie, trop c’est trop, cette bataille ne peut plus durer. Plusieurs raisons à cela selon son ministre des Affaires étrangères : la province d’Idleb est frontalière de son pays. Si les combats se poursuivent, il redoute un afflux massif de réfugiés syriens. La Turquie en accueille déjà plus de trois millions. Autre raison : Ankara soutient les rebelles qui contrôlent Idleb, et craint de voir ses protégés laminés par la force de frappe des armées syrienne, russe et iranienne. Celles-ci affirment combattre des djihadistes à Idleb. Mais la Turquie, leur demande d’identifier et de localiser avec précision ces groupes terroristes avant de passer à l’action. Ankara rappelle que les rebelles sont à la table des négociations de Sotchi. Parrainés par la Russie, l’Iran et la Turquie ces pourparlers ont pour objectif de mettre un terme au conflit syrien. »     SB : L’armée israélienne a déployé ses forces aujourd’hui autour de la ville de Naplouse en Cisjordanie occupée. GM : Elle est à la recherche des meurtriers d’un colon tué par balles mardi soir alors qu’il circulait dans sa voiture près de la colonie de Havat Gilad où il vivait. Des responsables israéliens ont dénoncé un acte commis par des Palestiniens dans un contexte de fortes tensions entre les deux camps.

SB : La coalition conduite par l’Arabie saoudite annonce avoir déjoué une attaque des rebelles Houthis contre un tanker (un navire pétrolier), le week-end dernier en mer Rouge.

GM : Ces rebelles ont menacé de bloquer la circulation sur la mer Rouge si le blocus imposé au Yémen n’était pas levé.

Explications de Toufic Benaïchouche :

« La menace a été proférée ce mardi par un chef des rebelles houthis. L’Arabie saoudite et la coalition qu’elle dirige  a décrété un blocus quasi hermétique du Yémen. Un blocus terrestre, aérien et maritime. Le Yémen en temps normal est déjà un des pays les plus pauvres de la planète. Avec la guerre interne, les conditions se sont aggravées, mais le blocus rend les choses encore plus  tragiques. L’ONU réclame inlassablement la levée du blocus, en vigueur depuis mars 2015. Rien n’y fait. Les Nations-Unies parlent de la pire crise humanitaire de la planète. Des millions de personnes souffrent de malnutrition et de choléra. Trop c’est trop, pour le chef politique des rebelles, Saleh al-Samad. Il a menacé de couper la circulation sur la mer Rouge, à moins que le blocus portuaire et aéroportuaire imposé par l’Arabie saoudite et ses alliés ne soit levé. C’est par la mer Rouge que transite l’essentiel de l’approvisionnement en pétrole de l’occident. "Ils traversent nos eaux avec leurs navires alors que notre peuple meurt de faim", a dénoncé Saleh el Samad dans un communiqué publié par la télévision rebelle Al-Masirah. »                                                                         SB : En Tunisie, après une journée plutôt calme, des manifestants sont à nouveau descendus dans la soirée dans les rues de Tebourba, localité située à 30 km à l’ouest de la capitale Tunis. GM : C’est là qu’un manifestant a été tué en début de semaine. Dans l’ensemble du pays, le bilan des troubles de la nuit dernière est lourd : environ 200 personnes ont été arrêtés et des dizaines de policiers blessés. Dans ce pays qui a vu naître le Printemps arabe, en 2010, les premières manifestations, pacifiques, ont éclaté la semaine dernière, contre la hausse des prix et contre un budget d’austérité.

SB : En Côte d’Ivoire, le porte-parole du gouvernement annonce le retour au calme à Bouaké, après les incidents d’hier soir.

GM : Le camp d’une unité d’élite de la police et de la gendarmerie a été attaqué et vandalisé par des soldats ivoiriens. Les hommes de ce camp ( le CCDO) ont maintenant repris le contrôle de la situation. Le bilan serait d’une personne blessée, toujours selon le porte-parole du gouvernement ivoirien. L’année dernière, d’anciens rebelles intégrés dans l’armée s’étaient mutinés dans ce même camp de Bouaké.

