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Péripléties, Notre ascension au plus haut sommet de Belgique ! 🤭 #4

Notre ascension au plus haut sommet de Belgique ! 🤭 #4

« C'est...

grand, c'est paisible,

c'est beau... »

« Salut tout le monde !

Bienvenue dans cette nouvelle vidéo dans l'Ardenne transfrontalière,

on espère que vous avez aimé la dernière dans la vallée de la Meuse,

cette fois, on est dans un autre circuit en camping-car,

dis-nous tout, Pauline !

On va progressivement rejoindre la vallée de l'Amblève. »

« Wahou ! Enfin, on sait pas vraiment si c'est le mot,

parce que devant nous, il y a un paysage qu'on appelle un paysage calaminaire.

On dirait que la terre, elle est brûlée.

Et en fait, c'est dû tout simplement aux anciennes

usines métallurgiques qui ont rejeté dans l'atmosphère des fumées

et des poussières de plomb et de zinc qui sont venues se déposer sur le sol.

En fait, on a un peu des sols pollués en gros. très poétique de dire les paysages qui dominèrent pour

C'est très poétique de dire des "paysages calaminaires" mais en vrai...

c'est plutôt calamiteux ?

Pour arriver jusqu'à la vallée de l'Amblève, on est au départ de Liège

et puis, on va croiser plein de petits villages,

ce qu'on appelle " Les plus beaux villages de Wallonie ". »

« On arrive à Limbourg, " Lime-bourk ", " Lime-bourg ", on sait pas comment prononcer.

- Voilà un autre "plus beau village de Wallonie ", superbe

avec ses petites pierres de vesdre. Et c'est l'ancienne capitale du Duché de Limbourg.

Et comme on a eu de la chance, au moment où on est arrivé, hop, la classe,

on a rencontré l'ambassadeur d'ici, de Limbourg qui nous a fait visiter

l'ancien Palais des Évêques, un lieu absolument magnifique !

O ne s'en rappelait plus trop, mais il existe une communauté germanophone en Belgique.

- Un petit territoire qu'on appelle d'ailleurs la Belgique de l'Est : "Ostbelgien " en allemand.

Nouvelle journée en Ardenne, nous voici cette fois dans les Hautes-Fagnes,

à la frontière, quasiment, avec l'Allemagne.

Le soleil est en train de se lever,

et dans ce paysage typique, formé de tourbes,

on a cette brume matinale,

qui est en train de flotter sur le paysage, c'est absolument magnifique ! »

« C'est... grand,

c' est vaste,

c'est beau,

c'est paisible...

On s'attend à voir bondir un lion, un truc comme ça ça fait très...

- On se croirait en pleine savane !

Franchement, si on ferme les yeux et qu'on se réveille, on ne croit pas être en Belgique !

D'ailleurs, tout là-bas, ça doit être la frontière allemande... On va avancer un peu plus.

- On se croirait pas non plus en Allemagne d'ailleurs !

elle

Après l'effort, le réconfort !

Petite bière locale de la Baraque Michel,

une blonde triple, un peu ambrée

- Elle est bien !

- Très bien !

- Donc pour votre gouverne, on est...

là sur le circuit de la vallée de l'Amblève et nous faisons

le Parc Naturel des Hautes-Fagnes

- C'est un circuit qui va nous prendre une bonne semaine.

On va tester une spécialité du coin : boulettes de marcassin

et Pauline a pris :

- Une tartine fagnarde

- Une tartine fagnarde ! Pourquoi tu prends l'accent du sud ?

Elle vient de me piquer une frite en direct !

Je vais mettre un ralenti au montage.

Je vais le mettre en boucle !

Tu rends la frite ! Pauline, rends l'argent !

Bon, pendant ce road trip... On voulait faire quelque chose de physique...

Vraiment, le dépassement de soi... Donc du coup, on a décidé d'entreprendre

une grande ascension là, au point le plus haut de Belgique, on vient d'y arriver,

au signal de Botrange, on est lessivés !

On arrive, c'est...

