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RFI: Journal en Français Facile, Journal en français facile 21/08/2020 20h00 GMT

Journal en français facile 21/08/2020 20h00 GMT

#Français de l'actualité François Bernard : Merci d'écouter Radio France internationale en direct de Paris où il est 22 heures. Bonsoir à tous, merci de nous accueillir à l'écoute de cette édition du Journal en français facile en compagnie ce soir de Sylvie Berruet. Bonsoir Sylvie.

Sylvie Berruet : Bonsoir François et bonsoir à tous.

FB : Dans l'actualité de ce vendredi 21 août, l'opposant russe Alexeï Navalny hospitalisé en Russie après un malaise peut être transporté, son état est « stable ». Un avion affrété par une ONG allemande l'attend à l'aéroport d'Omsk. SB : En Biélorussie, l'opposante Svetlana Tikhanovskaya défie encore le président Loukachenko alors que le pouvoir lance des poursuites contre l'opposition. FB : Aux États-Unis, Joe Biden est officiellement candidat du parti démocrate à l'élection présidentielle. SB : Cent millions de personnes pourraient basculer dans l'extrême pauvreté en raison de la pandémie de Covid-19 selon la Banque mondiale. -----

FB : Les médecins de l'hôpital de Omsk en Sibérie ont donné leur feu vert. Alexeï Navalny va être transféré en Allemagne pour y être soigné.

SB : L'opposant, victime selon ses proches, d'un empoisonnement est dans le coma, mais les médecins allemands qui ont pu le voir aujourd'hui estiment qu'il peut être transporté à Berlin pour y recevoir les soins dont il a besoin. FB : Juliette Gheerbrant nous explique que la pression sur Moscou s'était accentuée ces dernières heures. Pressions diplomatiques d'abord, la France et l'Allemagne avaient offert d'accueillir Alexeï Navalny, et exigé une enquête. Berlin a pris la main dans le dialogue avec Moscou et permis le décollage hier soir d'un avion médicalisé, continuant à négocier jusqu'à ce dénouement. L'épouse d'Alexeï Navalny avait écrit personnellement à Vladimir Poutine pour demander son évacuation, et ses proches avaient saisi la Cour européenne des droits de l'homme. Il faut dire que l'opposant était soigné dans un hôpital peu équipé, son transfert vers une structure était urgent. Il arrive bien tard ce transfert. L'attachée de presse de Navalny dénonçait aujourd'hui un retard lié à la volonté de laisser le temps au corps d'évacuer les traces de poison. Une inquiétude que partagent certains analystes de la Russie. D'après les médecins de l'hôpital de Omsk en revanche, aucune trace de poison n'a été décelée chez le patient, qui souffrirait de troubles du métabolisme. À son arrivée en Allemagne, Alexeï Navalny doit être pris en charge à la clinique de La Charité à Berlin où un autre opposant russe avait été soigné dans les mêmes circonstances, il y a deux ans.

FB : Juliette Gheerbrant.

La situation en Biélorussie maintenant. L'opposante à Loukachenko, Svetlana Tikhanovskaya réfugiée en Lituanie depuis le 11 août a donné à Vilnius sa première conférence de presse. SB : Elle a exhorté, c'est-à-dire rappeler vivement, ses partisans à intensifier les grèves dans les usines pour forcer Alexander Loukachenko à organiser une nouvelle élection présidentielle. FB : Écoutons à Vilnius, la correspondance de Marielle Vitureau.

