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Kaamelot, #128-La Botte Secrète

#128-La Botte Secrète

Une fois de plus, Perceval et Karadoc sont à la taverne, tard le soir. Le tavernier vient les voir, l'air blasé et fatigué. Il leur dit que ça va être l'heure d'aller se coucher, que ça fera "une journée de plus en moins", et que le métier de tavernier n'est pas une "sinécure". Karadoc lui sort son "c'est pas faux" alors que Perceval ne comprend pas. Une fois le tavernier partit, il demande à son amis ce que veut dire le mot, mais Karadoc n'en sait pas plus, c'est là qu'il lui explique sa fameuse botte secrète : quand il ne comprend pas quelque chose, il répond "c'est pas faux", qui d'après lui évite de le faire passer pour un nul. Générique. Perceval prend son repas avec le Roi. Ce dernier à l'air énervé, il parle de mettre des postes de garde sur une route où ils se sont fait avoir plusieurs fois par des Vandales. Perceval répond que les soldats ont du mal avec les postes de gardes, ils trouvent apparemment le temps trop long et à force ils finissent par être "beurrés du soir au matin". Mais Arthur trouve qu'une relève toute les deux semaines est amplement suffisant, et qu'il n'a jamais dit que c'était une "sinécure". Perceval sort alors la botte secrète, le Roi ne remarque rien. La conversation reprend sur le fait que les gardes ne supportent que la première semaine de solitude, ce qui énerve Arthur. Il lance le mot "paradoxal", et Perceval répète "c'est pas faux", puis ils finissent leur repas. Plus tard, Arthur, Lancelot et Perceval sont en armures dans la forêt, pendant une bataille. Ils sont planqués derrière un arbres, Perceval tient une carte. Lancelot ne veut pas battre en retraite car ils peuvent se faire repérer, les éclaireurs n'étant pas rentrés ça peut être mauvais signe, mais Arthur n'y crois pas. Lancelot regarde alors la carte, mais le Roi croyait qu'elles étaient fausses. Perceval se défend en expliquant qu'on lui a juste signalé qu'elles "n'étaient pas d'hier". S'en suit un petit débat pour savoir si elles sont très vieilles, où "obsolètes". Ce à quoi Perceval répond "c'est pas faux". Arthur interprète ça comme une réponse négative et s'énerve. Lancelot propose une manoeuvre tactique : une "passe triple divergente". Perceval panique ne fait que répéter sa botte secrète. Encore plus tard, Perceval est dans une salle du château avec Angharad, la demoiselle n'a apparemment pas le moral. Elle est contente que le chevalier se soit libéré pour elle, avec "toutes les responsabilités qu'il a". Elle lui demande s'il y a eu beaucoup d'envahisseurs à repousser, ce à quoi Perceval réponds sans se démonter et avec l'air important qu'Arthur à besoin de lui pour des conseils stratégiques et qu'il "chapote un peu tout ce qui est action militaire" en Bretagne. Angharad est encore plus flattée de l'attention qu'il lui accorde, et lui explique qu'elle ne se sent pas en forme, que quand elle se voit dans un miroir, elle se trouve "insipide". Évidemment, Perceval lui réponds "c'est pas faux". Là, la jeune femme s'en va en tentant de faire comme si elle n'était pas vexée. Générique fin On retrouve Arthur et Perceval dans la salle à manger. Le chevalier trouve que les côtelettes sont plus savoureuses que des travers de porcs. Le Roi répond "c'est pas faux", Perceval ouvre grand les yeux, car il pense qu'Arthur ne comprend pas "savoureux". Ce dernier, surpris, lui affirme que si. Voix off: Perceval demande alors si c'est côtelettes qu'il ne comprend pas. Rédigé par Holly95 pour HypnoseriesKaamelott

Perceval et Karadoc sont assis à une table de la Taverne.