On blague un peu les amis hein, mais 694 mètres, pour nous Français,

c'est pas très haut ! Mais n'empêche qu'ici, c'est ma-gni-fique !

On es toujours dans les Hautes-Fagnes, à côté de la rando de tout à l'heure, regardez-moi ça :

superbe ! »

« Bienvenue à la brasserie Peak !

On est toujours dans les Hautes-Fagnes.

Quelques mots sur la brasserie qui a ouvert en... 2016,

c'est tout jeune, c'est deux amis qui ont lancé ce concept.

Franchement, pas mal !

On vous montrera l'intérieur, c'est assez design, forcément il y a du monde qui vient

déguster des produits locaux - Dont nous !

On nous a dit qu'il y avait plus de 500 fromages en Wallonie.

On a tendance à oublier, en France, on dit qu'on est " le pays des fromages qui puent ", mais...

ici, ils sont pas mal non plus !

- S'il vous plaît ! - Merci beaucoup. - Je vous en prie.

(Thomas Pleyers, associé gérant chez Belgium Peak Beer)

- Vous aviez du fromage du Valet qui est fait à Waimes, qui a été élu "Meilleur fromage de l'année",

les charcuteries sont faites ici dans le village à côté, ça vient de chez Scheider,

et chaque fois, vraiment, on essaie de trouver le plus proche de nous.

Le plaisir aussi qu'on avait, de s'installer sur le plateau des Hautes-Fagnes,

c'est la qualité de l'eau pour faire la bière. Juste en face de la brasserie, de l'autre côte de la route,

on a le point de captage qui est le plus haut de la Belgique,

- c'est de l'eau de distribution, on n'a pas eu l'occasion d'avoir de l'eau de source -,

don c'est vraiment de l'eau de pluie qui va être filtrée dans le sol des Hautes-Fagnes qui a vraiment la typicité

d'avoir un sol très tourbeux. Et alors cette tourbe va vraiment filtrer l'eau,

ce qui va nous permettre d'avoir des bières qui sont très légères et très digestes.

Ça, c'est vraiment un gros plaisir avec nos différents produits.

- Ça se ressent sur le sur la bière du coup, sur le produit fini ?

- Ah oui, oui, absolument !

Uniquement le fait de changer d'eau,

ça va avoir une grosse incidence sur la qualité du produit, ce sera peut-être pas, moins qualitatif,

mais le goût ne sera pas le même, ça c'est sûr et certain.

On a de l'eau, le malt d'orge, le houblon et la levure.

Tu crées tes recettes et puis après, tu les reproduis le plus fidèlement possible.

- Et puis cette aventure de la bière, elle est venue comment ?

- Ah ben moi, depuis que j'ai l'âge, j'adore la bière !

(Rires)

- C'est quoi l'âge légal en Belgique ?

- C'est 16 ans, mais je crois que j'en avais déjà bu, un peu avant...

J'ai étudié la biérologie, donc après mes études,

je voulais faire un truc en plus, et alors je suis tombé sur une formation, la zythologie, ça s'appelle.

C'est vraiment l'étude de la bière, la dégustation de la bière, la fabrication de la bière...

- D'accord

- Et j'ai étudié ça pendant un an et demi. - Où ça ?

- À Liège, c'est des études en cours du soir.

En Belgique, il y a quand même beaucoup de monde qui gravite autour de la bière,

et c'était vraiment quelque chose qui m'a toujours passionné

et surtout, mon métier d'avant ne me passionnait pas du tout,

je vendais des... J'étais à la FN Hertsal, on faisait des armes.

Et je préférais vendre de la bière que de vendre des armes,.

- Moi, j'ai une question bête : pourquoi il y a autant de bières en Belgique ? D'où ça vient ?

Vous êtes nés avec les bières ? (Rires)

- Ça remonte à très longtemps : la bière à l'époque, c'était considéré comme une boisson divine

parce qu'avec la peste etc. L'eau était infestée, et alors le fait de monter en ébullition.