C'est en femme politique que Svetlana Tikhanovskaya s'est présentée devant la presse aujourd'hui. Un rôle qu'elle endosse sans l'avoir réellement voulu. Un signe de la destinée comme elle l'a affirmé elle-même. La voilà transformée en porte-parole des aspirations de la majorité de Biélorusses rêvant de vivre dans un pays libre où la crainte n'existe plus. Depuis Vilnius, elle a initié un conseil de transition et ne demande pour l'instant que trois choses : « La violence doit s'arrêter, les prisonniers doivent être libérés, de nouvelles élections doivent être organisées. La liberté, l'honnêteté et la transparence, voilà ce que veut le peuple de Biélorussie aujourd'hui. » Comment agir ? Svetlana Tikhanovskaya affirme être en contact avec les comités de grève dans les différentes entreprises du pays, mais l'opposante compte encore sur le dialogue : « Le président a toujours dit qu'il aimait son pays et son peuple. Ce qu'il voit aujourd'hui doit lui montrer que le peuple veut le changement. J'espère que le peuple sera entendu, que le pouvoir va entamer le dialogue. » Svetlana Tikhanovskaya a aussi appelé tous les pays à respecter la souveraineté de la Biélorussie. Marielle Vitureau, Vilnius, RFI.

FB : Aux États-Unis, Joe Biden est officiellement candidat du parti démocrate à l'élection présidentielle. SB : Dans son discours, qui a clôturé quatre jours de convention démocrate, Joe Biden a promis de représenter tous les Américains et de travailler, « tout aussi dur » pour ceux qui ne le soutiennent pas.

FB : Un contraste avec Donald Trump qui n'est pas désireux de plaire à ceux qui ne votent pas pour lui. SB : Pour les démocrates, il s'agit maintenant de rassembler un électorat le plus large possible. Et cette union doit commencer au sein de leur propre parti.

FB : Pour ce faire, les anciens adversaires de Joe Biden qui avaient également brigué l'investiture démocrate lors des primaires, ont lancé ensemble un appel à l'unité, Stefanie Schüler. Elisabeth Waren décrit un Joe Biden empathique et toujours à l'écoute, notamment des travailleurs et classes moyennes. Or, les travailleurs sont attaqués, la pauvreté s'aggrave, s'alarme Cory Booker, sénateur du New Jersey : « Joe Biden et Kamala Harris connaissent la dignité de tous les Américains qui travaillent ». « Est-ce que vous réembaucheriez quelqu'un qui a détruit votre entreprise ? », demande le milliardaire Michael Bloomberg aux patrons des PME. « Si la réponse est non, pourquoi alors on réembaucherait Donald Trump pour quatre ans de plus ? » Depuis le Texas où des milliers de personnes ont manifesté contre le racisme et les violences policières, Beto O'Rourke se dit optimiste : « Joe et Kamala incluront les idées de ces jeunes dans leur futur programme ». Enfin Pete Buttegieg, le maire de South Bend, dessine les contours de la coalition que les démocrates espèrent rassembler : « Progressistes et modérés, indépendants et même républicains, unis dans la lutte pour une Amérique où chacun à sa place. FB : Stefanie Schuler.

FB : Sur le front du coronavirus, le Liban entame deux nouvelles semaines de confinement pour tenter d'enrayer l'augmentation des cas de Covid-19. SB : Le Liban a recensé hier son plus grand nombre de nouveaux cas confirmés en 24 heures avec 613 contaminations supplémentaires.

FB : Cent millions de personnes pourraient basculer dans l'extrême pauvreté en raison de la pandémie et de ses conséquences économiques. SB : C'est la prévision du président de la Banque mondiale, David Malpass. FB : Face à l'aggravation de la crise économique mondiale qui touche en particulier les pays les plus vulnérable, il appelle désormais à réduire la dette des pays pauvres. SB : Jusqu'à présent David Malpass prônait simplement un moratoire sur les remboursements de dette. Olivier Rogez.