SB : Donald Trump n’est pas hostile ( n' est pas opposé ) à l’ouverture de pourparlers directs entre les Etats-Unis et la Corée du Nord.

GM : ... mais à certaines conditions, précise le président américain. ll l’a dit lors d’une conversation téléphonique avec son homologue sud-coréen, le président Moon Jae-In. Après des mois de vives tensions, le ton a sensiblement changé au cours des dernières semaines entre Washington et Pyongyang. Donald Trump n' a pas exclu, à priori, la possibilité d’un échange téléphonique avec Kim Jong Un, le dirigeant de la Corée du Nord.

SB  : Direction la Colombie. Les rebelles de l’Armée de libération nationale  ont repris leurs attaques  quelques heures après la fin d’un accord de cessez-le-feu, et alors que la reprise des négociations était programmée.

GM : Ecoutons la réaction du Président colombien Juan Manuel Santos. Il évoque des " attaques terroristes inexplicables" :

"D’une façon inexplicable l’ELN a non seulement refusé de revenir à la table de négociations mais en plus l’ELN  a repris les attaques terroristes le jour même où devait débuter le nouveau cycle des négociations. Face à cette situation, j’ai parlé avec le négociateur en chef du gouvernement à Quito,  Gustavo Bell, afin qu’il revienne immédiatement à Bogota pour évaluer l’avenir du processus. Parallèlement, j’ai réitéré à nos forces armées l’ordre de répondre avec force à cette agression et  pour  protéger la vie et l’honneur des Colombiens, car c’est leur devoir constitutionnel".

GM : le président colombien Juan Manuel Santos.

SB : Emmanuel Macron a terminé sa première visite en Chine.

GM : Visite de trois jours largement dominée par le projet chinois des "Nouvelles routes de la soie", vaste projet d’investissements dans les infrastructures à destination de l’Europe. Quant aux accords commerciaux conclus entre Français et Chinois,  le plus spectaculaire concerne Areva qui a décroché la construction d’une usine de retraitement de déchets nucléaires. Projet d’au moins 10 milliards d’euros.

SB : Evoquons un Conseil scientifique pour changer l’école française.

GM : Ce Conseil a pour ambition de développer une pédagogie fondée sur les neurosciences. Présidé par un neuroscientifique, il s’est réuni pour la première fois aujourd’hui.

Laurence Théault : «Peut-on apprendre aux enfants à apprendre ? Voilà une des  principales questions dont va se saisir ce conseil scientifique de l’éducation nationale. Selon son président Stanislas  Dehène, spécialiste du cerveau et l’un des pontes des neurosciences, l’idée est de s’appuyer sur des études scientifiques pour optimiser  l’apprentissage des enfants. Ensuite, ce sera aux enseignants de s’en emparer pour les transformer en pédagogies effectives. On entend beaucoup parler des neurosciences parfois sans bien comprendre ce qu’elles englobent. En version raccourcie, les neurosciences sont des sciences  du cerveau : grâce  à l’imagerie médicale, les chercheurs sont en mesure de regarder en temps réel le fonctionnement du cerveau. Appliqué en éducation, cela permet de scruter les zones  du cerveau qui s’activent chez les enfants pendant les apprentissages. La nomination d’un neuroscientifique à la tête de ce conseil avait suscité une crainte : les neurosciences n’allaient-elles pas exercer une forme d’emprise sur les politiques éducatives ? Le Snuipp, principal syndicat du primaire, avait signé un appel en ce sens. L’alerte a fonctionné puisque   des chercheurs en sciences cognitives, mais aussi des sociologues, philosophes et mathématiciens figurent parmi les 20 personnalités qui composent ce conseil scientifique. » GM : Cinq hommes armés ont attaqué le Ritz, le célèbre palace parisien. Après avoir brisé des vitrines, ils se sont emparés de bijoux. Trois braqueurs ont été arrêtés et deux sont toujours en fuite. Le butin est estimé à "plusieurs millions d’euros".

C’est la fin de votre Journal en français facile, à retrouver sur notre site à la page RFI Savoirs.

Bonsoir à tous !