ça tuait tous les microbes. Donc forcément, ceux qui buvaient de la bière n'étaient pas malades,

ceux qui buvaient de l'eau, ils étaient malades.

C'est dans les années nonantes, deux milles que vraiment ça a repris beaucoup de place sur le marché.

Et alors maintenant, c'est les micro- brasseries qui sont vraiment mises en avant.

Et ça devient vraiment agréable de travailler là dedans parce qu'on rencontre plein de gens !

- Il y a tellement de bières belges sur le marché, comment on essaie de faire sa place justement,

on se dit pas, c'est perdu d'avance ?

- Je suis persuadé quoi qu'il arrive, en Belgique, il y a de la place pour tout le monde !

Parce qu'il ya moyen de faire tellement de choses avec la bière !

Il y aucune limite en fait !

Il faut vraiment se donner à mort pour pouvoir faire quelque chose de différent,

et pouvoir se faire sa petite place et s'entraider avec les autres microbrasseries

pas pour lutter contre le monopole mais vraiment pour arriver à se faire sa place tous ensemble.

Il va y avoir encore plein de choses qui vont se créer... Oui, c'est un monde qui est en perpétuelle évolution !

- Les Belges n'ont pas fini de boire de la bière, alors ?

- Ah, non, ça c'est sûr ! »

« Suivez nos Péripléties dans les Ardennes, likez cette vidéo,

partagez-là autour de vous, et abonnez-vous ! À bientôt !

- Et c'est dur de marcher en parlant, en fait ! (Rires)

Notre ascension au plus haut sommet de Belgique ! 🤭 #4 Unser Aufstieg zum höchsten Gipfel Belgiens! 🤭 #4 Our climb to Belgium's highest peak! 🤭 #4 Nuestra ascensión al pico más alto de Bélgica 🤭 #4 صعود ما به بلندترین قله بلژیک! 🤭 شماره 4 Notre ascension au plus haut sommet de Belgique ! 🤭 #4 La nostra ascesa alla vetta più alta del Belgio! 🤭 #4 ベルギー最高峰への登頂🤭 #4 Onze klim naar de hoogste top van België! 🤭 #4 Nossa subida ao pico mais alto da Bélgica! 🤭 #4 Наше восхождение на самую высокую вершину Бельгии! 🤭 #4 Vår klättring till Belgiens högsta topp! 🤭 #4 Belçika'nın en yüksek zirvesine tırmanışımız! 🤭 #4 Наш підйом на найвищу вершину Бельгії! 🤭 #4 我们攀登比利时最高峰! 🤭#4 我們攀登比利時最高峰! 🤭 #4

« C'est...

grand, c'est paisible,

c'est beau... »

« Salut tout le monde ! " Всем привет !

Bienvenue dans cette nouvelle vidéo dans l'Ardenne transfrontalière,

on espère que vous avez aimé la dernière dans la vallée de la Meuse,

cette fois, on est dans un autre circuit en camping-car,

dis-nous tout, Pauline !

On va progressivement rejoindre la vallée de l'Amblève. »

« Wahou ! Enfin, on sait pas vraiment si c'est le mot,

parce que devant nous, il y a un paysage qu'on appelle un paysage calaminaire.

On dirait que la terre, elle est brûlée.

Et en fait, c'est dû tout simplement aux anciennes

usines métallurgiques qui ont rejeté dans l'atmosphère des fumées

et des poussières de plomb et de zinc qui sont venues se déposer sur le sol. and lead and zinc dust that settled on the ground.

En fait, on a un peu des sols pollués en gros. très poétique de dire les paysages qui dominèrent pour

C'est très poétique de dire des "paysages calaminaires" mais en vrai...

c'est plutôt calamiteux ?

Pour arriver jusqu'à la vallée de l'Amblève, on est au départ de Liège

et puis, on va croiser plein de petits villages,

ce qu'on appelle " Les plus beaux villages de Wallonie ". »

« On arrive à Limbourg, " Lime-bourk ", " Lime-bourg ", on sait pas comment prononcer.