David Malpass est inquiet. Son institution a revu ses estimations du printemps dernier. Ce ne sont plus 60 mais 100 millions de personnes qui sont menacées de basculer dans l'extrême pauvreté en raison de la crise mondiale. L'extrême pauvreté, cela veut dire de parvenir à vivre avec moins de deux dollars par jour. Les destructions d'emplois se multiplient dans le monde, en particulier dans les pays pauvres, où les filets sociaux ne sont pas suffisants pour aider les ménages. Le tableau est sombre, et la Banque mondiale qualifie de « dépression pandémique », la situation économique globale. Alors que les pays riches envisagent de prolonger l'an prochain le moratoire sur la dette des pays les plus pauvres décidé pour cette année. David Malpass estime désormais qu'il faut aller plus loin et commencer à réduire le stock de la dette. Jusqu'à présent, la Banque mondiale demeurait prudente sur ce sujet, mais il y a désormais urgence. Elle multiplie notamment les appels en direction des créanciers privés, qui pour l'instant se font tirer l'oreille. David Malpass encourage aussi les pays riches à rouvrir leurs marchés : « La meilleure façon d'aider les pays en développement, dit-il, est de leur fournir de la clientèle. FB : En France, les collégiens et les lycéens français devront porter un masque, dans les salles de classe, mais aussi dans la cour.

SB : Le ministre de l'Éducation a durci le protocole sanitaire pour la prochaine rentrée, alors que les cas de coronavirus se multiplient. FB : La France a enregistré 4 586 cas confirmés supplémentaires de contamination en l'espace de 24 heures. SB : La menace du Covid-19 va peser un peu plus sur Tour de France. La direction a décidé que deux cas positifs en sept jours entraîneront l'exclusion de l'équipe concernée de la course. FB : La course qui va commencer dans quelques jours à peine.

Sachez encore que le capitaine de Manchester United, il s'appelle Harry Maguire, a été arrêté sur l'île de Mykonos. Pourquoi ? Après une bagarre avec des touristes et une agression avec des policiers grecs.

C'est la fin de votre Journal en français facile, que vous retrouvez chaque jour sur RFI à 22 heures, heure de Paris, et sur notre site internet quand vous le voulez. Bonsoir Sylvie.

SB : Bonsoir François, merci à vous.

FB : Bonsoir à tous, à demain.


Journal en français facile 21/08/2020 20h00 GMT Journal en français facile 21/08/2020 20h00 GMT

#Français de l'actualité François Bernard : Merci d'écouter Radio France internationale en direct de Paris où il est 22 heures. Bonsoir à tous, merci de nous accueillir à l'écoute de cette édition du Journal en français facile en compagnie ce soir de Sylvie Berruet. Bonsoir Sylvie.

Sylvie Berruet : Bonsoir François et bonsoir à tous.

FB : Dans l'actualité de ce vendredi 21 août, l'opposant russe Alexeï Navalny hospitalisé en Russie après un malaise peut être transporté, son état est « stable ». Un avion affrété par une ONG allemande l'attend à l'aéroport d'Omsk. SB : En Biélorussie, l'opposante Svetlana Tikhanovskaya défie encore le président Loukachenko alors que le pouvoir lance des poursuites contre l'opposition. FB : Aux États-Unis, Joe Biden est officiellement candidat du parti démocrate à l'élection présidentielle. SB : Cent millions de personnes pourraient basculer dans l'extrême pauvreté en raison de la pandémie de Covid-19 selon la Banque mondiale. -----

FB : Les médecins de l'hôpital de Omsk en Sibérie ont donné leur feu vert. Alexeï Navalny va être transféré en Allemagne pour y être soigné.

