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Kaamelot, #152-Haunted

#152-Haunted

En plein milieu de la nuit, Arthur et Guenièvre sont en train de dormir quand on entend des coups à la porte. Ils se réveillent en sursaut, et le Roi accuse la Reine de ronfler et du coup de l'avoir réveillé. Elle s'excuse, puis se rendort. Mais les coups à la porte se répêtent, et cette fois Arthur se lève. Générique. Dans la salle du trône, Arthur est avec un Bohort complètement paniqué. Ce dernier est persuadé d'avoir vu le fantôme de Pendragon sur le trône du Roi, sauf qu'il n'y a rien. Le Roi soupçonne Bohort d'avoir halluciné ou encore de ne pas avoir digéré son repas du soir. Le Chevalier insiste, disant que le fantôme était "ébouriffé" et "vaporeux", mais le Roi lui répète que son père est mort depuis longtemps, enterré dans la crypte royale, et que c'est pas maintenant qu'il va essayer de prendre le pouvoir alors qu'il n'a même pas su le garder quand il était vivant. Il ajoute que de toute façon Kaamelott n'existait même pas du temps de Pendragon, et que son père n'était ni "vaporeux" ni "ébouriffé" même s'il était mal coiffé. Puis il retourne se coucher. Plus tard, le Roi a raccompagné Bohort devant la porte de sa chambre, mais ce dernier refuse de rester seul et demande à être accompagné jusqu'à son lit. Arthur refuse bien évidemment, et apprend à Bohort que la semaine passée, le Roi Loth à torturé un de ses chevaliers pour une broutille. Le froussard ne voit pas le rapport avec le fantôme. Arthur lui fait un récapitulatif : il se fait réveiller en pleine nuit parce que son père se ballade soi-disant dans les couloirs, il va voir, il attend alors qu'il n'y a rien, ensuite il le raccompagne à sa chambre. Après tout ça, on peut certes considérer qu'il fait partie des Souverains souples et plus que patients. Sauf que Bohort n'en démord pas et reste paniqué par ce qu'il a vu. Il dit finalement au Roi qui le raccompagne à sa chambre... à condition qu'ensuite Arthur le re-raccompagne jusqu'à la sienne. Quelques minutes plus tard. Bohort réveille de nouveau Arthur. Ce dernier apparait sur le pas de la porte avec une expression désespérée et agacée sur le visage. Il dit d'une voix calme au Chevalier qu'il va être obligé de le faire descendre au cachot, pour qu'il puisse réfléchir tranquillement au fait qu'on ne réveille pas son Roi comme ça en plein milieu de la nuit pour n'importe quoi. Bohort explique malgré tout qu'il a entendu des cris, et que si Arthur ne les a pas entendu c'est qu'il dormait. Ce dernier confirme, puis lui ordonne de partir avant qu'il ne le mette en prison. Bohort fini par capituler... avant de demander une nouvelle fois à ce qu'on le raccompagne dans sa chambre. Générique fin. Arthur a enfin retrouvé son lit. Guenièvre s'est réveillée et demande à son mari ce qu'il fabrique. Ce dernier lui répond qu'il "se tape Bohort", ce qui fait sourire la Reine. Arthur tente de se rattraper, mais Bohort frappe de nouveau à la porte. Voix off : Arthur se lève en disant que cette fois, il se le fait. Rédigé par Holly95 pour HypnoseriesKaamelott

Arthur et Guenièvre sont en train de dormir. Quelqu'un frappe à la porte. Arthur sursaute, ce qui réveille aussi Guenièvre.

Guenièvre : Qu'est-ce qu'il y a ? (à moitié endormie)

Roi Arthur : "Qu'est-ce qu'il y a ?"... Vous ronflez !

Guenièvre : Ah, pardon.

Roi Arthur : "pardon." ... oui. Vous m'avez réveillé ! Vous pourriez faire gaffe quand même, je me lève tôt.