Tavernier : Eh ben, allez! Une journée d'plus en moins ! On va aller dormir et d'main on r'commence. J'peux vous dire que tavernier, c'est pas une sinécure. Karadoc : Ouais, c'est pas faux. Il finit sa coupe, le tavernier s'en va. Perceval : J'ai jamais su ce que ça voulait dire, sinécure. Karadoc : Moi non plus. Quand vous comprenez pas, vous dites "c'est pas faux", comme ça vous passez pas pour un glandu. C'est ma botte secrète. Perceval : "C'est pas faux" ? Karadoc acquiesce, Perceval a l'air content. Générique

Perceval mange à la table du Roi.

Arthur : Faudra quand même qu'on s'décide à mettre un poste de garde sur cette route, hein. Trois fois qu'on s'fait surprendre comme des bleus par les Vandales... Perceval : L'problème c'est que quand on met des mecs à un poste de garde, la première semaine ils jouent aux cartes, ils font leur ptit rata... Mais après avec la solitude, ils sont beurrés du soir au matin. On les retrouve affalés sur la table.

Arthur : Mais ils se dé-brouillent ! Une relève toutes les deux s'maines, j'me fous pas d'eux quand même ! C'est ça monter la garde, hein, j'suis désolé. On n'a jamais dit qu'c'était une sinécure... Perceval hésitant : C'est pas faux... Arthur : Alors les Vandales arrivent, au poste de garde ils sont surpris ils ont même pas le temps de donner l'alerte ! Perceval : La première semaine ça va.

Arthur : La première semaine ! Vous irez leur dire aux Vandales qu'il faut pas qu'ils s'pointent en deuxième semaine parce que nos gardes supportent pas la solitude ! Perceval : Bah j'sais bien... Arthur : Sans blague vous trouvez pas que c'est paradoxal ? Perceval : Ouais c'est pas faux... Arthur soupirant : Et alors...

Ils finissent leur repas.

*

Plus tard...

Arthur, Lancelot et Perceval sont en armures dans la forêt, pendant une bataille. Ils sont planqués derrière un arbre, Perceval tient une carte.

Lancelot (à voix basse) : On va pas courir vers des points de retraite en sachant qu'ils sont complètement exposés ! Arthur : On n'en sait rien, v'nez pas m'la jouer! Les éclaireurs sont pas rentrés c'est tout, ça veut rien dire ça ! Lancelot : Bon, il faut qu'on trouve un autre point. Il regarde la carte.

Arthur : Ah, j'croyais que les cartes étaient fausses, faudrait savoir ! Perceval : Attendez! J'ai pas dit qu'elles étaient fausses, on m'a dit qu'elles étaient pas d'hier, c'est pas pareil ! Lancelot : Mais elles sont vieilles comment ?

Perceval : J'en sais rien moi j'vous répète ce qu'on m'a dit ! De toute façon j'y comprends rien aux cartes ! Arthur énervé : Ah faites un effort, hein !

Perceval : Moi on m'a dit, "attention elles sont pas d'hier" ! Lancelot : Bon d'accord elles sont pas d'hier, mais est-ce que vous pensez qu'elles sont obsolètes ? Perceval : C'est pas faux... Arthur : Quoi c'est pas faux ? Perceval : De quoi ?

Lancelot : Nan on vous demande si vous pensez que les cartes sont obsolètes !

Perceval : Bah c'est pas faux ! Arthur : Ah ouais d'accord, on s'est fait refiler des cartes d'y'a 20 ans quoi ! Perceval : J'ai pris ce qu'y'avait moi ! Arthur : Ah vous vous êtes encore débrouillé comme un chef, hein, j'me demande vraiment ce qu'on peut vous confier ! Lancelot : Bon écoutez, on tente une passe triple. On est trois.

Perceval : De quoi ?

Arthur : Ah ouais une passe triple c'est pas con... On a nos chances. Perceval : Ouais c'est pas faux... Lancelot : Convergente ?

Arthur : Euh... divergente, à cause des arbres.

Perceval paniquant : Ouais c'est pas faux ! Lancelot : Trois, deux, un... Allez !

Les deux hommes sortent de leur cachette et se dispersent alors que Perceval qui n'a rien compris ne bouge pas. Perceval (criant) : Ouais c'est pas faux ! *

Plus tard...