SB : L'opposant, victime selon ses proches, d'un empoisonnement est dans le coma, mais les médecins allemands qui ont pu le voir aujourd'hui estiment qu'il peut être transporté à Berlin pour y recevoir les soins dont il a besoin. FB : Juliette Gheerbrant nous explique que la pression sur Moscou s'était accentuée ces dernières heures. Pressions diplomatiques d'abord, la France et l'Allemagne avaient offert d'accueillir Alexeï Navalny, et exigé une enquête. Berlin a pris la main dans le dialogue avec Moscou et permis le décollage hier soir d'un avion médicalisé, continuant à négocier jusqu'à ce dénouement. L'épouse d'Alexeï Navalny avait écrit personnellement à Vladimir Poutine pour demander son évacuation, et ses proches avaient saisi la Cour européenne des droits de l'homme. Il faut dire que l'opposant était soigné dans un hôpital peu équipé, son transfert vers une structure était urgent. Il arrive bien tard ce transfert. L'attachée de presse de Navalny dénonçait aujourd'hui un retard lié à la volonté de laisser le temps au corps d'évacuer les traces de poison. Une inquiétude que partagent certains analystes de la Russie. D'après les médecins de l'hôpital de Omsk en revanche, aucune trace de poison n'a été décelée chez le patient, qui souffrirait de troubles du métabolisme. À son arrivée en Allemagne, Alexeï Navalny doit être pris en charge à la clinique de La Charité à Berlin où un autre opposant russe avait été soigné dans les mêmes circonstances, il y a deux ans.

FB : Juliette Gheerbrant.

La situation en Biélorussie maintenant. L'opposante à Loukachenko, Svetlana Tikhanovskaya réfugiée en Lituanie depuis le 11 août a donné à Vilnius sa première conférence de presse. SB : Elle a exhorté, c'est-à-dire rappeler vivement, ses partisans à intensifier les grèves dans les usines pour forcer Alexander Loukachenko à organiser une nouvelle élection présidentielle. FB : Écoutons à Vilnius, la correspondance de Marielle Vitureau.

C'est en femme politique que Svetlana Tikhanovskaya s'est présentée devant la presse aujourd'hui. Un rôle qu'elle endosse sans l'avoir réellement voulu. Un signe de la destinée comme elle l'a affirmé elle-même. La voilà transformée en porte-parole des aspirations de la majorité de Biélorusses rêvant de vivre dans un pays libre où la crainte n'existe plus. Depuis Vilnius, elle a initié un conseil de transition et ne demande pour l'instant que trois choses : « La violence doit s'arrêter, les prisonniers doivent être libérés, de nouvelles élections doivent être organisées. La liberté, l'honnêteté et la transparence, voilà ce que veut le peuple de Biélorussie aujourd'hui. » Comment agir ? Svetlana Tikhanovskaya affirme être en contact avec les comités de grève dans les différentes entreprises du pays, mais l'opposante compte encore sur le dialogue : « Le président a toujours dit qu'il aimait son pays et son peuple. Ce qu'il voit aujourd'hui doit lui montrer que le peuple veut le changement. J'espère que le peuple sera entendu, que le pouvoir va entamer le dialogue. » Svetlana Tikhanovskaya a aussi appelé tous les pays à respecter la souveraineté de la Biélorussie. Marielle Vitureau, Vilnius, RFI.

FB : Aux États-Unis, Joe Biden est officiellement candidat du parti démocrate à l'élection présidentielle. SB : Dans son discours, qui a clôturé quatre jours de convention démocrate, Joe Biden a promis de représenter tous les Américains et de travailler, « tout aussi dur » pour ceux qui ne le soutiennent pas.

FB : Un contraste avec Donald Trump qui n'est pas désireux de plaire à ceux qui ne votent pas pour lui. SB : Pour les démocrates, il s'agit maintenant de rassembler un électorat le plus large possible. Et cette union doit commencer au sein de leur propre parti.