Ils se remettent tout juste à dormir lorsqu'on refrappe à la porte. Arthur sursaute à nouveau, et s'aperçoit que ce ne sont pas les ronflements de Guenièvre qui l'ont réveillé. Intrigué, il se demande ce que c'était. Générique

Arthur et Bohort sont au milieu de la salle du trône.

Arthur : Y'a rien Bohort ! Bohort : Attendons encore quelques minutes, ça va peut-être revenir.

Arthur : Mais ça fait un quart d'heure qu'on se gêle les roupes en plein milieu là. Je me lève dans quatre heures mon petit pote ! Alors vous avez rêvé, y'a personne, bonne nuit. Bohort : Mais je suis pourtant pas fou. Votre père se trouvait là, sur votre trône, sa chevelure toute ébouriffée, il était entouré d'un halo blanc et vaporeux. Il disait qu'il allait revenir prendre le pouvoir. Arthur (agacé): Soyons franc Bohort, je ne sais pas ce que vous avez bouffé avant de vous mettre au plumard, mais vous m'avez tout l'air d'avoir fait ce qu'on appelle communément "un mauvais rêve". Bohort : Mais votre père...

Arthur : Mais mon père il est calanché depuis longtemps. Il est enterré dans la crypte avec sa couronne, son armure et tout le barda. Je vois difficilement comment est-ce qu'il pourrait revenir prendre le pouvoir, d'autant qu'il a jamais été foutu de le garder de son vivant. Bohort : Kaamelott est hanté, Sire.

Arthur : Mais non !

Bohort : Pendragon est venu reprendre sa place.

Arthur : Mais Pendragon, sa place, ça a jamais été là. Kaamelott, ça existait même pas de son temps.

Bohort : Mais pourtant c'était lui, je l'ai reconnu. Arthur : Mais non. Mon père il était pas ébouriffé déjà, hein. Il avait une coupe à la con mais c'était plutôt aplati. Et puis il était pas vaporeux. Allez au lit. (Il s'en va) *

Un peu plus tard devant la chambre de Bohort.

Arthur : C'est bon maintenant, je peux aller me coucher ? Bohort : Attendez Sire, vous n'allez pas me laisser seul ici. Arthur : Vous êtes à votre chambre, qu'est-ce que vous voulez de mieux ? Bohort : Heu, ma chambre, mais qui va m'accompagner jusqu'à mon lit ? Arthur : Oh mais c'est pas vrai ! Mais vous allez me gonfler jusqu'à quand ? Une heure que je crapahute dans le chateau avec ma bougie, ça va bien maintenant !

Bohort : Sire, je vous en conjure, il ne faut pas qu'on se sépare, le spectre de votre père crie vengeance. Arthur : Vous savez Bohort, que pas plus tard que la semaine dernière en Orcanie, le roi Loth a fait arracher la langue et les ongles d'un de ses Chevaliers parce qu'il lui avait renversé du jus de viande sur les pompes. Bohort : Quel rapport avec le fantôme ?

Arthur : Vous trouvez pas que comme souverain, je fais quand même partie des souples ? Vous me réveillez en pleine nuit, sous prétexte que mon père se ballade dans les couloirs. Moi, bonne pomme, je me lève, je vais voir, j'attends pendant des plombes, et au bout d'un moment quand manifestement y'a rien - parce que manifestement y'a rien Bohort admettez-le - je vous raccompagne jusqu'à votre porte parce que vous chiez dans vos caleçons. Bohort : Je ne chie pas dans mes caleçons Sire. Je vous réveille pour un cas de force majeure. Uther Pendragon crie vengeance, vous êtes en danger !

Arthur : Non, mais moi ça va Bohort. Je vous remercie de votre sollicitude mais je vais me débrouiller.

Bohort : Vous partez ?

Arthur : Oui je pars ! je pars me coucher figurez-vous !

Bohort : Je vous accompagne.

Arthur : Pas question !

Bohort : Je ne fais que mon devoir. Le Roi est en danger, je lui fais escorte.

