đ STOP au syndrome de l'IMPOSTEUR ! (re)commencez Ă CROIRE EN VOUS
Connaissez-vous le syndrome de l'imposteur ? C'est le sentiment de ne pas avoir les capacités,
de ne pas ĂȘtre Ă la hauteur des responsabilitĂ©s qui nous sont donnĂ©es, principalement (mais pas
uniquement) dans le milieu professionnel. A la sensation d'insuffisance s'ajoute la
croyance de profiter injustement de la position que l'on occupe, au dépit d'autres collÚgues
mieux qualifiés, et la crainte que cette incapacité soit un jour ou l'autre démasquée.
Ce syndrome s'accompagne souvent d'une tendance prononcée à l'autocritique et à se focaliser sur
ses points faibles et ses erreurs. Les personnes qui en souffrent ont du mal Ă
accepter les compliments reçus ou à reconnaßtre leur mérite dans les résultats qu'ils obtiennent.
A cause de la peur et de la honte qui accompagnent le syndrome de l'imposteur,
on a souvent tendance à cacher ses difficultés, ce qui augmente encore davantage la crainte de ne
pas ĂȘtre Ă la hauteur de la situation, et que la mise en scĂšne soit finalement dĂ©couverte.
Si c'est votre cas, rassurez-vous : beaucoup plus de monde que vous ne le pensez souffre de
ces symptÎmes. Et il est tout à fait possible de guérir de cette insécurité permanente.
Mind Parachutes, à chaque idée, des nouveaux horizons
Croyez en vous â LibĂ©rez-vous du syndrome de l'imposteur de Jessamy Hibberd
Ce que l'on appelle le syndrome de l'imposteur est une condition
qui fait souffrir beaucoup de personnes, et qui rend difficile de développer une
relation saine avec la peur, la vulnérabilité et l'échec.
Dans son livre « La cure de l'imposteur », la psychologue Jessamy Hibberd souhaite
donner des Ă©lĂ©ments concrets et des exercices pratiques pour permettre Ă
ceux qui souffrent du syndrome de l'imposteur d'arrĂȘter de se sentir constamment en dĂ©faut.
Elle souhaite nous donner les preuves que, peu importe notre situation,
nous ne sommes pas un Ă©chec, nous mĂ©ritons la rĂ©ussite, et nous pouvons croire en nous-mĂȘmes.
Si vous ĂȘtes victimes du syndrome de l'imposteur, vous avez le sentiment d'avoir trompĂ© tout le
monde, en leur faisant croire que vous ĂȘtes meilleures de ce que vous ne l'ĂȘtes. Vous
faites juste semblant, et pour Ă©viter d'ĂȘtre dĂ©masquĂ©es vous travaillez Ă©normĂ©ment. Vous
pensez de ne pas avoir de mérite pour les grandes réalisations de votre vie,
qui ne sont que le fruit de la chance ou du fait d'avoir été au bon moment au bon endroit.
MĂȘme si votre famille, vos amis ou vos collĂšgues ont l'impression que tout va bien, que vous ĂȘtes
quelqu'un de compétent et d'accompli, c'est juste qu'ils ne connaissent pas la vérité,
qu'ils ne voient que la surface des choses. Ce qui est certain, c'est qu'ils ne voient
pas l'agitation et l'anxiété de ce qui se passe à l'intérieur de vous.
Et si vous avez essayé de partager vos sentiments avec quelqu'un, leur incapacité à vous comprendre
vous a vite poussĂ© Ă garder pour vous les doutes et la peur de ne pas ĂȘtre assez.
Si on décide de faire face au syndrome de l'imposteur, il est tout à fait possible
d'acquĂ©rir une image plus positive de soi-mĂȘme, et de gagner en confiance en soi.
Si vous souhaitez vous améliorer, dans votre vie pro et perso,
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vous découvrirez en quelques minutes l'essentiel des meilleurs livres de développement personnel.
Il y a des moments dans notre vie oĂč nous ressentons le besoin de prendre du recul,
de trouver la réponse à des demandes profondes sur la direction que nous suivons,
sur nos rĂȘves et envies, sur ce que nous aimerions changer.