Perceval est dans une pièce du château avec Angharad, la suivante de la Reine.

Angharad : C'est vrai qu'en ce moment ça va pas fort... Heureusement qu'vous êtes là pour m'réconforter. Perceval : C'est bien normal. Angharad : Non, quand même. Combien y'en a qui s'débinent dès qu'y'a quelque chose qui cloche... (soupire) Perceval : Vous m'dites "ça va pas fort il faut qu'on s'voit", on s'voit. Vous savez avec moi c'est carré. Angharad : Puis surtout qu'on s'est pas vus beaucoup ces derniers temps... Perceval : Bah les responsabilités, toujours sur la brêche.

Angharad : Beaucoup d'envahisseurs à r'pousser ces temps-ci ou...? Perceval : C'est pas tellement ça mais bon, Arthur a souvent besoin de moi pour des conseils stratégiques. Disons que j'chapote un p'tit peu tout ce qui est "actions militaires" sur le territoire Breton. C'est du travail. Angharad (en admiration) : Ah... c'est d'autant plus gentil à vous d'avoir pris un peu de temps pour moi. Non je... je sais pas ce qui m'arrive ces jours-ci... j'me r'garde dans l'miroir et je... (soupire) j'ai l'impression d'être... insipide... mais alors... Perceval : Ouais, c'est pas faux. Angharad le regarde de travers, surprise, puis se vexe.

Angharad (sèchement) : Bon, ça m'a fait du bien d'parler, hum, merci. Elle se lève et s'en va, Perceval reste là sans comprendre. Générique

On retrouve Perceval mangeant à la table du Roi.

Perceval : Les travers de porc c'est pas mauvais, mais ça vaut pas les côtelettes. Les côtelettes c'est plus savoureux. Arthur : Ouais c'est pas faux. Perceval surpris : Sans blague, vous savez pas ce que ça veut dire "savoureux" ? Arthur : Ben évidemment qu'si... ! Perceval (Voix Off) : C'est "côtelettes" que vous comprenez pas ? Rédigé par Holly95 pour HypnoseriesKaamelott


#128-La Botte Secrète

Une fois de plus, Perceval et Karadoc sont à la taverne, tard le soir. Le tavernier vient les voir, l'air blasé et fatigué. Il leur dit que ça va être l'heure d'aller se coucher, que ça fera "une journée de plus en moins", et que le métier de tavernier n'est pas une "sinécure". Karadoc lui sort son "c'est pas faux" alors que Perceval ne comprend pas. Une fois le tavernier partit, il demande à son amis ce que veut dire le mot, mais Karadoc n'en sait pas plus, c'est là qu'il lui explique sa fameuse botte secrète : quand il ne comprend pas quelque chose, il répond "c'est pas faux", qui d'après lui évite de le faire passer pour un nul. Générique. Perceval prend son repas avec le Roi. Ce dernier à l'air énervé, il parle de mettre des postes de garde sur une route où ils se sont fait avoir plusieurs fois par des Vandales. Perceval répond que les soldats ont du mal avec les postes de gardes, ils trouvent apparemment le temps trop long et à force ils finissent par être "beurrés du soir au matin". Mais Arthur trouve qu'une relève toute les deux semaines est amplement suffisant, et qu'il n'a jamais dit que c'était une "sinécure". Perceval sort alors la botte secrète, le Roi ne remarque rien. La conversation reprend sur le fait que les gardes ne supportent que la première semaine de solitude, ce qui énerve Arthur. Il lance le mot "paradoxal", et Perceval répète "c'est pas faux", puis ils finissent leur repas. Plus tard, Arthur, Lancelot et Perceval sont en armures dans la forêt, pendant une bataille. Ils sont planqués derrière un arbres, Perceval tient une carte. Lancelot ne veut pas battre en retraite car ils peuvent se faire repérer, les éclaireurs n'étant pas rentrés ça peut être mauvais signe, mais Arthur n'y crois pas. Lancelot regarde alors la carte, mais le Roi croyait qu'elles étaient fausses. Perceval se défend en expliquant qu'on lui a juste signalé qu'elles "n'étaient pas d'hier". S'en suit un petit débat pour savoir si elles sont très vieilles, où "obsolètes". Ce à quoi Perceval répond "c'est pas faux". Arthur  interprète ça comme une réponse négative et s'énerve. Lancelot propose une manoeuvre tactique : une "passe triple divergente". Perceval panique ne fait que répéter sa botte secrète. Encore plus tard, Perceval est dans une salle du château avec Angharad, la demoiselle n'a apparemment pas le moral. Elle est contente que le chevalier se soit libéré pour elle, avec "toutes les responsabilités qu'il a". Elle lui demande s'il y a eu beaucoup d'envahisseurs à repousser, ce à quoi Perceval réponds sans se démonter et avec l'air important qu'Arthur à besoin de lui pour des conseils stratégiques et qu'il "chapote un peu tout ce qui est action militaire" en Bretagne. Angharad est encore plus flattée de l'attention qu'il lui accorde, et lui explique qu'elle ne se sent pas en forme, que quand elle se voit dans un miroir, elle se trouve "insipide". Évidemment, Perceval lui réponds "c'est pas faux". Là, la jeune femme s'en va en tentant de faire comme si elle n'était pas vexée. Générique fin On retrouve Arthur et Perceval dans la salle à manger. Le chevalier trouve que les côtelettes sont plus savoureuses que des travers de porcs. Le Roi répond "c'est pas faux", Perceval ouvre grand les yeux, car il pense qu'Arthur ne comprend pas "savoureux". Ce dernier, surpris, lui affirme que si. Voix off: Perceval demande alors si c'est côtelettes qu'il ne comprend pas. Rédigé par Holly95 pour HypnoseriesKaamelott