Arthur : Donc, vous m'accompagnez jusqu'à ma porte et vous revenez ? Bohort : Voilà... Sauf que quand je reviens, il faut me raccompagner.

*

Peu après devant la chambre d'Arthur. Arthur ouvre la porte et voit Bohort.

Arthur : (exaspéré) Bohort, je vais vous faire mettre au cachot.

Bohort : Attendez, écoutez-moi !

Arthur : Non mais, je vous écoute, je vous écoute, seulement je vous préviens, je vous le dis, je vais vous faire descendre en cabane avec un pichet de flotte un bout de pain sec. Je suis désolé, je suis démuni, je vois pas d'autre solution. Puis je pense que ça vous donnera un peu l'occasion de réfléchir un peu à tout ça tête reposée. Prendre un peu de recul sur les choses parce que, Bohort, on ne réveille pas son roi en pleine nuit pour des conneries, encore moins deux fois de suite.

Bohort : J'ai très nettement entendu des cris dans le couloir. Arthur : Mais oui, mais comment expliquez-vous le fait que moi je ne les ai pas entendus ?

Bohort : Mais, parce que vous dormiez.

Arthur : Précisément !

Bohort : Alors, qu'est-ce qu'on fait, Sire ? Arthur : Ben, vous allez vous recoucher ou je vous fais foutre au trou.

Bohort : Bon... Libre à vous de ne pas tenir compte de mes mises en garde.

Arthur : Merci bien.

Bohort : Par contre, il faut me raccompagner à ma chambre.

Générique

Arthur se recouche dans son lit, ce qui réveille Guenièvre.

Guenièvre : Qu'est-ce que vous trafiquez depuis tout à l'heure ? Arthur : Je me tape Bohort.

Guenièvre est surprise.

Arthur : Enfin, je me tape Bohort...

Guenièvre : Oh, vous faites ce que vous voulez, hein.

Arthur : Non mais. Oh, bref...

On frappe à nouveau à la porte.

Arthur : Ce coup là, je me le fais.

Rédigé par Benoy pour Kaamelott Hypnoséries


#152-Haunted

En plein milieu de la nuit, Arthur et Guenièvre sont en train de dormir quand on entend des coups à la porte. Ils se réveillent en sursaut, et le Roi accuse la Reine de ronfler et du coup de l'avoir réveillé. Elle s'excuse, puis se rendort. Mais les coups à la porte se répêtent, et cette fois Arthur se lève. Générique. Dans la salle du trône, Arthur est avec un Bohort complètement paniqué. Ce dernier est persuadé d'avoir vu le fantôme de Pendragon sur le trône du Roi, sauf qu'il n'y a rien. Le Roi soupçonne Bohort d'avoir halluciné ou encore de ne pas avoir digéré son repas du soir. Le Chevalier insiste, disant que le fantôme était "ébouriffé" et "vaporeux", mais le Roi lui répète que son père est mort depuis longtemps, enterré dans la crypte royale, et que c'est pas maintenant qu'il va essayer de prendre le pouvoir alors qu'il n'a même pas su le garder quand il était vivant. Il ajoute que de toute façon Kaamelott n'existait même pas du temps de Pendragon, et que son père n'était ni "vaporeux" ni "ébouriffé" même s'il était mal coiffé. Puis il retourne se coucher. Plus tard, le Roi a raccompagné Bohort devant la porte de sa chambre, mais ce dernier refuse de rester seul et demande à être accompagné jusqu'à son lit. Arthur refuse bien évidemment, et apprend à Bohort que la semaine passée, le Roi Loth à torturé un de ses chevaliers pour une broutille. Le froussard ne voit pas le rapport avec le fantôme. Arthur lui fait un récapitulatif : il se fait réveiller en pleine nuit parce que son père se ballade soi-disant dans les couloirs, il va voir, il attend alors qu'il n'y a rien, ensuite il le raccompagne à sa chambre. Après tout ça, on peut certes considérer qu'il fait partie des Souverains souples et plus que patients. Sauf que Bohort n'en démord pas et reste paniqué par ce qu'il a vu. Il dit finalement au Roi qui le raccompagne à sa chambre... à condition qu'ensuite Arthur le re-raccompagne jusqu'à la sienne. Quelques minutes plus tard. Bohort réveille de nouveau Arthur. Ce dernier apparait sur le pas de la porte avec une expression désespérée et agacée sur le visage. Il dit d'une voix calme au Chevalier qu'il va être obligé de le faire descendre au cachot, pour qu'il puisse réfléchir tranquillement au fait qu'on ne réveille pas son Roi comme ça en plein milieu de la nuit pour n'importe quoi. Bohort explique malgré tout qu'il a entendu des cris, et que si Arthur ne les a pas entendu c'est qu'il dormait. Ce dernier confirme, puis lui ordonne de partir avant qu'il ne le mette en prison. Bohort fini par capituler... avant de demander une nouvelle fois à ce qu'on le raccompagne dans sa chambre. Générique fin. Arthur a enfin retrouvé son lit. Guenièvre s'est réveillée et demande à son mari ce qu'il fabrique. Ce dernier lui répond qu'il "se tape Bohort", ce qui fait sourire la Reine. Arthur tente de se rattraper, mais Bohort frappe de nouveau à la porte. Voix off : Arthur se lève en disant que cette fois, il se le fait. Rédigé par Holly95 pour HypnoseriesKaamelott