- Voilà un autre "plus beau village de Wallonie ", superbe

avec ses petites pierres de vesdre. Et c'est l'ancienne capitale du Duché de Limbourg.

Et comme on a eu de la chance, au moment où on est arrivé, hop, la classe,

on a rencontré l'ambassadeur d'ici, de Limbourg qui nous a fait visiter

l'ancien Palais des Évêques, un lieu absolument magnifique !

O ne s'en rappelait plus trop, mais il existe une communauté germanophone en Belgique.

- Un petit territoire qu'on appelle d'ailleurs la Belgique de l'Est : "Ostbelgien " en allemand.

Nouvelle journée en Ardenne, nous voici cette fois dans les Hautes-Fagnes,

à la frontière, quasiment, avec l'Allemagne.

Le soleil est en train de se lever,

et dans ce paysage typique, formé de tourbes,

on a cette brume matinale,

qui est en train de flotter sur le paysage, c'est absolument magnifique ! »

« C'est... grand,

c' est vaste,

c'est beau,

c'est paisible...

On s'attend à voir bondir un lion, un truc comme ça ça fait très...

- On se croirait en pleine savane !

Franchement, si on ferme les yeux et qu'on se réveille, on ne croit pas être en Belgique !

D'ailleurs, tout là-bas, ça doit être la frontière allemande... On va avancer un peu plus.

- On se croirait pas non plus en Allemagne d'ailleurs !

elle

Après l'effort, le réconfort !

Petite bière locale de la Baraque Michel,

une blonde triple, un peu ambrée

- Elle est bien !

- Très bien !

- Donc pour votre gouverne, on est...

là sur le circuit de la vallée de l'Amblève et nous faisons

le Parc Naturel des Hautes-Fagnes

- C'est un circuit qui va nous prendre une bonne semaine.

On va tester une spécialité du coin : boulettes de marcassin

et Pauline a pris :

- Une tartine fagnarde

- Une tartine fagnarde ! Pourquoi tu prends l'accent du sud ?

Elle vient de me piquer une frite en direct !

Je vais mettre un ralenti au montage.

Je vais le mettre en boucle !

Tu rends la frite ! Pauline, rends l'argent !

Bon, pendant ce road trip... On voulait faire quelque chose de physique...

Vraiment, le dépassement de soi... Donc du coup, on a décidé d'entreprendre

une grande ascension là, au point le plus haut de Belgique, on vient d'y arriver,

au signal de Botrange, on est lessivés !

On arrive, c'est...

On blague un peu les amis hein, mais 694 mètres, pour nous Français,

c'est pas très haut ! Mais n'empêche qu'ici, c'est ma-gni-fique !

On es toujours dans les Hautes-Fagnes, à côté de la rando de tout à l'heure, regardez-moi ça :

superbe ! »

« Bienvenue à la brasserie Peak !

On est toujours dans les Hautes-Fagnes.

Quelques mots sur la brasserie qui a ouvert en... 2016,

c'est tout jeune, c'est deux amis qui ont lancé ce concept.

Franchement, pas mal !

On vous montrera l'intérieur, c'est assez design, forcément il y a du monde qui vient

déguster des produits locaux - Dont nous !

On nous a dit qu'il y avait plus de 500 fromages en Wallonie.

On a tendance à oublier, en France, on dit qu'on est " le pays des fromages qui puent ", mais...

ici, ils sont pas mal non plus !

- S'il vous plaît ! - Merci beaucoup. - Je vous en prie.

(Thomas Pleyers, associé gérant chez Belgium Peak Beer)

- Vous aviez du fromage du Valet qui est fait à Waimes, qui a été élu "Meilleur fromage de l'année",

les charcuteries sont faites ici dans le village à côté, ça vient de chez Scheider,

et chaque fois, vraiment, on essaie de trouver le plus proche de nous.