Perceval et Karadoc sont assis à une table de la Taverne.

Tavernier : Eh ben, allez! Une journée d'plus en moins ! On va aller dormir et d'main on r'commence. J'peux vous dire que tavernier, c'est pas une sinécure. Karadoc : Ouais, c'est pas faux. Il finit sa coupe, le tavernier s'en va. Perceval : J'ai jamais su ce que ça voulait dire, sinécure. Karadoc : Moi non plus. Quand vous comprenez pas, vous dites "c'est pas faux", comme ça vous passez pas pour un glandu. C'est ma botte secrète. Perceval : "C'est pas faux" ? Karadoc acquiesce, Perceval a l'air content. Générique

Perceval mange à la table du Roi.

Arthur : Faudra quand même qu'on s'décide à mettre un poste de garde sur cette route, hein. Trois fois qu'on s'fait surprendre comme des bleus par les Vandales... Perceval : L'problème c'est que quand on met des mecs à un poste de garde, la première semaine ils jouent aux cartes, ils font leur ptit rata... Mais après avec la solitude, ils sont beurrés du soir au matin. On les retrouve affalés sur la table.

Arthur : Mais ils se dé-brouillent ! Une relève toutes les deux s'maines, j'me fous pas d'eux quand même ! C'est ça monter la garde, hein, j'suis désolé. On n'a jamais dit qu'c'était une sinécure... Perceval hésitant : C'est pas faux... Arthur : Alors les Vandales arrivent, au poste de garde ils sont surpris ils ont même pas le temps de donner l'alerte ! Perceval : La première semaine ça va.

Arthur : La première semaine ! Vous irez leur dire aux Vandales qu'il faut pas qu'ils s'pointent en deuxième semaine parce que nos gardes supportent pas la solitude ! Perceval : Bah j'sais bien... Arthur : Sans blague vous trouvez pas que c'est paradoxal ? Perceval : Ouais c'est pas faux... Arthur soupirant : Et alors...

Ils finissent leur repas.

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Plus tard...

Arthur, Lancelot et Perceval sont en armures dans la forêt, pendant une bataille. Ils sont planqués derrière un arbre, Perceval tient une carte.

Lancelot (à voix basse) : On va pas courir vers des points de retraite en sachant qu'ils sont complètement exposés ! Arthur : On n'en sait rien, v'nez pas m'la jouer! Les éclaireurs sont pas rentrés c'est tout, ça veut rien dire ça ! Lancelot : Bon, il faut qu'on trouve un autre point. Il regarde la carte.