Arthur et Guenièvre sont en train de dormir. Quelqu'un frappe à la porte. Arthur sursaute, ce qui réveille aussi Guenièvre.

Guenièvre : Qu'est-ce qu'il y a ? (à moitié endormie)

Roi Arthur : "Qu'est-ce qu'il y a ?"... Vous ronflez !

Guenièvre : Ah, pardon.

Roi Arthur : "pardon." ... oui. Vous m'avez réveillé ! Vous pourriez faire gaffe quand même, je me lève tôt.

Ils se remettent tout juste à dormir lorsqu'on refrappe à la porte. Arthur sursaute à nouveau, et s'aperçoit que ce ne sont pas les ronflements de Guenièvre qui l'ont réveillé. Intrigué, il se demande ce que c'était. Générique

Arthur et Bohort sont au milieu de la salle du trône.

Arthur : Y'a rien Bohort ! Bohort : Attendons encore quelques minutes, ça va peut-être revenir.

Arthur : Mais ça fait un quart d'heure qu'on se gêle les roupes en plein milieu là. Je me lève dans quatre heures mon petit pote ! Alors vous avez rêvé, y'a personne, bonne nuit. Bohort : Mais je suis pourtant pas fou. Votre père se trouvait là, sur votre trône, sa chevelure toute ébouriffée, il était entouré d'un halo blanc et vaporeux. Il disait qu'il allait revenir prendre le pouvoir. Arthur (agacé): Soyons franc Bohort, je ne sais pas ce que vous avez bouffé avant de vous mettre au plumard, mais vous m'avez tout l'air d'avoir fait ce qu'on appelle communément "un mauvais rêve". Bohort : Mais votre père...

Arthur : Mais mon père il est calanché depuis longtemps. Il est enterré dans la crypte avec sa couronne, son armure et tout le barda. Je vois difficilement comment est-ce qu'il pourrait revenir prendre le pouvoir, d'autant qu'il a jamais été foutu de le garder de son vivant. Bohort : Kaamelott est hanté, Sire.

Arthur : Mais non !

Bohort : Pendragon est venu reprendre sa place.

Arthur : Mais Pendragon, sa place, ça a jamais été là. Kaamelott, ça existait même pas de son temps.

Bohort : Mais pourtant c'était lui, je l'ai reconnu. Arthur : Mais non. Mon père il était pas ébouriffé déjà, hein. Il avait une coupe à la con mais c'était plutôt aplati. Et puis il était pas vaporeux. Allez au lit. (Il s'en va) ***

Un peu plus tard devant la chambre de Bohort.