FB : Pour ce faire, les anciens adversaires de Joe Biden qui avaient également brigué l'investiture démocrate lors des primaires, ont lancé ensemble un appel à l'unité, Stefanie Schüler. Elisabeth Waren décrit un Joe Biden empathique et toujours à l'écoute, notamment des travailleurs et classes moyennes. Or, les travailleurs sont attaqués, la pauvreté s'aggrave, s'alarme Cory Booker, sénateur du New Jersey : « Joe Biden et Kamala Harris connaissent la dignité de tous les Américains qui travaillent ». « Est-ce que vous réembaucheriez quelqu'un qui a détruit votre entreprise ? », demande le milliardaire Michael Bloomberg aux patrons des PME. « Si la réponse est non, pourquoi alors on réembaucherait Donald Trump pour quatre ans de plus ? » Depuis le Texas où des milliers de personnes ont manifesté contre le racisme et les violences policières, Beto O'Rourke se dit optimiste : « Joe et Kamala incluront les idées de ces jeunes dans leur futur programme ». Enfin Pete Buttegieg, le maire de South Bend, dessine les contours de la coalition que les démocrates espèrent rassembler : « Progressistes et modérés, indépendants et même républicains, unis dans la lutte pour une Amérique où chacun à sa place. FB : Stefanie Schuler.

FB : Sur le front du coronavirus, le Liban entame deux nouvelles semaines de confinement pour tenter d'enrayer l'augmentation des cas de Covid-19. SB : Le Liban a recensé hier son plus grand nombre de nouveaux cas confirmés en 24 heures avec 613 contaminations supplémentaires.

FB : Cent millions de personnes pourraient basculer dans l'extrême pauvreté en raison de la pandémie et de ses conséquences économiques. SB : C'est la prévision du président de la Banque mondiale, David Malpass. FB : Face à l'aggravation de la crise économique mondiale qui touche en particulier les pays les plus vulnérable, il appelle désormais à réduire la dette des pays pauvres. SB : Jusqu'à présent David Malpass prônait simplement un moratoire sur les remboursements de dette. Olivier Rogez.

David Malpass est inquiet. Son institution a revu ses estimations du printemps dernier. Ce ne sont plus 60 mais 100 millions de personnes qui sont menacées de basculer dans l'extrême pauvreté en raison de la crise mondiale. L'extrême pauvreté, cela veut dire de parvenir à vivre avec moins de deux dollars par jour. Les destructions d'emplois se multiplient dans le monde, en particulier dans les pays pauvres, où les filets sociaux ne sont pas suffisants pour aider les ménages. Le tableau est sombre, et la Banque mondiale qualifie de « dépression pandémique », la situation économique globale. Alors que les pays riches envisagent de prolonger l'an prochain le moratoire sur la dette des pays les plus pauvres décidé pour cette année. David Malpass estime désormais qu'il faut aller plus loin et commencer à réduire le stock de la dette. Jusqu'à présent, la Banque mondiale demeurait prudente sur ce sujet, mais il y a désormais urgence. Elle multiplie notamment les appels en direction des créanciers privés, qui pour l'instant se font tirer l'oreille. David Malpass encourage aussi les pays riches à rouvrir leurs marchés : « La meilleure façon d'aider les pays en développement, dit-il, est de leur fournir de la clientèle. FB : En France, les collégiens et les lycéens français devront porter un masque, dans les salles de classe, mais aussi dans la cour.

SB : Le ministre de l'Éducation a durci le protocole sanitaire pour la prochaine rentrée, alors que les cas de coronavirus se multiplient. FB : La France a enregistré 4 586 cas confirmés supplémentaires de contamination en l'espace de 24 heures. SB : La menace du Covid-19 va peser un peu plus sur Tour de France. La direction a décidé que deux cas positifs en sept jours entraîneront l'exclusion de l'équipe concernée de la course. FB : La course qui va commencer dans quelques jours à peine.

Sachez encore que le capitaine de Manchester United, il s'appelle Harry Maguire, a été arrêté sur l'île de Mykonos. Pourquoi ? Après une bagarre avec des touristes et une agression avec des policiers grecs.

C'est la fin de votre Journal en français facile, que vous retrouvez chaque jour sur RFI à 22 heures, heure de Paris, et sur notre site internet quand vous le voulez. Bonsoir Sylvie.

SB : Bonsoir François, merci à vous.

FB : Bonsoir à tous, à demain.