Le plaisir aussi qu'on avait, de s'installer sur le plateau des Hautes-Fagnes,

c'est la qualité de l'eau pour faire la bière. Juste en face de la brasserie, de l'autre côte de la route,

on a le point de captage qui est le plus haut de la Belgique,

- c'est de l'eau de distribution, on n'a pas eu l'occasion d'avoir de l'eau de source -,

don c'est vraiment de l'eau de pluie qui va être filtrée dans le sol des Hautes-Fagnes qui a vraiment la typicité

d'avoir un sol très tourbeux. Et alors cette tourbe va vraiment filtrer l'eau,

ce qui va nous permettre d'avoir des bières qui sont très légères et très digestes.

Ça, c'est vraiment un gros plaisir avec nos différents produits.

- Ça se ressent sur le sur la bière du coup, sur le produit fini ?

- Ah oui, oui, absolument !

Uniquement le fait de changer d'eau,

ça va avoir une grosse incidence sur la qualité du produit, ce sera peut-être pas, moins qualitatif,

mais le goût ne sera pas le même, ça c'est sûr et certain.

On a de l'eau, le malt d'orge, le houblon et la levure.

Tu crées tes recettes et puis après, tu les reproduis le plus fidèlement possible.

- Et puis cette aventure de la bière, elle est venue comment ?

- Ah ben moi, depuis que j'ai l'âge, j'adore la bière !

(Rires)

- C'est quoi l'âge légal en Belgique ?

- C'est 16 ans, mais je crois que j'en avais déjà bu, un peu avant...

J'ai étudié la biérologie, donc après mes études,

je voulais faire un truc en plus, et alors je suis tombé sur une formation, la zythologie, ça s'appelle.

C'est vraiment l'étude de la bière, la dégustation de la bière, la fabrication de la bière...

- D'accord

- Et j'ai étudié ça pendant un an et demi. - Où ça ?

- À Liège, c'est des études en cours du soir.

En Belgique, il y a quand même beaucoup de monde qui gravite autour de la bière,

et c'était vraiment quelque chose qui m'a toujours passionné

et surtout, mon métier d'avant ne me passionnait pas du tout,

je vendais des... J'étais à la FN Hertsal, on faisait des armes.

Et je préférais vendre de la bière que de vendre des armes,.

- Moi, j'ai une question bête : pourquoi il y a autant de bières en Belgique ? D'où ça vient ?

Vous êtes nés avec les bières ? (Rires)

- Ça remonte à très longtemps : la bière à l'époque, c'était considéré comme une boisson divine

parce qu'avec la peste etc. L'eau était infestée, et alors le fait de monter en ébullition.

ça tuait tous les microbes. Donc forcément, ceux qui buvaient de la bière n'étaient pas malades,

ceux qui buvaient de l'eau, ils étaient malades.

C'est dans les années nonantes, deux milles que vraiment ça a repris beaucoup de place sur le marché.

Et alors maintenant, c'est les micro- brasseries qui sont vraiment mises en avant.

Et ça devient vraiment agréable de travailler là dedans parce qu'on rencontre plein de gens !

- Il y a tellement de bières belges sur le marché, comment on essaie de faire sa place justement,

on se dit pas, c'est perdu d'avance ?

- Je suis persuadé quoi qu'il arrive, en Belgique, il y a de la place pour tout le monde !

Parce qu'il ya moyen de faire tellement de choses avec la bière !

Il y aucune limite en fait !

Il faut vraiment se donner à mort pour pouvoir faire quelque chose de différent,

et pouvoir se faire sa petite place et s'entraider avec les autres microbrasseries

pas pour lutter contre le monopole mais vraiment pour arriver à se faire sa place tous ensemble.

Il va y avoir encore plein de choses qui vont se créer... Oui, c'est un monde qui est en perpétuelle évolution !

- Les Belges n'ont pas fini de boire de la bière, alors ?

- Ah, non, ça c'est sûr ! »

« Suivez nos Péripléties dans les Ardennes, likez cette vidéo,

partagez-là autour de vous, et abonnez-vous ! À bientôt !

- Et c'est dur de marcher en parlant, en fait ! (Rires)