Les moments d'incertitudes et de changement sont propices Ă cette remise en question.
Si vous souhaitez apporter des changements ou des améliorations à votre vie, mais vous
ne savez pas par oĂč commencer ou vers oĂč aller, si vous avez l'impression de faire des efforts
énormes sans observer des véritables avancées, si vos obligations familiales ou professionnelles ne
vous laissent pas le temps de vous occuper de vous-mĂȘme comme vous aimeriez, je vous invite Ă
vos inscrire gratuitement à la conférence live de Mind Parachutes via le lien en description.
Ce sera l'occasion pour vous de découvrir des clés, souvent contre-intuitives,
pour réussir de maniÚre durable les changements que vous souhaitez apporter à votre vie.
J'ai hùte de vous retrouver à cette conférence live !!
Comme tout changement, faire face au syndrome de l'imposteur peut mettre mal à l'aise au début,
puisque cela demande de changer ses habitudes, de sortir de sa zone de confort. Mais les bénéfices
en valent la peine : beaucoup plus d'espace mental disponible, une meilleure confiance en soi et une
relation plus saine avec l'Ă©chec, une plus faible tendance Ă trop travailler ou Ă procrastiner.
Si vous pensez ĂȘtre les seuls face Ă ce syndrome, vous vous trompez. Des Ă©tudes
montrent que 70% des personnes, Ă un moment de leur vie et de leur carriĂšre professionnelle,
ont ressenti un certain degré du syndrome de l'imposteur.
Et pratiquement tout le monde peut s'identifier avec les doutes et les
préoccupations de bien faire suite à une promotion ou à une nouvelle prise de poste.
Mais pour certaines personnes, ces symptĂŽmes s'aggravent, et elles finissent par rentrer dans
une spirale de travail excessif, d'Ă©vitement, d'autocritique et de doute de soi. Les
sentiments de honte et d'inadéquation qu'elles éprouvent rendent le quotidien trÚs difficile
et douloureux, ce qui finit par impacter négativement des choix de vie importants.
Ce syndrome se manifeste souvent suite Ă une tension entre deux visions sur ce
qui est attendu : sa propre vision de la réalité,
et ce que l'on croit que les autres s'attendent de nous ou ce que nous attendons de nous-mĂȘmes.
Les attentes extrĂȘmement Ă©levĂ©es que l'on se donne soi-mĂȘme ont une grande partie de responsabilitĂ©,
tout comme la voix interne négative qui nous critique ou qui nous pousse constamment.
La crainte de ne pas ĂȘtre Ă la hauteur pousse au perfectionnisme,
qui nous fait croire que pour faire un bon travail et pour ĂȘtre apprĂ©ciĂ©s par
les autres, nous devons délivrer une performance maximale 100% du temps.
Et si jamais on arrive Ă 99% de nos attentes ou nos objectifs, et bien ce n'est pas suffisant.
Les réactions sont de deux types : Ou alors on a une tendance à trop travailler,
poussĂ© par cette recherche continue de perfection pour ĂȘtre Ă la hauteur de nos propres attentes
ou pour éviter la déception des autres Ou alors on réagit de la maniÚre opposée,
par la procrastination ou une paralyse face Ă nos doutes. L'immobilisme se
transforme ensuite en frénésie de derniÚre minute afin de respecter une échéance.
Pour certaines personnes, le simple fait de devoir faire de l'effort est la preuve qu'elles
n'ont pas les bonnes capacités. Si c'était le cas, elles devraient réussir à la premiÚre tentative,
sans aucune difficulté. Tout comme elles peuvent considérer un aveu de faiblesse
et d'incompétence le fait de demander de l'aide à d'autres. Elles estiment
que pour que leurs actions aient vraiment de la valeur, elles doivent tout faire d'elles-mĂȘmes.
Le premier élément à considérer afin de changer sa propre perspective, est que les sentiments que
l'on ressent ne correspondent pas forcément à la réalité. Le syndrome de l'imposteur
n'est pas basé sur des faits, sur des preuves tangibles, mais sur ses craintes personnelles.