Arthur : Ah, j'croyais que les cartes étaient fausses, faudrait savoir ! Perceval : Attendez! J'ai pas dit qu'elles étaient fausses, on m'a dit qu'elles étaient pas d'hier, c'est pas pareil ! Lancelot : Mais elles sont vieilles comment ?

Perceval : J'en sais rien moi j'vous répète ce qu'on m'a dit ! De toute façon j'y comprends rien aux cartes ! Arthur énervé : Ah faites un effort, hein !

Perceval : Moi on m'a dit, "attention elles sont pas d'hier" ! Lancelot : Bon d'accord elles sont pas d'hier, mais est-ce que vous pensez qu'elles sont obsolètes ? Perceval : C'est pas faux... Arthur : Quoi c'est pas faux ? Perceval : De quoi ?

Lancelot : Nan on vous demande si vous pensez que les cartes sont obsolètes !

Perceval : Bah c'est pas faux ! Arthur : Ah ouais d'accord, on s'est fait refiler des cartes d'y'a 20 ans quoi ! Perceval : J'ai pris ce qu'y'avait moi ! Arthur : Ah vous vous êtes encore débrouillé comme un chef, hein, j'me demande vraiment ce qu'on peut vous confier ! Lancelot : Bon écoutez, on tente une passe triple. On est trois.

Perceval : De quoi ?

Arthur : Ah ouais une passe triple c'est pas con... On a nos chances. Perceval : Ouais c'est pas faux... Lancelot : Convergente ?

Arthur : Euh... divergente, à cause des arbres.

Perceval paniquant : Ouais c'est pas faux ! Lancelot : Trois, deux, un... Allez !

Les deux hommes sortent de leur cachette et se dispersent alors que Perceval qui n'a rien compris ne bouge pas. Perceval (criant) : Ouais c'est pas faux ! ***

Plus tard...

Perceval est dans une pièce du château avec Angharad, la suivante de la Reine.

Angharad : C'est vrai qu'en ce moment ça va pas fort... Heureusement qu'vous êtes là pour m'réconforter. Perceval : C'est bien normal. Angharad : Non, quand même. Combien y'en a qui s'débinent dès qu'y'a quelque chose qui cloche... (soupire) Perceval : Vous m'dites "ça va pas fort il faut qu'on s'voit", on s'voit. Vous savez avec moi c'est carré. Angharad : Puis surtout qu'on s'est pas vus beaucoup ces derniers temps... Perceval : Bah les responsabilités, toujours sur la brêche.

Angharad : Beaucoup d'envahisseurs à r'pousser ces temps-ci ou...? Perceval : C'est pas tellement ça mais bon, Arthur a souvent besoin de moi pour des conseils stratégiques. Disons que j'chapote un p'tit peu tout ce qui est "actions militaires" sur le territoire Breton. C'est du travail. Angharad (en admiration) : Ah... c'est d'autant plus gentil à vous d'avoir pris un peu de temps pour moi. Non je... je sais pas ce qui m'arrive ces jours-ci... j'me r'garde dans l'miroir et je... (soupire) j'ai l'impression d'être... insipide... mais alors... Perceval : Ouais, c'est pas faux. Angharad le regarde de travers, surprise, puis se vexe.

Angharad (sèchement) : Bon, ça m'a fait du bien d'parler, hum, merci. Elle se lève et s'en va, Perceval reste là sans comprendre. Générique

On retrouve Perceval mangeant à la table du Roi.

Perceval : Les travers de porc c'est pas mauvais, mais ça vaut pas les côtelettes. Les côtelettes c'est plus savoureux. Arthur : Ouais c'est pas faux. Perceval surpris : Sans blague, vous savez pas ce que ça veut dire "savoureux" ? Arthur : Ben évidemment qu'si... ! Perceval (Voix Off) : C'est "côtelettes" que vous comprenez pas ? Rédigé par Holly95 pour HypnoseriesKaamelott