Arthur : C'est bon maintenant, je peux aller me coucher ? Bohort : Attendez Sire, vous n'allez pas me laisser seul ici. Arthur : Vous êtes à votre chambre, qu'est-ce que vous voulez de mieux ? Bohort : Heu, ma chambre, mais qui va m'accompagner jusqu'à mon lit ? Arthur : Oh mais c'est pas vrai ! Mais vous allez me gonfler jusqu'à quand ? Une heure que je crapahute dans le chateau avec ma bougie, ça va bien maintenant !

Bohort : Sire, je vous en conjure, il ne faut pas qu'on se sépare, le spectre de votre père crie vengeance. Arthur : Vous savez Bohort, que pas plus tard que la semaine dernière en Orcanie, le roi Loth a fait arracher la langue et les ongles d'un de ses Chevaliers parce qu'il lui avait renversé du jus de viande sur les pompes. Bohort : Quel rapport avec le fantôme ?

Arthur : Vous trouvez pas que comme souverain, je fais quand même partie des souples ? Vous me réveillez en pleine nuit, sous prétexte que mon père se ballade dans les couloirs. Moi, bonne pomme, je me lève, je vais voir, j'attends pendant des plombes, et au bout d'un moment quand manifestement y'a rien - parce que manifestement y'a rien Bohort admettez-le - je vous raccompagne jusqu'à votre porte parce que vous chiez dans vos caleçons. Bohort : Je ne chie pas dans mes caleçons Sire. Je vous réveille pour un cas de force majeure. Uther Pendragon crie vengeance, vous êtes en danger !

Arthur : Non, mais moi ça va Bohort. Je vous remercie de votre sollicitude mais je vais me débrouiller.

Bohort : Vous partez ?

Arthur : Oui je pars ! je pars me coucher figurez-vous !

Bohort : Je vous accompagne.

Arthur : Pas question !

Bohort : Je ne fais que mon devoir. Le Roi est en danger, je lui fais escorte.

Arthur : Donc, vous m'accompagnez jusqu'à ma porte et vous revenez ? Bohort : Voilà... Sauf que quand je reviens, il faut me raccompagner.

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Peu après devant la chambre d'Arthur. Arthur ouvre la porte et voit Bohort.

Arthur : (exaspéré) Bohort, je vais vous faire mettre au cachot.

Bohort : Attendez, écoutez-moi !

Arthur : Non mais, je vous écoute, je vous écoute, seulement je vous préviens, je vous le dis, je vais vous faire descendre en cabane avec un pichet de flotte un bout de pain sec. Je suis désolé, je suis démuni, je vois pas d'autre solution. Puis je pense que ça vous donnera un peu l'occasion de réfléchir un peu à tout ça tête reposée. Prendre un peu de recul sur les choses parce que, Bohort, on ne réveille pas son roi en pleine nuit pour des conneries, encore moins deux fois de suite.

Bohort : J'ai très nettement entendu des cris dans le couloir. Arthur : Mais oui, mais comment expliquez-vous le fait que moi je ne les ai pas entendus ?

Bohort : Mais, parce que vous dormiez.

Arthur : Précisément !

Bohort : Alors, qu'est-ce qu'on fait, Sire ? Arthur : Ben, vous allez vous recoucher ou je vous fais foutre au trou.

Bohort : Bon... Libre à vous de ne pas tenir compte de mes mises en garde.

Arthur : Merci bien.

Bohort : Par contre, il faut me raccompagner à ma chambre.

Générique

Arthur se recouche dans son lit, ce qui réveille Guenièvre.

Guenièvre : Qu'est-ce que vous trafiquez depuis tout à l'heure ? Arthur : Je me tape Bohort.

Guenièvre est surprise.

Arthur : Enfin, je me tape Bohort...

Guenièvre : Oh, vous faites ce que vous voulez, hein.

Arthur : Non mais. Oh, bref...

On frappe à nouveau à la porte.

Arthur : Ce coup là, je me le fais.

Rédigé par Benoy pour Kaamelott Hypnoséries