On pense que le sentiment d'inconfort et d'anxiété que l'on ressent quand
nous sommes face à un challenge (« est-ce que j'en suis capable ? suis-je la bonne
personne pour ce poste ? ») est déjà le signe que nous n'avons pas le capacités,
que les personnes confiantes et compétentes réagissent différemment.
En réalité, cette réaction est tout à fait normale quand on sort de sa
zone de confort. Tout le monde ressent le doute, mĂȘme si chacun Ă un degrĂ© diffĂ©rent.
PlutĂŽt que rentrer dans une spirale d'incertitude,
nous pouvons interpréter notre inconfort de maniÚre plus positive : elle n'est pas agréable
à vivre, mais l'anxiété nous aide à rester attentifs, à ne pas sous-estimer la situation.
Nous pouvons externaliser la voix intérieure qui nous répÚte constamment que nous sommes des
imposteurs. En ce faisant, nous pouvons nous rendre compte que cette voix ce n'est pas la
nĂŽtre, mais elle est la voix de nos peurs !! Sur quels faits, sur quelles preuves se basent
les conclusions que cette voix nous répÚte ? Qu'en dirait-il un tribunal ?
Un facteur clé pour surmonter le syndrome de l'imposteur est de faire preuve de compassion
vis-Ă -vis de soi-mĂȘme. Le dialogue interne nĂ©gatif qui nous pousse Ă
toujours nous critiquer non seulement finit par influencer négativement notre état d'esprit,
il rend aussi plus difficile d'atteindre les objectifs que l'on s'est fixés.
Au contraire, les personnes qui font preuve d'auto-compassion sont plus résilientes face aux
difficultés, rebondissent mieux et plus vite aprÚs un échec, apprennent davantage de leurs erreurs.
Etre compassionnĂ© vis-Ă -vis de soi-mĂȘme
contient 3 composants : ReconnaĂźtre quand on est
stressé ou en difficulté sans porter de jugement ou réagir de maniÚre excessive
Se soutenir, ĂȘtre comprĂ©hensif envers soi-mĂȘme dans une pĂ©riode difficile
Se rappeler que tout le monde fait des erreurs et rencontre des difficultés
Nous pouvons ressentir la compassion
grĂące Ă un processus en 2 Ă©tapes : La premiĂšre est de prendre conscience
de notre dialogue interne. La voix critique est souvent devenue une habitude, un automatisme,
et nous ne nous rendons mĂȘme plus compte de sa rĂ©pĂ©tition incessante.
La deuxiĂšme est de trouver une nouvelle voix que l'on veut Ă©couter. Pour vous aider, pensez
Ă une personne qui fait preuve de compassion, et imaginez ce qu'elle pourrait vous dire.
Un autre élément particuliÚrement utile pour soigner le syndrome de l'imposteur est
d'adopter un rapport plus positif avec l'erreur et l'échec. Les sentiments de déception, de colÚre,
parfois de honte qui accompagnent les erreurs peuvent nous inciter Ă les Ă©viter Ă tout prix.
La peur de l'Ă©chec finit par nous figer, ou par nous faire travailler jusqu'Ă l'Ă©puisement.
Mais puisque se tromper est une composante naturelle de notre vie,
peu importe les efforts que nous faisons, nous ne pourrons jamais l'éviter complétement. Il
vaut mieux apprendre Ă utiliser les erreurs Ă notre avantage.
Le chemin vers nos objectifs de vie n'est pas linéaire. C'est d'ailleurs dans les moments de
difficultés, et suite aux erreurs que l'on fait, que nous pouvons acquérir
les compétences et l'expérience dont nous avons besoin pour arriver à nos objectifs.
Traverser des périodes difficiles nous permet de tester notre capacité à faire
face et à surmonter l'adversité, ce qui alimente encore notre confiance en nous.
Changer la perspective d'un jugement sur notre propre personne (« je suis un raté,
je ne suis pas assez ») vers une attitude d'apprentissage (« je suis déçu, mais je
peux apprendre de cette erreur ») transforme complétement notre rapport à l'échec, et élimine
le sentiment de honte qui l'accompagne tant que nous sommes victimes du syndrome de l'imposteur.
DÚs que nous adoptons l'attitude d'apprentissage, nous réalisons que ce que l'on doit poursuivre
ce n'est pas la perfection, mais le progrÚs, l'amélioration dans le temps.
Et rassurez-vous : juste le fait que vous vous interrogez sur vos propres
capacitĂ©s est le signe mĂȘme que vous les possĂ©dez, ou que vous pourrez les
apprendre. Des études ont montré que ce sont les personnes les plus incompétentes
dans quelque chose qui ont le plus de mal à observer et reconnaßtre leur incompétence.
Quand on est exposé à une nouvelle situation, à un nouveau défi, le
cycle de notre confiance est souvent comme suit : Au début, nous avons un élan de confiance. Grùce
Ă cet optimisme, nous pensons que nous saurons obtenir les choses que nous voulons, et nous
sommes encouragés à nous lancer dans le challenge. Ensuite, face aux premiers revers, nous ressentons
de la déception. La peur et le moral bas nous font douter de nos capacités.
Mais cet inconfort n'est pas mauvais: il nous permet d'identifier les compétences que nous
devons développer ou renforcer pour réussir notre challenge. Et il nous pousse à agir.
Et finalement, en continuant à avancer et en surmontant les difficultés,
notre confiance recommence à augmenter. Cette fois-ci plus solide qu'au début,
puisqu'elle ne dépend pas seulement d'un état d'esprit optimiste, mais elle
s'appuie sur les nouvelles connaissances et expériences que nous avons acquises.
ConnaĂźtre ce cycle nous permet d'anticiper lâĂ©volution des nos doutes et de nos peurs
face Ă une nouvelle situation. Cela nous permet de ne pas ĂȘtre pris au dĂ©pourvu,
et de relativiser les moments des difficultés : il ne s'agit que d'une étape transitoire.
Lorsque nous traversons la deuxiĂšme phase, nous devons adopter la posture d'un apprenti. Nous
devons ĂȘtre honnĂȘtes sur ce que nous savons et ce que nous ne savons pas. Il n'y a pas
de honte de le reconnaĂźtre face aux autres : nous pouvons nous entraĂźner Ă dire "Je
ne sais pas, laissez-moi revenir sur ce point". Une fois identifiées les compétences à développer,
nous pouvons assister à des cours de formation, de conférences, nous pouvons lire des livres
sur le sujet. Nous pouvons aussi faire appel Ă l'aide des autres. Savoir demander de l'aide,
et savoir à qui le demander, n'enlÚve aucun mérite aux résultats que vous obtenez. C'est
une compétence importante à cultiver et à utiliser pour arriver à ses objectifs.
Et pendant que l'on avance dans cette 2Ăšme phase, en attendant que la confiance revienne, nous
devons faire preuve de patience et nous rappeler de montrer de la compassion envers nous mĂȘme.
VoilĂ , vous connaissez maintenant les premiĂšres graines pour observer le syndrome de l'imposteur
avec un regard nouveau, plus confiant et compassionnĂ© vis-Ă -vis de vous-mĂȘmes,
d'aprÚs les conseils de Jessamy Hibberd dans son livre « La cure de l'imposteur ».
Se rappeler que nos doutes et nos craintes ne correspondent pas forcément à la réalité,
reconnaßtre la voix intérieure négative non pas comme notre propre voix, mais comme
celle de nos peurs, et développer un rapport positif avec l'échec,
nous permettent de soigner ce sentiment permanent d'anxiété et d'insécurité.
Si vous souhaitez apprendre des clés pour mieux vous connaßtre, pour avancer dans votre vie dans
la bonne direction, celle qui vous correspond et qui vous permettra vĂ©ritablement d'ĂȘtre heureux,
n'hésitez pas à vous inscrire gratuitement à la conférence live de Mind Parachutes,
qui aura lieu le mardi 25 janvier à 20h30 heure de Paris, via le lien qui apparaßt dans la vidéo.
A trÚs vite pour des nouvelles idées !!